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L'Expansion.com - 20/07/2009 11:12:00
Pour ce faire l'opérateur, en conflit avec le français Orange pour le contrôle de la société Mobinil, n'exclut pas de s'allier à l'un des candidats à la quatrième licence mobile, a déclaré son président Naguib Sawiris dans un entretien au Figaro.
L'opérateur égyptien Orascom Telecom, en conflit avec Orange pour le contrôle de la société Mobinil, souhaite s'implanter en France et est prêt à s'allier à l'un des candidats à la quatrième licence mobile, a déclaré son président Naguib Sawiris dans un entretien au Figaro.
Déjà présent en Grèce et en Italie, Orascom estime qu'il "fait sens industriellement de s'implanter en France", qui compte "plus de 8 millions de Nord-Africains".
"Nous sommes ouverts à toutes les combinaisons: acquisitions, fusions, alliances, partenariats", a précisé M. Sawiris, assurant que "les acteurs de taille moyenne ne peuvent résister seuls face à la puissance de géants comme Vodafone ou Telefonica".
Orascom n'exclut pas également de "s'allier à l'un des candidats" à la quatrième licence mobile. Selon son président, "il y a un créneau pour un quatrième opérateur en France".
Interrogé sur un éventuel rachat de Bouygues Telecom, il a jugé le prix des acquisitions "exorbitant" à l'heure actuelle, mais a indiqué avoir "les moyens de ses ambitions".
"Nous avons récupéré plus de 2 milliards de la vente de notre participation dans Hutchinson Telecom et 1,2 milliard de la vente de notre filiale irakienne", a-t-il souligné.
M. Sawiris a par ailleurs affirmé que l'opérateur égyptien Mobinil, au coeur d'un différend entre Orascom et France Télécom (Orange) depuis plusieurs mois, commençait à "être pénalisé sur le terrain par cette mésentente d'actionnaires".
En avril, un tribunal a condamné Orascom à transférer sa participation de 28,75% dans Mobinil au groupe français, qui en possède déjà 71,25%.
France Télécomen a alors profité pour lancer une offre sur la société ECMS, dont Mobinil détient 51%, tandis qu'Orascom en possède 20%, les 29% restants étant flottants. Mais ses trois tentatives d'OPA ont été rejetées par les autorités de marché locales.
Pour ce faire l'opérateur, en conflit avec le français Orange pour le contrôle de la société Mobinil, n'exclut pas de s'allier à l'un des candidats à la quatrième licence mobile, a déclaré son président Naguib Sawiris dans un entretien au Figaro.
L'opérateur égyptien Orascom Telecom, en conflit avec Orange pour le contrôle de la société Mobinil, souhaite s'implanter en France et est prêt à s'allier à l'un des candidats à la quatrième licence mobile, a déclaré son président Naguib Sawiris dans un entretien au Figaro.
Déjà présent en Grèce et en Italie, Orascom estime qu'il "fait sens industriellement de s'implanter en France", qui compte "plus de 8 millions de Nord-Africains".
"Nous sommes ouverts à toutes les combinaisons: acquisitions, fusions, alliances, partenariats", a précisé M. Sawiris, assurant que "les acteurs de taille moyenne ne peuvent résister seuls face à la puissance de géants comme Vodafone ou Telefonica".
Orascom n'exclut pas également de "s'allier à l'un des candidats" à la quatrième licence mobile. Selon son président, "il y a un créneau pour un quatrième opérateur en France".
Interrogé sur un éventuel rachat de Bouygues Telecom, il a jugé le prix des acquisitions "exorbitant" à l'heure actuelle, mais a indiqué avoir "les moyens de ses ambitions".
"Nous avons récupéré plus de 2 milliards de la vente de notre participation dans Hutchinson Telecom et 1,2 milliard de la vente de notre filiale irakienne", a-t-il souligné.
M. Sawiris a par ailleurs affirmé que l'opérateur égyptien Mobinil, au coeur d'un différend entre Orascom et France Télécom (Orange) depuis plusieurs mois, commençait à "être pénalisé sur le terrain par cette mésentente d'actionnaires".
En avril, un tribunal a condamné Orascom à transférer sa participation de 28,75% dans Mobinil au groupe français, qui en possède déjà 71,25%.
France Télécomen a alors profité pour lancer une offre sur la société ECMS, dont Mobinil détient 51%, tandis qu'Orascom en possède 20%, les 29% restants étant flottants. Mais ses trois tentatives d'OPA ont été rejetées par les autorités de marché locales.