Le groupe mythique, les Abranis, a fait avant-hier, un passage tonitruant, au stade Oukil-Ramdane de Tizi-Ouzou à l’occasion d’un spectacle dans le cadre de la deuxième édition du festival panafricain.
On peut même avancer, sans risque de nous tromper, qu’il s’agit là de l’une des meilleures sinon la meilleurs soirée du festival. Tous les ingrédients étaient réunis pour permettre aux artistes de marquer l’événement avec une prestation de haut rang. Tout au début de la soirée, ce sont les troupes du Burundi et de Namibie qui ont présenté un spectacle de danse africaine fait d’un métissage artistique retraçant les traditions de ces deux pays africains. Par la suite, le groupe algérois Djezma, s’affirmera, pour son premier spectacle en plein air dans la ville des Genêts, enflammant un public plus particulièrement les jeunes qui très certainement ont apprécié les œuvres jouées par un groupe qui promet.
Blaid Abranis affiche ses …ambitions !
Il faut dire que pour une première, Djezma a réussi son pari. Son passage a marqué les esprits avec un style rock mélangé à du gnawi algérien. La montée sur scène de Blaid Abranis animera plus un public acquis, venu écouter les belles mélodies, de l’un des premiers groupes modernes qui a révolutionné la chanson algérienne. Bien dans sa peau, Blaid a saisi l’opportunité de marquer de son empreinte la soirée : “Réussir mon passage à Tizi-Ouzou, ma région, me tenait à cœur. Oui, j’avais un peu le trac au début mais par la suite le gala a été un régal, un grand plaisir, merci Tizi”, nous dit Blaid Abranis en aparté. Ce dernier affiche clairement ses ambitions dès le début. Il entonnera pour la première fois à Tizi-Ouzou, ses nouvelles chansons, extraits de son 2e album qui sortira en principe (il est tellement imprévisible !) après le mois de Ramadhan. Chantées dans un style 100 % rock, les thamachahout, andathelid ont ébloui le public. Blaid clôturera avec Ayenaka, un véritable hymne à l’amour.
Karim Abranis, le père, s’occupe du reste …
Et vint le moment le plus attendu par les milliers de fans, la montée sur scène du leader du groupe les Abranis, Karim en l’occurrence. Avec son charisme légendaire, l’artiste fera bouger tout le stade avec les meilleures œuvres du groupe. Le public les reprendra en chœur. En face de la scène, un groupe de personnes d’un âge avancé suivait le spectacle… jetait des regards d’émerveillement, bercé par des airs de nostalgie qui soufflaient sur les lieux. Lynda, Chnigh l’blues di Tizi, Amlikane, sont entre autres les titres qui ont été repris intégralement par le public.
L’artiste se retirera de la scène vers minuit. L’assistance en a décidé autrement, elle est restée sur place ce qui "obligera" Karim Abranis, à revenir, malgré la fatigue, pour satisfaire ses fans. Ces derniers ne voulaient pas que la soirée s’achève, le public avait soif de la bonne musique, de la bonne parole. Qui d’autre que les Abranis pouvait l’assouvir …
On peut même avancer, sans risque de nous tromper, qu’il s’agit là de l’une des meilleures sinon la meilleurs soirée du festival. Tous les ingrédients étaient réunis pour permettre aux artistes de marquer l’événement avec une prestation de haut rang. Tout au début de la soirée, ce sont les troupes du Burundi et de Namibie qui ont présenté un spectacle de danse africaine fait d’un métissage artistique retraçant les traditions de ces deux pays africains. Par la suite, le groupe algérois Djezma, s’affirmera, pour son premier spectacle en plein air dans la ville des Genêts, enflammant un public plus particulièrement les jeunes qui très certainement ont apprécié les œuvres jouées par un groupe qui promet.
Blaid Abranis affiche ses …ambitions !
Il faut dire que pour une première, Djezma a réussi son pari. Son passage a marqué les esprits avec un style rock mélangé à du gnawi algérien. La montée sur scène de Blaid Abranis animera plus un public acquis, venu écouter les belles mélodies, de l’un des premiers groupes modernes qui a révolutionné la chanson algérienne. Bien dans sa peau, Blaid a saisi l’opportunité de marquer de son empreinte la soirée : “Réussir mon passage à Tizi-Ouzou, ma région, me tenait à cœur. Oui, j’avais un peu le trac au début mais par la suite le gala a été un régal, un grand plaisir, merci Tizi”, nous dit Blaid Abranis en aparté. Ce dernier affiche clairement ses ambitions dès le début. Il entonnera pour la première fois à Tizi-Ouzou, ses nouvelles chansons, extraits de son 2e album qui sortira en principe (il est tellement imprévisible !) après le mois de Ramadhan. Chantées dans un style 100 % rock, les thamachahout, andathelid ont ébloui le public. Blaid clôturera avec Ayenaka, un véritable hymne à l’amour.
Karim Abranis, le père, s’occupe du reste …
Et vint le moment le plus attendu par les milliers de fans, la montée sur scène du leader du groupe les Abranis, Karim en l’occurrence. Avec son charisme légendaire, l’artiste fera bouger tout le stade avec les meilleures œuvres du groupe. Le public les reprendra en chœur. En face de la scène, un groupe de personnes d’un âge avancé suivait le spectacle… jetait des regards d’émerveillement, bercé par des airs de nostalgie qui soufflaient sur les lieux. Lynda, Chnigh l’blues di Tizi, Amlikane, sont entre autres les titres qui ont été repris intégralement par le public.
L’artiste se retirera de la scène vers minuit. L’assistance en a décidé autrement, elle est restée sur place ce qui "obligera" Karim Abranis, à revenir, malgré la fatigue, pour satisfaire ses fans. Ces derniers ne voulaient pas que la soirée s’achève, le public avait soif de la bonne musique, de la bonne parole. Qui d’autre que les Abranis pouvait l’assouvir …
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