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Les sociétés françaises, doucement mais sûrement
Par : K. Fawzi
L’activité économique dans la wilaya de Blida connaît ces dernières années un développement important en matière d’industrie. La wilaya est réputée pour son pôle industriel important composé de plusieurs zones d’activités à travers toute la wilaya.
Par la forte demande des investisseurs qui veulent s’implanter dans cette région, Blida est sur le point de perdre sa vocation de région agricole pour devenir un pôle industriel spécialisé ans la petite et moyenne entreprise. Le CEIMI, Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja, qui devient l’un des plus grands pôles économiques national, s’ouvre au développement en matière de partenariat avec les opérateurs étrangers.
Des initiatives ont été prises par les responsables du CEIMI en invitant plusieurs hommes d’affaires européens dans le but de les encourager à construire un pont de partenariat dans différents domaines d’activités économiques. Malgré le dévouement affiché par les pouvoirs publics et les responsables du CEIMI pour concrétiser la politique de partenariat, certains opérateurs étrangers restent réticents encore. Mais il semble que les hommes d’affaires français commencent à prendre le chemin vers Alger pour investir doucement, mais sûrement.
Rien que dans la wilaya de Blida, on enregistre une dizaine d’investisseurs. Après le groupe Lafarge qui est à sa troisième année de partenariat avec l’entreprise du ciment de Meftah, et qui a pris la gestion de l’entreprise, on note l’installation du groupe Nestlé Water qui a racheté la société Sidi El-Kebir, spécialisée dans la fabrication des eaux minérales.
Le groupe Danone, lui aussi, qui se déploie à travers tout le territoire national, s’est installé à Blida suite à un accord de partenariat avec le groupe Soummam. Ce dernier, il faut le rappeler, a racheté, il y a quelques années, la laiterie de Béni Tamou. L’Art du verre est aussi une société française qui s’est implantée dans la zone d’activités de Guerouaou, pour produire toutes sortes de verre.
Dans le domaine d’import-export, les Français sont représentés par la société Saint-Gobain, spécialisée dans l’importation, la distribution et la maintenance des tuyaux destinés au secteur hydraulique. Parmi les projets d’investissement en cours de réalisation, on enregistre l’installation d’Algesco, une société qui, elle aussi, a choisi le site de la région de Guerouaou pour fabriquer bientôt le lait en poudre.
Enfin, Promsidor est aussi un autre investisseur français qui vient de s’installer dans la région de Blida pour fabriquer des produits agroalimentaires.
Pour Abdelkader Aggoun, président du CEIMI, le partenariat entre les hommes d’affaires algériens et étrangers vient d’être consolidé par la nouvelle loi promulguée par le gouvernement et qui vient définir le rôle et les limites de chaque partenaire. “Nous avons beaucoup de contacts avec les associations économiques et les hommes d’affaires français. Je pense qu’en matière de partenariat aujourd’hui, les choses sont claires. Il n’y a plus de zones d’ombre. Je pense qu’à l’avenir, nous ferons beaucoup de choses avec les opérateurs économiques français qui affichent déjà leur désir d’investir en Algérie”, a estimé le président du CEIMI.
Par la forte demande des investisseurs qui veulent s’implanter dans cette région, Blida est sur le point de perdre sa vocation de région agricole pour devenir un pôle industriel spécialisé ans la petite et moyenne entreprise. Le CEIMI, Club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja, qui devient l’un des plus grands pôles économiques national, s’ouvre au développement en matière de partenariat avec les opérateurs étrangers.
Des initiatives ont été prises par les responsables du CEIMI en invitant plusieurs hommes d’affaires européens dans le but de les encourager à construire un pont de partenariat dans différents domaines d’activités économiques. Malgré le dévouement affiché par les pouvoirs publics et les responsables du CEIMI pour concrétiser la politique de partenariat, certains opérateurs étrangers restent réticents encore. Mais il semble que les hommes d’affaires français commencent à prendre le chemin vers Alger pour investir doucement, mais sûrement.
Rien que dans la wilaya de Blida, on enregistre une dizaine d’investisseurs. Après le groupe Lafarge qui est à sa troisième année de partenariat avec l’entreprise du ciment de Meftah, et qui a pris la gestion de l’entreprise, on note l’installation du groupe Nestlé Water qui a racheté la société Sidi El-Kebir, spécialisée dans la fabrication des eaux minérales.
Le groupe Danone, lui aussi, qui se déploie à travers tout le territoire national, s’est installé à Blida suite à un accord de partenariat avec le groupe Soummam. Ce dernier, il faut le rappeler, a racheté, il y a quelques années, la laiterie de Béni Tamou. L’Art du verre est aussi une société française qui s’est implantée dans la zone d’activités de Guerouaou, pour produire toutes sortes de verre.
Dans le domaine d’import-export, les Français sont représentés par la société Saint-Gobain, spécialisée dans l’importation, la distribution et la maintenance des tuyaux destinés au secteur hydraulique. Parmi les projets d’investissement en cours de réalisation, on enregistre l’installation d’Algesco, une société qui, elle aussi, a choisi le site de la région de Guerouaou pour fabriquer bientôt le lait en poudre.
Enfin, Promsidor est aussi un autre investisseur français qui vient de s’installer dans la région de Blida pour fabriquer des produits agroalimentaires.
Pour Abdelkader Aggoun, président du CEIMI, le partenariat entre les hommes d’affaires algériens et étrangers vient d’être consolidé par la nouvelle loi promulguée par le gouvernement et qui vient définir le rôle et les limites de chaque partenaire. “Nous avons beaucoup de contacts avec les associations économiques et les hommes d’affaires français. Je pense qu’en matière de partenariat aujourd’hui, les choses sont claires. Il n’y a plus de zones d’ombre. Je pense qu’à l’avenir, nous ferons beaucoup de choses avec les opérateurs économiques français qui affichent déjà leur désir d’investir en Algérie”, a estimé le président du CEIMI.
K. Fawzi
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