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Le CHU de Tizi-Ouzou est désormais doté d’une salle cardio-interventionnelle.
Celle-ci a été inaugurée hier en présence d’un docteur spécialiste en la matière de renommée mondiale, François Jean Marco qui a formé durant les années 1980 plusieurs médecins cardiologues dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Le bloc inauguré hier et qui renforcera davantage les infrastructures de l’hôpital de la ville des Genêts permettra de faire des interventions chirurgicales à cœur ouvert.
C’est une première qui permet la prise en charge des malades au niveau de ce CHU, contrairement aux années précédentes durant lesquelles pour toute intervention en cardiologie, il fallait se déplacer à Alger et à l’étranger. Cela va sans dire que cette nouvelle salle soulagera la spécialité médicale dans la wilaya, mais aussi les patients qui n’ont plus à effectuer de longs trajets et qui attendent parfois des jours avant de pouvoir accéder à la place convoitée pour les soins. Pour les spécialistes, l’ouverture de cette salle s’imposait plus particulièrement dans la wilaya de Tizi-Ouzou, cela dans la mesure où le nombre de personnes souffrant de maladies cardiaques ne cesse d’augmenter dans la capitale du Djurdjura. Nous apprenons en effet, que ce nombre de malades a été multiplié ces quatre dernières années ; actuellement 517 patients sont pris en charge au niveau du service cardiologie du CHU, un service qui s’est complètement métamorphosé en se dotant d’un matériel dernier cri et d’une nouvelle technologie.
En somme, c’est tout le CHU qui a pris des galons depuis quelques années en acquérant de nouveaux équipements, cela même si la qualité du service laisse encore à désirer dans certains services. L’amélioration dans ce domaine est plus que souhaitable par la population locale qui se plaint toujours de certains comportements indignes et qu’on croyait révolus. En somme, il reste encore à faire pour garantir une meilleure prise en charge au niveau de cet hôpital qui a pourtant enregistré des progrès non négligeables en matière d’infrastructures et le qualité des soins prodigués. Reste toutefois quelques maux à soigner et un jour “la boucle sera peut-être bouclée” comme le souhaite plus d’un pour garantir de meilleures prestations.
Par La Dépêche de Kabylie
Celle-ci a été inaugurée hier en présence d’un docteur spécialiste en la matière de renommée mondiale, François Jean Marco qui a formé durant les années 1980 plusieurs médecins cardiologues dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Le bloc inauguré hier et qui renforcera davantage les infrastructures de l’hôpital de la ville des Genêts permettra de faire des interventions chirurgicales à cœur ouvert.
C’est une première qui permet la prise en charge des malades au niveau de ce CHU, contrairement aux années précédentes durant lesquelles pour toute intervention en cardiologie, il fallait se déplacer à Alger et à l’étranger. Cela va sans dire que cette nouvelle salle soulagera la spécialité médicale dans la wilaya, mais aussi les patients qui n’ont plus à effectuer de longs trajets et qui attendent parfois des jours avant de pouvoir accéder à la place convoitée pour les soins. Pour les spécialistes, l’ouverture de cette salle s’imposait plus particulièrement dans la wilaya de Tizi-Ouzou, cela dans la mesure où le nombre de personnes souffrant de maladies cardiaques ne cesse d’augmenter dans la capitale du Djurdjura. Nous apprenons en effet, que ce nombre de malades a été multiplié ces quatre dernières années ; actuellement 517 patients sont pris en charge au niveau du service cardiologie du CHU, un service qui s’est complètement métamorphosé en se dotant d’un matériel dernier cri et d’une nouvelle technologie.
En somme, c’est tout le CHU qui a pris des galons depuis quelques années en acquérant de nouveaux équipements, cela même si la qualité du service laisse encore à désirer dans certains services. L’amélioration dans ce domaine est plus que souhaitable par la population locale qui se plaint toujours de certains comportements indignes et qu’on croyait révolus. En somme, il reste encore à faire pour garantir une meilleure prise en charge au niveau de cet hôpital qui a pourtant enregistré des progrès non négligeables en matière d’infrastructures et le qualité des soins prodigués. Reste toutefois quelques maux à soigner et un jour “la boucle sera peut-être bouclée” comme le souhaite plus d’un pour garantir de meilleures prestations.
Par La Dépêche de Kabylie