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Comme à chaque saison estivale, l’eau manque cruellement dans la quarantaine de villages que compte la commune de Maâtkas.
Le ras-le-bol est perceptible chez les ménages qui ne savent plus à quel sain se vouer pour s’alimenter en eau potable. Alors qu’on croyait que les pénuries d’eau sont révolues depuis le renforcement du réseau alimentant la commune de Souk-El-Ténine depuis la nappe phréatique du plateau de Mechtras, voilà que le cauchemar des robinets secs a refait surface depuis le début de la saison estivale.
Il convient de souligner que la commune de Maâtkas, qui compte plus de 35 000 habitants, a toujours été mal lotie en matière d’alimentation en eau potable. Et rien n’indique que cette situation prendra fin surtout que l’Algérienne des eaux (ADE) ne cesse de se justifier par ses intempestives pannes au niveau de la station de pompage de Bouaïd ou encore l’insuffisance des heures de pompage pour la localité.
Pis, la répartition de ce liquide vital à travers les villages est décriée par de nombreux citoyens. «Cela fait plusieurs jours que je n’ai pas d’eau, je suis dans l’obligation de louer une citerne !» s’indigne un père de famille. Il y a lieu de souligner que dans d’autres circonscriptions, cette entreprise procède à l’affichage des horaires d’alimentation en eau à travers les villages pour lever toute suspicion quant à l’équité entre précisément les quartiers et hameaux. Tel est le cas, par exemple, à Beni-Zmenzer.
C’est dire que pour le moment, c’est un silence radio qui est observé par l’ADE quant à ces pénuries d’eau dans la commune de Maâtkas, alors que la saison estivale est loin d’être terminée. Certains parlent de l’incapacité de la station de pompage de Bouaïd d’alimenter la partie sud de la wilaya de Tizi- Ouzou, d’autres évoquent la tarissement de cette nappe et les heures limitées de pompage accordées à Maâtkas, et que ce ne serait qu’une politique de rationnement qui est menée délibérément par l’ADE.
C’est précisément ce black-out absolu de cette entreprise qui laisse place à toutes les supputations et aux folles rumeurs qui circulent parmi la population maâtkie, tant il est vrai que tout le monde appréhende l’été qui s’annonce visiblement très chaud. Il est impératif que l’ADE s’explique, car il est du droit du citoyen de connaître les raisons de ces pénuries d’eau harassantes alors que le barrage de Taksebt, situé à quelques kilomètres de la localité, est plein ! Signalons, en outre, que l’alimentation en énergie électrique est aussi décriée par les citoyens en raison des délestages excessifs opérés par la Sonelgaz.
Par Le soir
Le ras-le-bol est perceptible chez les ménages qui ne savent plus à quel sain se vouer pour s’alimenter en eau potable. Alors qu’on croyait que les pénuries d’eau sont révolues depuis le renforcement du réseau alimentant la commune de Souk-El-Ténine depuis la nappe phréatique du plateau de Mechtras, voilà que le cauchemar des robinets secs a refait surface depuis le début de la saison estivale.
Il convient de souligner que la commune de Maâtkas, qui compte plus de 35 000 habitants, a toujours été mal lotie en matière d’alimentation en eau potable. Et rien n’indique que cette situation prendra fin surtout que l’Algérienne des eaux (ADE) ne cesse de se justifier par ses intempestives pannes au niveau de la station de pompage de Bouaïd ou encore l’insuffisance des heures de pompage pour la localité.
Pis, la répartition de ce liquide vital à travers les villages est décriée par de nombreux citoyens. «Cela fait plusieurs jours que je n’ai pas d’eau, je suis dans l’obligation de louer une citerne !» s’indigne un père de famille. Il y a lieu de souligner que dans d’autres circonscriptions, cette entreprise procède à l’affichage des horaires d’alimentation en eau à travers les villages pour lever toute suspicion quant à l’équité entre précisément les quartiers et hameaux. Tel est le cas, par exemple, à Beni-Zmenzer.
C’est dire que pour le moment, c’est un silence radio qui est observé par l’ADE quant à ces pénuries d’eau dans la commune de Maâtkas, alors que la saison estivale est loin d’être terminée. Certains parlent de l’incapacité de la station de pompage de Bouaïd d’alimenter la partie sud de la wilaya de Tizi- Ouzou, d’autres évoquent la tarissement de cette nappe et les heures limitées de pompage accordées à Maâtkas, et que ce ne serait qu’une politique de rationnement qui est menée délibérément par l’ADE.
C’est précisément ce black-out absolu de cette entreprise qui laisse place à toutes les supputations et aux folles rumeurs qui circulent parmi la population maâtkie, tant il est vrai que tout le monde appréhende l’été qui s’annonce visiblement très chaud. Il est impératif que l’ADE s’explique, car il est du droit du citoyen de connaître les raisons de ces pénuries d’eau harassantes alors que le barrage de Taksebt, situé à quelques kilomètres de la localité, est plein ! Signalons, en outre, que l’alimentation en énergie électrique est aussi décriée par les citoyens en raison des délestages excessifs opérés par la Sonelgaz.
Par Le soir