Tweet
France occupée
Appel du procès Fofana : Michèle Alliot-Marie s'explique
Aujourd'hui, Michèle Alliot-Marie, fraîchement nommée au ministère de la Justice a donné au Sénat, les raisons qui l'ont poussées à faire appel de plusieurs condamnations prononcées dans l'affaire du meurtre antisémite d'Ilan Halimi. Michèle Alliot-Marie a expliqué que cet appel était nécessaire dans " l'intérêt de la société et de la paix publique ". Elle a ainsi affirmé : " Lorsque j'ai constaté que les condamnations prononcées amenaient à ce que d'ici quelques mois, quelques uns des participants les plus engagés dans cet assassinat se retrouvent libres, il m'a semblé qu'il y avait effectivement un problème ". La ministre de la Justice a insisté sur le fait qu'il existait -selon elle- un " véritable risque que les victimes n'aient plus confiance dans la justice et cherchent à se faire justice elles-mêmes ". L'appel de Michèle Alliot-Marie ne concerne pas Youssouf Fofana, qui a écopé de la réclusion criminelle, avec 22 ans de sûreté. Ce sont quatorze de ses complices qui seront rejugés devant une cour d'assises. K.M.16/07/2009
Appel du procès Fofana : Michèle Alliot-Marie s'explique
Aujourd'hui, Michèle Alliot-Marie, fraîchement nommée au ministère de la Justice a donné au Sénat, les raisons qui l'ont poussées à faire appel de plusieurs condamnations prononcées dans l'affaire du meurtre antisémite d'Ilan Halimi. Michèle Alliot-Marie a expliqué que cet appel était nécessaire dans " l'intérêt de la société et de la paix publique ". Elle a ainsi affirmé : " Lorsque j'ai constaté que les condamnations prononcées amenaient à ce que d'ici quelques mois, quelques uns des participants les plus engagés dans cet assassinat se retrouvent libres, il m'a semblé qu'il y avait effectivement un problème ". La ministre de la Justice a insisté sur le fait qu'il existait -selon elle- un " véritable risque que les victimes n'aient plus confiance dans la justice et cherchent à se faire justice elles-mêmes ". L'appel de Michèle Alliot-Marie ne concerne pas Youssouf Fofana, qui a écopé de la réclusion criminelle, avec 22 ans de sûreté. Ce sont quatorze de ses complices qui seront rejugés devant une cour d'assises. K.M.16/07/2009
Commentaire