L’ouverture des frontières nécessite une coopération sécuritaire
Quatre conditions algériennes
Alger nie, d’une façon officielle, à travers son ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, l’existence d’une quelconque crise avec Rabat, ajoutant que les relations, avec notre voisin marocain, sont meilleures, par rapport à d’autres pays de la région.
En fait, l’Algérie à tendance à soulever, deux principaux chapitres, dans ses relations avec les pays du l’UMA. Le premier se résume dans le fait que l’existence de l’UMA ne doit jamais se faire, au détriment du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Le deuxième chapitre concerne les relations avec le Maroc. L’Algérie affirme, encore et toujours, qu’elles sont normales, et qu’elles sont totalement séparées du conflit, entre Rabat et le front Polisario. Par contre, Rabat, tient à dire que de bonnes relations ne peuvent exister qu’avec l’ouverture des frontières terrestres.
Le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, souligne que « le roi Mohamed VI et le Président Bouteflika se sont rencontrés, à maintes reprises, en dehors du Maroc et de l’Algérie, et ils sont, constamment, en relation téléphonique, sur toutes les questions d’intérêt commun. » En ce qui concerne l'impact de la fermeture des frontières, entre les deux pays, sur leurs relations, Medelci a indiqué que « les frontières n’empêchent pas l’existence de relations normales entre tous les pays. » Ces déclarations ont été interprétées d’une façon positive, par quelque milieu, au Maroc. Des journaux, publiés la semaine dernière, ont affirmé que de telles déclarations « reflètent qu’un changement du discours de l’Algérie, envers le Maroc, est entrain de se faire. »
L’Algérie exige, avant un quelconque traitement, des demandes marocaines, sur la nécessité d’enlever tous les obstacles à la circulation des biens et des personnes, par voie terrestre, entre les deux pays, quatre conditions principales. La coopération sécuritaire entre les deux pays, combattre toutes les formes de la contrebande transfrontalière, la lutte contre le trafic de drogues et contrecarrer l'immigration clandestine. Cependant, la question de « l’ouverture des frontières » ne semble pas parmi les priorités de l’Algérie, alors qu’elle est une priorité dans le discours de la diplomatie marocaine.
El-khabar
Quatre conditions algériennes
Alger nie, d’une façon officielle, à travers son ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, l’existence d’une quelconque crise avec Rabat, ajoutant que les relations, avec notre voisin marocain, sont meilleures, par rapport à d’autres pays de la région.
En fait, l’Algérie à tendance à soulever, deux principaux chapitres, dans ses relations avec les pays du l’UMA. Le premier se résume dans le fait que l’existence de l’UMA ne doit jamais se faire, au détriment du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Le deuxième chapitre concerne les relations avec le Maroc. L’Algérie affirme, encore et toujours, qu’elles sont normales, et qu’elles sont totalement séparées du conflit, entre Rabat et le front Polisario. Par contre, Rabat, tient à dire que de bonnes relations ne peuvent exister qu’avec l’ouverture des frontières terrestres.
Le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, souligne que « le roi Mohamed VI et le Président Bouteflika se sont rencontrés, à maintes reprises, en dehors du Maroc et de l’Algérie, et ils sont, constamment, en relation téléphonique, sur toutes les questions d’intérêt commun. » En ce qui concerne l'impact de la fermeture des frontières, entre les deux pays, sur leurs relations, Medelci a indiqué que « les frontières n’empêchent pas l’existence de relations normales entre tous les pays. » Ces déclarations ont été interprétées d’une façon positive, par quelque milieu, au Maroc. Des journaux, publiés la semaine dernière, ont affirmé que de telles déclarations « reflètent qu’un changement du discours de l’Algérie, envers le Maroc, est entrain de se faire. »
L’Algérie exige, avant un quelconque traitement, des demandes marocaines, sur la nécessité d’enlever tous les obstacles à la circulation des biens et des personnes, par voie terrestre, entre les deux pays, quatre conditions principales. La coopération sécuritaire entre les deux pays, combattre toutes les formes de la contrebande transfrontalière, la lutte contre le trafic de drogues et contrecarrer l'immigration clandestine. Cependant, la question de « l’ouverture des frontières » ne semble pas parmi les priorités de l’Algérie, alors qu’elle est une priorité dans le discours de la diplomatie marocaine.
El-khabar
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