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200 000 policiers en 2010 en Algérie

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  • 200 000 policiers en 2010 en Algérie

    Encore une année pour atteindre l'objectif de 200 000 policiers en Algérie

    En Algérie, l’effectif global de la Sûreté nationale devrait atteindre 200 000 policiers d’ici à 2010. L’objectif fixé en 1999 est, aujourd’hui, atteint à près de 80 %, l’effectif actuel étant de près de 160 000 éléments. Hier, à l’Ecole supérieure de police de Châteauneuf, ils étaient près de 200 élèves officiers de police à recevoir leurs diplômes de fin d’études.

    L’effectif global de la Sûreté nationale, tous grades confondus, était de 125 243 policiers à la fin janvier 2008, dont 5 905 femmes, avec en sus 12 669 agents assimilés.

    On a appris qu’entre 2008 et 2009, près de 25 000 stagiaires ont reçu des formations à travers les différents établissements de formation de la Sûreté nationale et qu’ils devraient rejoindre les rangs de cette institution avant la fin 2009. «Ce renforcement de l’encadrement s’inscrit dans le cadre du programme 2006-2010», nous a indiqué, ce jeudi, une de nos sources, en marge de la cérémonie de sortie d’une promotion d’officiers de police.

    En ce début de semaine, une autre cérémonie, tout aussi importante que celle de l’Ecole supérieure de police de Châteauneuf, sera organisée à l’Ecole de police de Soumaâ, à Blida. Selon le directeur général de la Sûreté nationale, la police algérienne sera renforcée par le recrutement, chaque année, de 15 000 policiers.

    D’ailleurs, il n’a eu de cesse de répéter, ces trois dernières années, que d’ici peu de temps, l’Algérie aura un dispositif policier conforme aux standards internationaux. Avec, à l’heure actuelle, près de 150 000 éléments, soit une moyenne d’un policier pour 430 citoyens, l’effectif de la Sûreté nationale est de très loin inférieur au taux de couverture sécuritaire dont disposent les pays voisins. Ali Tounsi a affirmé que la DGSN «recrutera la fine fleur de la jeunesse algérienne», qui bénéficiera d’une formation de très haut niveau dans les différentes écoles de cette institution.

    Ces dernières assureront, cette année, la formation de 15 000 éléments dans différentes spécialités. Il a été constaté, dans ce sens, l’enrôlement de plusieurs dizaines de diplômés universitaires dans le corps des agents de l’ordre public (AOP). Un corps, faut-il le préciser, qui recrute en principe des candidats ayant le niveau de la 3e année secondaire, mais qui attire, toutefois, les licenciés au chômage. Il est à rappeler que la DGSN a entrepris, ces dernières années, une démarche d’intégration de l’élément féminin, ce qui vise à répondre aux nouvelles exigences du terrain.

    Avec 5 000 policières, tous grades confondus, la même source a fait savoir que les femmes représentent actuellement près de 5 % de l’effectif global de la police. Sur un autre chapitre, le patron de la DGSN a évité de commenter la question relative au statut de la police, dont le document, diton, est en voie de finalisation.

    Ainsi, tout en se gardant de divulguer le moindre détail sur son contenu, il s’est contenté de dire que le prochain statut permettra d’améliorer la formation et le cadre de travail des éléments de la police. Un texte qui est le fruit de la politique gouvernementale et qui vise à accorder des statuts à l’ensemble des fonctions ainsi qu’à revaloriser les salaires de tous les fonctionnaires.

    par Le Soir

  • #2
    si c'est pour réduire la délinquance d'accord , mais si c'est pour des nouveaux agents fainéants et lâches qui attend le moindre jeune pour essayer de lui enlever sans permis pour qui les payent, non merci.
    Issen Rebbi

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