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Après six mois de travaux, la trémie de Guendouza est ouverte à la circulation. Le wali de Béjaïa l’a inaugurée jeudi dernier. Véritable point noir de la circulation, il ne l’est plus désormais à la faveur de cette mise en service. Outre la fluidité de la circulation, cet ouvrage contribuera à coup sûr à l’amélioration du cadre de vie et de l’esthétique urbaine.
La même délégation de wilaya a, dans la foulée, procédé à l’inauguration du pont sur l’oued Oukendouk, au centre-ville de Sidi Aïch. L’ancien ouvrage s’était effondré il y a quelques années, des suites du passage d’un camion de gros tonnage. Avec l’ouverture de ces deux ouvrages d’art, qui s’ajoutent à celle du nouveau pont de la Soummam opérée la semaine dernière, la wilaya de Béjaïa voit ses axes routiers se désengorger peu à peu. Le dédoublement de la RN26, déjà achevé entre la ville de Béjaïa et celle d’El Kseur, est appelée dans le prochain programme à se poursuivre jusqu’aux frontières de la wilaya de Bouira.
Ce qui ne manquera pas de se traduire positivement sur le développement local et régional. Sachant que le transport est le poumon de l’économie, les deux dernières mesures prises par les pouvoirs publics et celles appelées à être entreprises dans l’avenir confirment bien les intentions annoncées il y a un peu plus d’un an, soit au lendemain de l’installation du nouveau wali.
Comment pouvait-il en être autrement lorsqu’on sait toute l’importance que revêt l’ouvrage de Guendouza en raison du volume du trafic routier que connaît la RN26 qui longe la vallée de la Soummam. Il en est de même pour le pont de Scala ou de la Soummam qui désengorge l’entrée est de la ville de Béjaïa. Le dédoublement de la RN9 a déjà eu ses premiers effets positifs sur la circulation routière. Le lancement prochain de la pénétrante devant relier la wilaya de Béjaïa à l’autoroute Est-Ouest à partir de Laâdjiba ne fera que sortir cette région de l’isolement. Avec un port qui connaît une activité intense, l’amélioration des axes routiers ne peut que contribuer au développement de la région, en particulier, et du pays, en général.
Arezki SLIMANI (L'Expression)
La même délégation de wilaya a, dans la foulée, procédé à l’inauguration du pont sur l’oued Oukendouk, au centre-ville de Sidi Aïch. L’ancien ouvrage s’était effondré il y a quelques années, des suites du passage d’un camion de gros tonnage. Avec l’ouverture de ces deux ouvrages d’art, qui s’ajoutent à celle du nouveau pont de la Soummam opérée la semaine dernière, la wilaya de Béjaïa voit ses axes routiers se désengorger peu à peu. Le dédoublement de la RN26, déjà achevé entre la ville de Béjaïa et celle d’El Kseur, est appelée dans le prochain programme à se poursuivre jusqu’aux frontières de la wilaya de Bouira.
Ce qui ne manquera pas de se traduire positivement sur le développement local et régional. Sachant que le transport est le poumon de l’économie, les deux dernières mesures prises par les pouvoirs publics et celles appelées à être entreprises dans l’avenir confirment bien les intentions annoncées il y a un peu plus d’un an, soit au lendemain de l’installation du nouveau wali.
Comment pouvait-il en être autrement lorsqu’on sait toute l’importance que revêt l’ouvrage de Guendouza en raison du volume du trafic routier que connaît la RN26 qui longe la vallée de la Soummam. Il en est de même pour le pont de Scala ou de la Soummam qui désengorge l’entrée est de la ville de Béjaïa. Le dédoublement de la RN9 a déjà eu ses premiers effets positifs sur la circulation routière. Le lancement prochain de la pénétrante devant relier la wilaya de Béjaïa à l’autoroute Est-Ouest à partir de Laâdjiba ne fera que sortir cette région de l’isolement. Avec un port qui connaît une activité intense, l’amélioration des axes routiers ne peut que contribuer au développement de la région, en particulier, et du pays, en général.
Arezki SLIMANI (L'Expression)
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