Ferme tes yeux, et sur les eaux calmes de tes pensées,
laise toi porter.
Ecoute les sons et les bruits.
Une douce léthargie,
de tes sens s'est emparée.
La nature te murmure ses folies.
A petits claquements d'ailes,
une touterelle vient se poser.
Ses roucoulements continus,
s'invitent à te surprendre.
L'hirondelle,
de ses passages incessants,
et ses cris rassurants,
une joyeuse mélodie a composé.
Le sifflement à trois temps du rouge-gorge,
aux trilles du chardonneret vient se mélanger.
Le gazouillis joyeux du moineau,
avec celui du pinson s'est confondus.
L'abeille, avec ses compagnes,
des passages bourdonnants,
à mon oreille s'est invitée.
Mon esprit,
d'elles se détournant,
un froissement au sol s'éloignant,
je surprends.
Une délicieuse brise,
de sa caresse,
s'amuse à coiffer,
le feuillage désordonné.
Le ronflement d'un avion,
son passage il vient d'installer.
Cet oiseau là,
à cette fête ne fut sollicité.
Une péniche,
son glissement je viens d'écouter.
Par le bruit assourdi de ses machines,
mon oreille ne fut point perturbée.
Le claquement des feuilles,
en musique de fond,
vient s'offrir en douce panoplie.
Dans les fourrés,
quelque chose a remué,
mais mes paupières je ne veux lever.
Douceur du moment qui passe.
Délicat voyage au sein de l'espace.
Et si à la paresse j'ouvrais la porte,
pour encore m'éloigner du rivage ?
Les bruits et les sons s'espacent...
Je viens de déposer les armes.
Mes forces ont disparues,
et avec délectation,
mon abandon rejoint...
laise toi porter.
Ecoute les sons et les bruits.
Une douce léthargie,
de tes sens s'est emparée.
La nature te murmure ses folies.
A petits claquements d'ailes,
une touterelle vient se poser.
Ses roucoulements continus,
s'invitent à te surprendre.
L'hirondelle,
de ses passages incessants,
et ses cris rassurants,
une joyeuse mélodie a composé.
Le sifflement à trois temps du rouge-gorge,
aux trilles du chardonneret vient se mélanger.
Le gazouillis joyeux du moineau,
avec celui du pinson s'est confondus.
L'abeille, avec ses compagnes,
des passages bourdonnants,
à mon oreille s'est invitée.
Mon esprit,
d'elles se détournant,
un froissement au sol s'éloignant,
je surprends.
Une délicieuse brise,
de sa caresse,
s'amuse à coiffer,
le feuillage désordonné.
Le ronflement d'un avion,
son passage il vient d'installer.
Cet oiseau là,
à cette fête ne fut sollicité.
Une péniche,
son glissement je viens d'écouter.
Par le bruit assourdi de ses machines,
mon oreille ne fut point perturbée.
Le claquement des feuilles,
en musique de fond,
vient s'offrir en douce panoplie.
Dans les fourrés,
quelque chose a remué,
mais mes paupières je ne veux lever.
Douceur du moment qui passe.
Délicat voyage au sein de l'espace.
Et si à la paresse j'ouvrais la porte,
pour encore m'éloigner du rivage ?
Les bruits et les sons s'espacent...
Je viens de déposer les armes.
Mes forces ont disparues,
et avec délectation,
mon abandon rejoint...
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