La raison profonde et cachée de l’oppression tyrannique à travers le Moyen-Orient est l’imposition par la france et l’Angleterre d’une clique Pan-Arabiste qui avait pour but d’arabiser les differents peuples du Moyen-Orient, qui sont tout sauf arabes.
Pour commencer, nous devons mettre en en évidence que parmis les états membres de la soi-disante Ligue Arabe, il n’y en a pas un seul habité par des populations Arabes. De ce point de vue, la simple et seule vérité historique est qu’ils ne sont pas Arabes du tout. Ce sont seulement des peuples "arabophones" avec des differences énormes de l’un à l’autre, tous avec un passé different, des cultures differentes, des systèmes sociaux et comportementaux differents, des archétypes et points de vue differents. Dans une tentative de former une "union" parmis des peuples si disparates, l’échec est garanti.
Nous avons tous été les témoins d’exemples de désunions, de dénigrements peu flatteurs de la part des "leaders" sans éducations et sans cultures de la "Ligue Arabe". L’erreur a été de voir tout cela comme une situation fratricide, alors que ce n’est pas le cas, étant donné qu’ils sont très différents les uns des autres. C’est uniquement le regroupement paranoiaque et contre nature nommé "Ligue Arabe" qui, en créant le choc d’assembler des élements qui ne peuvent être ensembles, a généré l’ atmosphère désagréable dans laquelle tous ces leaders risibles et clownesques se sont engoufrés, sans savoir pourqoui "celà" leurs arrivait ! Leur ignorance est pathétique.
Si celà ne concernait qu’uniquement ces grotesques personnages de l’actuelle Commedia dell’Arte politicienne, le problème aurait été limité, et personne n’aurait besoin de le résoudre. Mais l’occident et le reste du monde se retrouve impliqué d’une facon ou d’une autre, à cause de l’interconnexion existante depuis l’époque coloniale. Le moyen Orient affecte le monde entier. Et si la réalité historique absolue et fondamentale n’est pas d’abord largement évaluée et comprise, rien de bon ne pourra venir du Moyen orient et de ses extrèmistes frénéniques.
Si, au Moyen Orient, les gens ne sont pas Arabes, que sont ils ?
Le réel visage, vrai mais caché du Moyen Orient
En réalité, les Libanais sont des Phéniciens qui ont été hellenisés et araméisés dans la proche antiquité.
Les Syriens et Irakiens arabophones sont des Araméens. De la même facon les Palèstiniens et les Koweitiens, comme les Emiraties et les Qataries, qui ont été certainement mélangés aux perses.
Les Egyptiens sont Coptes, indigènes Egyptiens, decendants des anciens peuples d’Egyptes dans leur mélanges avec les nombreux étrangers qui passèrent par la vallée du Nil : Araméens, Phéniciens, Yéménites, Grecques, Soudanais Méroitiques, Romains et autres.
Les Soudanais sont les decendants des ancient Méroites et des Nubiens.
Les Lybiains et les peuples du Maghreb sont les decendants des peuples chamitiques du grand Atlas, les Berberes, dans leur veritable fusion avec les Carthaginois et les Romains.
Et finalement les Yemenites sont yémenites, decendants des ancients états de Saba, Qataban, Himyar, Hadramout et autres ; ils sont plus proches des Abyssiniens (appelés par erreur Ethiopiens) que des Arabes du Hedjaz.
Islamisation : la raison de l’Arabisation (linguistique mais non racial)
Tous ces peuples, en acceptant l’Islam, tôt ou tard, commencèrent à s’arabiser, mais ceci se passa sur le plan linguistique et non racial ou éthnique. Et nous savons tous trop bien que les Arabes à l’époque du prophète étaient très peu nombreux. Une génération plus tard, quand disons les armées Islamiques arrivèrent à Carthage dans l’actuelle Tunisie, l’Asie Centrale et la Vallée de l’Indus, les combattants Musulmans parlaient Arabe mais une minoritée d’entres eux seulement étaient Arabes. les Araméens de Damas et Ctesiphon, les Egyptiens d’Alexandrie, les Yéménites de Muza et les Perses de Praaspa représentaient déjà une majoritée parmis eux ! Ils apprirent le language du Coran, mais ils ne pouvaient et ne changèrent pas leurs origines raciales et éthniques.
Les Coptes (Chrétiens) d’Egypte, les Assyriens et les Chaldéens d’Irak et d’Iran sont de bons exemples pour montrer ce qui se passa : ceux qui restèrent Chrétiens préservèrent leur langue initiale (Copte et Araméique-Syriaque), et la perdirent progressivement avec le temps.
Parmis ceux qui accèptèrent l’Islam dans ses débuts, seuls les Perses conservèrent leur langue. Ceci n’est pas étrange, depuis que le phénomène culturel de Ferdowski nous en donne une compréhension perspicace sur le sujet.
L’exercice du colonialisme et la diffusion du Pan-arabisme
Parceque que celà n’arriva pas, nous témoignons aujourd’hui de la situation actuelle, mais ceci n’inclue pas que ces peuples sont Arabes, ou alors qu’une sorte d’union peut être basée sur une fausse perception de l’histoire, le manque d’ information et la désinformation dues au pouvoir de la diplomatie coloniale. La France et l’Angleterre devinrent les centres de l’émanation d’un "pan-arabisme" faussement concu et mal étudié, dès lors qu’ ils focalisèrent leur politiques éducationnelles, académiques, culturelles et idéologiques sur des finalitées en rapport avec leur stratégie de faire tomber l’Iran Safevid, l’Empire Otoman et l’Inde Mughal. Le terme "mal étudié" est employé car ce mensonge créa des problèmes plus grands que ceux qu’il était sensé résoudre, même si nous limitons la discussion à l’Occident, étant donné que le Terrorisme Islamique est un résultat tardif des précédents développements idéologiques dans la région du Moyen Orient.
C’est à partir des universités de l’Europe de l’ouest, des partis politiques et des ateliers déments de toutes sortes qu’ émana ce nationalisme. Et de tel sorte que celà causa de sérieux problèmes aux peuples d’Est et d’Ouest, aux Chrétiens, Musulmans, Juifs, Hindous et autres. La confusion qui se propagea à travers les territoires de l’ Empire Ottoman trouva son équivalent dans le désastre des Irlandais, Ecossais, Corses et Celtes de Bretagne. Actuellement, celà ne mène nulle part.
Le plut tôt nous comprendrons ceci, le plus tôt nous éviterons le piège qui mène aux guerres et au désespoir.
Bien entendu, le shéma colonial n’était pas imaginé seulement contre l’Empire Ottoman. Il avait pour but de créer une situation dans laquelle il sera sûr qu’aucune autre forme d’états forts consécutifs ne pourraient prendre sa place ! De cette facon, les pouvoirs coloniaux desssinèrent comme nous le savons la problèmatique du moyen orient dans les années 20, 30, 50 et 60. Un espace dans lequel les puissances Occidentales pourraientt puiser le pétrole et autres resources dans une perspective plus profitable et qui en même temps les aiderait à s’imposer comme des puissances indiscutables envers le reste du monde.
Suite à l’issue de la première guerre mondiale, les Etats Unies se rapprochèrent des deux puissances coloniales et achevèrent un "miracle" à plusieures cibles :
1. ils détruisirent l’Empire Ottoman
2. ils s’assurèrent qu’ aucune autre force ne puissent s’édifier au Moyen Orient
3. ils écartèrent les rivaux Allemands et Russes !
L’impossibilité d’un nationalisme "Arabe"
Dans le sens où jamais des Indiens ne pourrons exprimer un nationalisme Chinois, et jamais un Espagnol ne pourra exprimer un nationalisme Portugais, jamais ..........
a. les Coptes d’ Egyptes (toute la population est Copte, pas seulement les Chrétiens - appelons les Egyptiens si vous voulez-
b. les Araméens de Syrie, d’Irak, de Jordanie (à nouveau je parle de toute les populations de ces pays et pas seulement des Chrétiens), d’Iran (les sois disants Arabes du Khuzestan sont juste des Araméens), de Turquie ( Turques, Kurde, populations arabophones d’Ankara, Gaziantep, Kahraman, Marash, Urfa/Edessa, Diyarbakir/Amida, Mardin/Margdis, Nusaybin, Hasankeyf, Siirt and Cizre)et du Liban
c. les Berberes de lybie, de Tunisie, du Maroc et d’Algérie (à nouveau je ne parle pas des Kabyles d’Algérie, qui ouvertement se réclament de l’identité Berbere/Chamitique, mais de l’entière population de ces pays)
d. les Nubiens (appartenant au soit disant groupe des langues et races Nilo-Saharien) d’Egypte et du Soudan (une autre minoritée terriblement oppressée), qui vivent entre Louxor en Egypte et Karima au Soudan
e. les Méroites du Soudan, qui sont ou bien nubianisés au nord de Karima, ou bien arabisés entre Karima et Malakal au centre du Soudan, étant les decendants des anciennes populations chamitiques des anciens états Soudanais Kush (800 - 525), Meroe (450 BCE - 350 CE) et (chrétien) Makkuria (450 - 1150)
f. les Yéménites et les Omanis, qui sont certainement sémites mais plus proches des Abyssiniens que des Arabes (leur language ancien, largement reproduit sur des monuments épigraphiques donna naissance au Gueze, le language officiel et religieux de l’Abyssine Axumite, et a été préservé jusqu’à aujourd’hui dans certaines parties de Hadramawt et sur l’île de Sokotra) et pour finir mais pas des moindres
g. les Palestiniens, les Koweitiens, les Kataries, les Emiraties et les Bahreinies, qui tous sont des Araméens arabisés,
.............. ne seront capables d’exprimer une chose telle que le nationalisme Arabe.
La force de survie était plus considérable dans le cas du Nubien et du Berbere que pour le Syriaque, le Yeménite et même le Copte. Ce dernier devint silencieux il y a seulement 150 ans. À l’époque de Champollion, le Copte était toujours la langue maternelle d’ un petit millier d’Egyptiens Chrétiens. Mais déjà le Copte est la langue religieuse en usage pour les Chrétiens d’Egypte, et plusieurs centaines de milliers l’apprennent dans les écoles religieuses.
A cette présentation, nécessairement sommaire, il ne peut y avoir qu’ un contre argument :
Plusieurs universitaires ont prétendus que les Arabes, sortis de la péninsules Arabique au tout début de l’ère islamique se seraient finalement installés et définitivement mélangés au populations d’Iran, en passant par Oman jusqu’au Maroc, dans le sens que nous pourrions admettre une arabisation non plus seulement au niveau linguistique, mais aussi raciale.
Pour commencer, nous devons mettre en en évidence que parmis les états membres de la soi-disante Ligue Arabe, il n’y en a pas un seul habité par des populations Arabes. De ce point de vue, la simple et seule vérité historique est qu’ils ne sont pas Arabes du tout. Ce sont seulement des peuples "arabophones" avec des differences énormes de l’un à l’autre, tous avec un passé different, des cultures differentes, des systèmes sociaux et comportementaux differents, des archétypes et points de vue differents. Dans une tentative de former une "union" parmis des peuples si disparates, l’échec est garanti.
Nous avons tous été les témoins d’exemples de désunions, de dénigrements peu flatteurs de la part des "leaders" sans éducations et sans cultures de la "Ligue Arabe". L’erreur a été de voir tout cela comme une situation fratricide, alors que ce n’est pas le cas, étant donné qu’ils sont très différents les uns des autres. C’est uniquement le regroupement paranoiaque et contre nature nommé "Ligue Arabe" qui, en créant le choc d’assembler des élements qui ne peuvent être ensembles, a généré l’ atmosphère désagréable dans laquelle tous ces leaders risibles et clownesques se sont engoufrés, sans savoir pourqoui "celà" leurs arrivait ! Leur ignorance est pathétique.
Si celà ne concernait qu’uniquement ces grotesques personnages de l’actuelle Commedia dell’Arte politicienne, le problème aurait été limité, et personne n’aurait besoin de le résoudre. Mais l’occident et le reste du monde se retrouve impliqué d’une facon ou d’une autre, à cause de l’interconnexion existante depuis l’époque coloniale. Le moyen Orient affecte le monde entier. Et si la réalité historique absolue et fondamentale n’est pas d’abord largement évaluée et comprise, rien de bon ne pourra venir du Moyen orient et de ses extrèmistes frénéniques.
Si, au Moyen Orient, les gens ne sont pas Arabes, que sont ils ?
Le réel visage, vrai mais caché du Moyen Orient
En réalité, les Libanais sont des Phéniciens qui ont été hellenisés et araméisés dans la proche antiquité.
Les Syriens et Irakiens arabophones sont des Araméens. De la même facon les Palèstiniens et les Koweitiens, comme les Emiraties et les Qataries, qui ont été certainement mélangés aux perses.
Les Egyptiens sont Coptes, indigènes Egyptiens, decendants des anciens peuples d’Egyptes dans leur mélanges avec les nombreux étrangers qui passèrent par la vallée du Nil : Araméens, Phéniciens, Yéménites, Grecques, Soudanais Méroitiques, Romains et autres.
Les Soudanais sont les decendants des ancient Méroites et des Nubiens.
Les Lybiains et les peuples du Maghreb sont les decendants des peuples chamitiques du grand Atlas, les Berberes, dans leur veritable fusion avec les Carthaginois et les Romains.
Et finalement les Yemenites sont yémenites, decendants des ancients états de Saba, Qataban, Himyar, Hadramout et autres ; ils sont plus proches des Abyssiniens (appelés par erreur Ethiopiens) que des Arabes du Hedjaz.
Islamisation : la raison de l’Arabisation (linguistique mais non racial)
Tous ces peuples, en acceptant l’Islam, tôt ou tard, commencèrent à s’arabiser, mais ceci se passa sur le plan linguistique et non racial ou éthnique. Et nous savons tous trop bien que les Arabes à l’époque du prophète étaient très peu nombreux. Une génération plus tard, quand disons les armées Islamiques arrivèrent à Carthage dans l’actuelle Tunisie, l’Asie Centrale et la Vallée de l’Indus, les combattants Musulmans parlaient Arabe mais une minoritée d’entres eux seulement étaient Arabes. les Araméens de Damas et Ctesiphon, les Egyptiens d’Alexandrie, les Yéménites de Muza et les Perses de Praaspa représentaient déjà une majoritée parmis eux ! Ils apprirent le language du Coran, mais ils ne pouvaient et ne changèrent pas leurs origines raciales et éthniques.
Les Coptes (Chrétiens) d’Egypte, les Assyriens et les Chaldéens d’Irak et d’Iran sont de bons exemples pour montrer ce qui se passa : ceux qui restèrent Chrétiens préservèrent leur langue initiale (Copte et Araméique-Syriaque), et la perdirent progressivement avec le temps.
Parmis ceux qui accèptèrent l’Islam dans ses débuts, seuls les Perses conservèrent leur langue. Ceci n’est pas étrange, depuis que le phénomène culturel de Ferdowski nous en donne une compréhension perspicace sur le sujet.
L’exercice du colonialisme et la diffusion du Pan-arabisme
Parceque que celà n’arriva pas, nous témoignons aujourd’hui de la situation actuelle, mais ceci n’inclue pas que ces peuples sont Arabes, ou alors qu’une sorte d’union peut être basée sur une fausse perception de l’histoire, le manque d’ information et la désinformation dues au pouvoir de la diplomatie coloniale. La France et l’Angleterre devinrent les centres de l’émanation d’un "pan-arabisme" faussement concu et mal étudié, dès lors qu’ ils focalisèrent leur politiques éducationnelles, académiques, culturelles et idéologiques sur des finalitées en rapport avec leur stratégie de faire tomber l’Iran Safevid, l’Empire Otoman et l’Inde Mughal. Le terme "mal étudié" est employé car ce mensonge créa des problèmes plus grands que ceux qu’il était sensé résoudre, même si nous limitons la discussion à l’Occident, étant donné que le Terrorisme Islamique est un résultat tardif des précédents développements idéologiques dans la région du Moyen Orient.
C’est à partir des universités de l’Europe de l’ouest, des partis politiques et des ateliers déments de toutes sortes qu’ émana ce nationalisme. Et de tel sorte que celà causa de sérieux problèmes aux peuples d’Est et d’Ouest, aux Chrétiens, Musulmans, Juifs, Hindous et autres. La confusion qui se propagea à travers les territoires de l’ Empire Ottoman trouva son équivalent dans le désastre des Irlandais, Ecossais, Corses et Celtes de Bretagne. Actuellement, celà ne mène nulle part.
Le plut tôt nous comprendrons ceci, le plus tôt nous éviterons le piège qui mène aux guerres et au désespoir.
Bien entendu, le shéma colonial n’était pas imaginé seulement contre l’Empire Ottoman. Il avait pour but de créer une situation dans laquelle il sera sûr qu’aucune autre forme d’états forts consécutifs ne pourraient prendre sa place ! De cette facon, les pouvoirs coloniaux desssinèrent comme nous le savons la problèmatique du moyen orient dans les années 20, 30, 50 et 60. Un espace dans lequel les puissances Occidentales pourraientt puiser le pétrole et autres resources dans une perspective plus profitable et qui en même temps les aiderait à s’imposer comme des puissances indiscutables envers le reste du monde.
Suite à l’issue de la première guerre mondiale, les Etats Unies se rapprochèrent des deux puissances coloniales et achevèrent un "miracle" à plusieures cibles :
1. ils détruisirent l’Empire Ottoman
2. ils s’assurèrent qu’ aucune autre force ne puissent s’édifier au Moyen Orient
3. ils écartèrent les rivaux Allemands et Russes !
L’impossibilité d’un nationalisme "Arabe"
Dans le sens où jamais des Indiens ne pourrons exprimer un nationalisme Chinois, et jamais un Espagnol ne pourra exprimer un nationalisme Portugais, jamais ..........
a. les Coptes d’ Egyptes (toute la population est Copte, pas seulement les Chrétiens - appelons les Egyptiens si vous voulez-
b. les Araméens de Syrie, d’Irak, de Jordanie (à nouveau je parle de toute les populations de ces pays et pas seulement des Chrétiens), d’Iran (les sois disants Arabes du Khuzestan sont juste des Araméens), de Turquie ( Turques, Kurde, populations arabophones d’Ankara, Gaziantep, Kahraman, Marash, Urfa/Edessa, Diyarbakir/Amida, Mardin/Margdis, Nusaybin, Hasankeyf, Siirt and Cizre)et du Liban
c. les Berberes de lybie, de Tunisie, du Maroc et d’Algérie (à nouveau je ne parle pas des Kabyles d’Algérie, qui ouvertement se réclament de l’identité Berbere/Chamitique, mais de l’entière population de ces pays)
d. les Nubiens (appartenant au soit disant groupe des langues et races Nilo-Saharien) d’Egypte et du Soudan (une autre minoritée terriblement oppressée), qui vivent entre Louxor en Egypte et Karima au Soudan
e. les Méroites du Soudan, qui sont ou bien nubianisés au nord de Karima, ou bien arabisés entre Karima et Malakal au centre du Soudan, étant les decendants des anciennes populations chamitiques des anciens états Soudanais Kush (800 - 525), Meroe (450 BCE - 350 CE) et (chrétien) Makkuria (450 - 1150)
f. les Yéménites et les Omanis, qui sont certainement sémites mais plus proches des Abyssiniens que des Arabes (leur language ancien, largement reproduit sur des monuments épigraphiques donna naissance au Gueze, le language officiel et religieux de l’Abyssine Axumite, et a été préservé jusqu’à aujourd’hui dans certaines parties de Hadramawt et sur l’île de Sokotra) et pour finir mais pas des moindres
g. les Palestiniens, les Koweitiens, les Kataries, les Emiraties et les Bahreinies, qui tous sont des Araméens arabisés,
.............. ne seront capables d’exprimer une chose telle que le nationalisme Arabe.
La force de survie était plus considérable dans le cas du Nubien et du Berbere que pour le Syriaque, le Yeménite et même le Copte. Ce dernier devint silencieux il y a seulement 150 ans. À l’époque de Champollion, le Copte était toujours la langue maternelle d’ un petit millier d’Egyptiens Chrétiens. Mais déjà le Copte est la langue religieuse en usage pour les Chrétiens d’Egypte, et plusieurs centaines de milliers l’apprennent dans les écoles religieuses.
A cette présentation, nécessairement sommaire, il ne peut y avoir qu’ un contre argument :
Plusieurs universitaires ont prétendus que les Arabes, sortis de la péninsules Arabique au tout début de l’ère islamique se seraient finalement installés et définitivement mélangés au populations d’Iran, en passant par Oman jusqu’au Maroc, dans le sens que nous pourrions admettre une arabisation non plus seulement au niveau linguistique, mais aussi raciale.
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