Sur l'herbe humide installe-toi.
Ton regard,
le laisser vagabonder tu dois.
Ton esprit, flâneur il deviendra.
D'une douce somnolence il s'emparera.
Le soleil y contribuera.
L'automne,
l'été il vient de remplacer.
Mais de douceur s'est habillé.
Pinsons et moineaux,
de mélodies t'ont entourés.
T'éloigner du bruit tu es tenu,
si paresses tu veux !
Ecoute le bruissement de l'air,
un doux mouvement il est devenu.
Le murmure d'une rivière qui s'écoule,
pour toi,
mélodieuse elle s'est rendue.
La caresse du temps qui passe,
ainsi,
de toi se saisira.
La mer céleste,
de bleu transparent s'est revêtue.
Y nager,
mes yeux s'y essaient.
Mais à s'y perdre ils ont réussi.
De paresse,
tes membres ont été pris.
Sur ton nuage,
tes pensées se sont éloignées.
Dans l'infini tu t'es perdu.
Revenir,
tu n'es pas tenu.
Et si tes paupières n'ont plus de retenues,
à l'appel d'un voyage inconnu,
favorablement tu as répondu.
Par la nature,
vivante et gaie,
effleuré,
parfois tu as été.
Son manteau léger,
sur toi elle a posé.
Maintenant,
te voilà protégé,
à toi de te laisser aller.
Ton regard,
le laisser vagabonder tu dois.
Ton esprit, flâneur il deviendra.
D'une douce somnolence il s'emparera.
Le soleil y contribuera.
L'automne,
l'été il vient de remplacer.
Mais de douceur s'est habillé.
Pinsons et moineaux,
de mélodies t'ont entourés.
T'éloigner du bruit tu es tenu,
si paresses tu veux !
Ecoute le bruissement de l'air,
un doux mouvement il est devenu.
Le murmure d'une rivière qui s'écoule,
pour toi,
mélodieuse elle s'est rendue.
La caresse du temps qui passe,
ainsi,
de toi se saisira.
La mer céleste,
de bleu transparent s'est revêtue.
Y nager,
mes yeux s'y essaient.
Mais à s'y perdre ils ont réussi.
De paresse,
tes membres ont été pris.
Sur ton nuage,
tes pensées se sont éloignées.
Dans l'infini tu t'es perdu.
Revenir,
tu n'es pas tenu.
Et si tes paupières n'ont plus de retenues,
à l'appel d'un voyage inconnu,
favorablement tu as répondu.
Par la nature,
vivante et gaie,
effleuré,
parfois tu as été.
Son manteau léger,
sur toi elle a posé.
Maintenant,
te voilà protégé,
à toi de te laisser aller.
Commentaire