L’existence de marchés de capitaux est incontestablement indispensable au financement de toute économie, d’autant plus si elle fonctionne selon les mécanismes imposés par le libéralisme. L’Algérie, après avoir entamer toute une série de réformes dans le but de s’initier à l’économie de marché, se trouve face à l’obligation de réformer son marché monétaire et de créer un marché de change afin de subvenir aux besoins de son économie en devises étrangères. Malheuresement, le marché monétaire présentent un certains nombre d’insuffisance et le marché de change semble suffoquer face à l’émergence des marché de change tunisien et marocain. Dés lors, nous tenterons de résumer les principales insuffisances que présentent ces deux marchés et qui méritent d’être relevées:
Tout d’abord, pour le marché monétaire on constate que :
• Les intervenants se limitent aux institutions financières nationales, alors q’au Maroc par exemple on retrouve les personnes physiques et les personnes non résidentes, ainsi que les entreprises publiques et privées.
• L’absence d’un dépositaire central d’où la faible dématérialisation des titres.
• Un faible développement du marché des TCN (Titres de Créances Négociables)
• faible diversité des titres qui se limitent aux certificats de dépôt et aux bons de trésor négociables.
En ce qui concerne le marché de change en Algérie :
• l’absence d’un marché de change à terme.
• L’absence d’instruments de couverture contre le risque de change (options, swaps…etc).
• L’absence d’un marché monétaire de devise alors que ce dernier est primordial pour les opérations de couverture de change.
• Faible constitution de la trésorerie des banques en devises se qui diminue amplement du dynamisme du marché de change.
• La réglementation de change a 10 ans d’âge, est n’a subi aucune réforme, alors que le contexte financier et économique a changé durant cette décennie.
je pense que face toutes ces contraintes, certaines actions, méritent d’être entreprises !!
Tout d’abord, pour le marché monétaire on constate que :
• Les intervenants se limitent aux institutions financières nationales, alors q’au Maroc par exemple on retrouve les personnes physiques et les personnes non résidentes, ainsi que les entreprises publiques et privées.
• L’absence d’un dépositaire central d’où la faible dématérialisation des titres.
• Un faible développement du marché des TCN (Titres de Créances Négociables)
• faible diversité des titres qui se limitent aux certificats de dépôt et aux bons de trésor négociables.
En ce qui concerne le marché de change en Algérie :
• l’absence d’un marché de change à terme.
• L’absence d’instruments de couverture contre le risque de change (options, swaps…etc).
• L’absence d’un marché monétaire de devise alors que ce dernier est primordial pour les opérations de couverture de change.
• Faible constitution de la trésorerie des banques en devises se qui diminue amplement du dynamisme du marché de change.
• La réglementation de change a 10 ans d’âge, est n’a subi aucune réforme, alors que le contexte financier et économique a changé durant cette décennie.
je pense que face toutes ces contraintes, certaines actions, méritent d’être entreprises !!
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