Prévention des MST
Qu’est-ce qu’une maladie sexuellement transmissible ?:
De nombreuses maladies infectieuses se transmettent essentiellement au cours des relations sexuelles sans préservatif (ou relations non protégées).
Il peut s’agir :
• De maladies dues à des bactéries comme la syphilis,la gonococcie ou les chlamydioses ;
• De maladies dues à des parasites comme les trichomonases ou à des champignons (candidose par exemple) ;
• De maladies dues à des virus comme le sida, l’hépatite B, l’herpès ou des infections à un virus dit HPV (Human Papillomavirus).
Ces différentes MST ont des gravités très variables : celles qui sont liées à la transmission d’une bactérie, d’un parasite ou d’un champignon, sont facilement guéries par des antibiotiques tandis que celles liées à un virus
nécessitent une prise en charge longue et complexe.
Le préservatif masculin reste la première arme pour éviter de contracter une MST :
• Il doit être utilisé lors de tout rapport sexuel à risque,c’est-à-dire avec un (ou une) partenaire dont on ne sait pas avec certitude s’il (ou elle) est porteur d’une MST et bien sûr si l’on est soit même en traitement pour une
MST.
• L’efficacité du préservatif dans la prévention des MST est extrêmement élevée à la condition de respecter des conditions d’utilisation strictes :
- vérifier que l’emballage est intact ;
- ouvrir le sachet avec les doigts et non avec les dents ou les ongles ;
- dérouler le préservatif sur la verge en érection ;
- ne jamais lubrifier le préservatif avec un corps huileux ;
- maintenir le préservatif à la base de la verge lors du retrait ;
- le relubrifier si nécessaire en privilégiant les lubrifiants à base aqueuse ;
- et bien sûr, utiliser un nouveau préservatif à chaque rapport.
• Les préservatifs vendus en France doivent être étiquetés"CE", la norme européenne EN600 s'étant substituée depuis quelques années au traditionnel label NF.
• En cas de rupture du préservatif (moins de 1 % des rapports) au cours d’un rapport à risque, une consultation d’urgence s’impose pour envisager avec le médecin spécialiste un traitement préventif anti-sida(et éventuellement une pilule du lendemain).
Qu’est-ce qu’une maladie sexuellement transmissible ?:
De nombreuses maladies infectieuses se transmettent essentiellement au cours des relations sexuelles sans préservatif (ou relations non protégées).
Il peut s’agir :
• De maladies dues à des bactéries comme la syphilis,la gonococcie ou les chlamydioses ;
• De maladies dues à des parasites comme les trichomonases ou à des champignons (candidose par exemple) ;
• De maladies dues à des virus comme le sida, l’hépatite B, l’herpès ou des infections à un virus dit HPV (Human Papillomavirus).
Ces différentes MST ont des gravités très variables : celles qui sont liées à la transmission d’une bactérie, d’un parasite ou d’un champignon, sont facilement guéries par des antibiotiques tandis que celles liées à un virus
nécessitent une prise en charge longue et complexe.
Le préservatif masculin reste la première arme pour éviter de contracter une MST :
• Il doit être utilisé lors de tout rapport sexuel à risque,c’est-à-dire avec un (ou une) partenaire dont on ne sait pas avec certitude s’il (ou elle) est porteur d’une MST et bien sûr si l’on est soit même en traitement pour une
MST.
• L’efficacité du préservatif dans la prévention des MST est extrêmement élevée à la condition de respecter des conditions d’utilisation strictes :
- vérifier que l’emballage est intact ;
- ouvrir le sachet avec les doigts et non avec les dents ou les ongles ;
- dérouler le préservatif sur la verge en érection ;
- ne jamais lubrifier le préservatif avec un corps huileux ;
- maintenir le préservatif à la base de la verge lors du retrait ;
- le relubrifier si nécessaire en privilégiant les lubrifiants à base aqueuse ;
- et bien sûr, utiliser un nouveau préservatif à chaque rapport.
• Les préservatifs vendus en France doivent être étiquetés"CE", la norme européenne EN600 s'étant substituée depuis quelques années au traditionnel label NF.
• En cas de rupture du préservatif (moins de 1 % des rapports) au cours d’un rapport à risque, une consultation d’urgence s’impose pour envisager avec le médecin spécialiste un traitement préventif anti-sida(et éventuellement une pilule du lendemain).
Commentaire