Il n’est plus possible, de nos jours, de parler du développement économique d’un pays, sans évoquer les conditions de son intégration dans l’économie de marché qui privilégie le financement direct, en faisant de la bourse un véritable « baromètre de l’économie ».
Au Maghreb, nous assistons à un vaste mouvement d’intégration économique et au développement des politiques nationales, qui se caractérisent par une plus grande ouverture vers l’investissement privé, mais le financement de ce dernier reste largement assuré par le secteur bancaire.
Le rôle des marchés financiers dans les économies maghrébines demeure au stade embryonnaire, étant donné que les résultats obtenus démontrent un aspect beaucoup plus théorique, qu’une application concrète et réelle des réformes envisagées, notamment en terme de libéralisation financière. Cette dernière s’est avérée une condition sine qua non pour l’insertion des économies maghrébines dans le nouveau contexte économique mondial dans la mesure où, cette ouverture se traduit essentiellement par l’existence impérative d’un marché financier.
Certes, le marché financier fournit un certain nombre d’avantages aux entreprises puisqu’il permet de réduire les coûts relatifs au financement par endettement et confère une certaine autonomie à l’égard du crédit bancaire. Malgré ces opportunités, les entreprises maghrébines dépendent toujours du service bancaire qui reste largement prédominant. Elles éprouvent une réticence vis à vis de la bourse qui leur impose, une transparence totale constituant de ce fait un obstacle majeur pour le financement de leurs investissements.
Notons également que les investissements financés par le marché financier dans les pays du Maghreb restent insuffisants, notamment les investissements productifs porteurs de croissance économique. De ce fait, et afin de pallier à cette inefficacité persistante des marchés financier maghrébins dans le financement des investissements, les principales instructions servant de guide à tout processus de libéralisation financière devant être suivies, sont les suivantes :
Un système : - Assurant le respect des contrats ;
- Judiciaire efficace pour le règlement des conflits et favorisant l’innovation et l’investissement et par là même la croissance.
- Définissant les droits de propriété ;
- Comptable efficace.
Par conséquent, la bourse au Maghreb est sensée être un idéal substitut aux crédits bancaires et un véritable instrument de développement de croissance économique, d’efficacité économique et de bien-être social, mais elle se retrouve avec un rôle passif (surtout en Algérie, imprégné par une faiblesse et une inefficacité flagrante) et suscite l’inquiétude des pouvoirs publics maghrébins. Ces derniers devraient prendre des mesures rapides, voire communes, afin de redynamiser le marché boursier, d’accélérer son expansion et réfléchir sérieusement à mettre en œuvre une stratégie de collaboration, pour que l’économie maghrébine puisse jouir de tous les bienfaits qui peuvent être apportés par une bourse vivante et efficace.
Au Maghreb, nous assistons à un vaste mouvement d’intégration économique et au développement des politiques nationales, qui se caractérisent par une plus grande ouverture vers l’investissement privé, mais le financement de ce dernier reste largement assuré par le secteur bancaire.
Le rôle des marchés financiers dans les économies maghrébines demeure au stade embryonnaire, étant donné que les résultats obtenus démontrent un aspect beaucoup plus théorique, qu’une application concrète et réelle des réformes envisagées, notamment en terme de libéralisation financière. Cette dernière s’est avérée une condition sine qua non pour l’insertion des économies maghrébines dans le nouveau contexte économique mondial dans la mesure où, cette ouverture se traduit essentiellement par l’existence impérative d’un marché financier.
Certes, le marché financier fournit un certain nombre d’avantages aux entreprises puisqu’il permet de réduire les coûts relatifs au financement par endettement et confère une certaine autonomie à l’égard du crédit bancaire. Malgré ces opportunités, les entreprises maghrébines dépendent toujours du service bancaire qui reste largement prédominant. Elles éprouvent une réticence vis à vis de la bourse qui leur impose, une transparence totale constituant de ce fait un obstacle majeur pour le financement de leurs investissements.
Notons également que les investissements financés par le marché financier dans les pays du Maghreb restent insuffisants, notamment les investissements productifs porteurs de croissance économique. De ce fait, et afin de pallier à cette inefficacité persistante des marchés financier maghrébins dans le financement des investissements, les principales instructions servant de guide à tout processus de libéralisation financière devant être suivies, sont les suivantes :
Un système : - Assurant le respect des contrats ;
- Judiciaire efficace pour le règlement des conflits et favorisant l’innovation et l’investissement et par là même la croissance.
- Définissant les droits de propriété ;
- Comptable efficace.
Par conséquent, la bourse au Maghreb est sensée être un idéal substitut aux crédits bancaires et un véritable instrument de développement de croissance économique, d’efficacité économique et de bien-être social, mais elle se retrouve avec un rôle passif (surtout en Algérie, imprégné par une faiblesse et une inefficacité flagrante) et suscite l’inquiétude des pouvoirs publics maghrébins. Ces derniers devraient prendre des mesures rapides, voire communes, afin de redynamiser le marché boursier, d’accélérer son expansion et réfléchir sérieusement à mettre en œuvre une stratégie de collaboration, pour que l’économie maghrébine puisse jouir de tous les bienfaits qui peuvent être apportés par une bourse vivante et efficace.
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