Le FFS tire sur le maire FLN de Tizi-Ouzou et son éxecutif
"Encore une fois, le président de l’Assemblée populaire communale de Tizi-Ouzou et son exécutif viennent de prouver leur incapacité à se transcender pour opérer un saut qualitatif dans la gestion citoyenne et la bonne gouvernance et assurer le bien-être de la population, préférant et continuant à se vautrer dans la fange et la souillure.”
Ce sont les termes d’une déclaration incendiaire rendue publique, hier, par le Front des forces socialistes, section de Tizi-Ouzou.
Le parti d’Aït Ahmed n’est pas allé, en effet, avec le dos de la cuillère pour dénoncer les pratiques et la gestion de l’exécutif communal piloté par le FLN.
“Après plus de vingt mois d’une gestion chaotique ponctuée de scandales de toutes natures, l’édile, loin de rechercher la stabilité nécessaire à toute assemblée en charge des préoccupations des citoyens, persiste dans une fuite en avant qui dénote, si besoin, une immaturité politique et une inconscience grave”, est-il indiqué dans ladite déclaration signée par le premier secrétaire de section.
Le FFS relève, à l’occasion, plusieurs “dysfonctionnements et autres lacunes qui influent négativement sur le quotidien de la population de la commune de Tizi-Ouzou”. “L’exemple le plus frappant de cette non-gestion est les chaînes, les bousculades, les empoignades et autres malversations qui persistent dans les services de l’état civil barricadés et transformés en bunker”, estime le parti d’Aït Ahmed.
Pour ce dernier, la dégradation de la cité et des villages s’ajoutant aux maux quotidiens comme “le gel de tous les POS, l’aménagement sélectif des quartiers de la ville, le non-respect des délais de réalisations des travaux d’aménagement par divers entreprises engagées”, avant d’ajouter sur le même chapitre “l’amoncellement d’immondices de toutes natures à tous les coins de rues, à des températures qui dépassent les 40° et l’exclusion des villages et des zones rurales des programmes de développement”, indique les rédacteurs de la déclaration dont une copie nous a été transmise hier.
Une situation de marasme qui a conduit, selon le FFS, à des révoltes. “Désabusés, les citoyens sont amenés à occuper la rue pour tenter de se faire entendre comme c’est le cas des habitants des Bâtiments bleus, des villages de Betrouna, de la cité des Genêts ou encore celle des 2000”, lit-on encore dans ladite déclaration. Le plus vieux parti de l’opposition en Algérie dénonce, pour ces raisons, “le leurre éhonté qui consiste à doter la commune d’une majorité de façades ou l’intérêt personnel est la valeur dominante et ou la prébende le dispute à l’aventurisme”, conclut-il.
Par la Dépêche de Kabylie
"Encore une fois, le président de l’Assemblée populaire communale de Tizi-Ouzou et son exécutif viennent de prouver leur incapacité à se transcender pour opérer un saut qualitatif dans la gestion citoyenne et la bonne gouvernance et assurer le bien-être de la population, préférant et continuant à se vautrer dans la fange et la souillure.”
Ce sont les termes d’une déclaration incendiaire rendue publique, hier, par le Front des forces socialistes, section de Tizi-Ouzou.
Le parti d’Aït Ahmed n’est pas allé, en effet, avec le dos de la cuillère pour dénoncer les pratiques et la gestion de l’exécutif communal piloté par le FLN.
“Après plus de vingt mois d’une gestion chaotique ponctuée de scandales de toutes natures, l’édile, loin de rechercher la stabilité nécessaire à toute assemblée en charge des préoccupations des citoyens, persiste dans une fuite en avant qui dénote, si besoin, une immaturité politique et une inconscience grave”, est-il indiqué dans ladite déclaration signée par le premier secrétaire de section.
Le FFS relève, à l’occasion, plusieurs “dysfonctionnements et autres lacunes qui influent négativement sur le quotidien de la population de la commune de Tizi-Ouzou”. “L’exemple le plus frappant de cette non-gestion est les chaînes, les bousculades, les empoignades et autres malversations qui persistent dans les services de l’état civil barricadés et transformés en bunker”, estime le parti d’Aït Ahmed.
Pour ce dernier, la dégradation de la cité et des villages s’ajoutant aux maux quotidiens comme “le gel de tous les POS, l’aménagement sélectif des quartiers de la ville, le non-respect des délais de réalisations des travaux d’aménagement par divers entreprises engagées”, avant d’ajouter sur le même chapitre “l’amoncellement d’immondices de toutes natures à tous les coins de rues, à des températures qui dépassent les 40° et l’exclusion des villages et des zones rurales des programmes de développement”, indique les rédacteurs de la déclaration dont une copie nous a été transmise hier.
Une situation de marasme qui a conduit, selon le FFS, à des révoltes. “Désabusés, les citoyens sont amenés à occuper la rue pour tenter de se faire entendre comme c’est le cas des habitants des Bâtiments bleus, des villages de Betrouna, de la cité des Genêts ou encore celle des 2000”, lit-on encore dans ladite déclaration. Le plus vieux parti de l’opposition en Algérie dénonce, pour ces raisons, “le leurre éhonté qui consiste à doter la commune d’une majorité de façades ou l’intérêt personnel est la valeur dominante et ou la prébende le dispute à l’aventurisme”, conclut-il.
Par la Dépêche de Kabylie
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