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L’aéroport international Houari-Boumediene d’Alger est l’une des plate-formes aéroportuaires les plus sécurisées dans le monde. C’est ce qu’a déclaré, hier, le directeur général de la Sûreté nationale, M. Ali Tounsi, à l’occasion de sa visite d’inspection dans le premier aéroport du pays.
Cette nouvelle sortie sur le terrain du premier responsable de l’institution policière a pour principal objectif, selon un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale, de «s’informer et s’enquérir du dispositif mis en place par les services de police des frontières au niveau des port et aéroport d’Alger»
. La même source ajoute que «cette visite entre dans le cadre des mesures prises par les services de la Police aux frontières en matière d’accueil, de prise en charge et de facilitations accordées aux passagers empruntant les voies maritimes et aériennes, notamment en cette période estivale, et les dispositions prises dans ce sens».
A ce titre, la première escale de la tournée de M. Ali Tounis était le port d’Alger. D’ailleurs, le déplacement du patron de la police nationale dans l’enceinte portuaire coïncidait avec l’arrivée du careferry El-Djazair 2 assurant la liaison maritime Alger-Alicante.
L’autre importante étape de cette seconde tournée algéroise était la visite effectuée au niveau de l’aéroport international d’Alger. Sur place, le directeur général de la Sûreté nationale a eu droit à des explications sur le dispositif sécuritaire mis en place, notamment durant la période estivale. A ce propos, il est important de noter qu’au niveau de l’aéroport international d’Alger, 1 250 policiers assurent la sécurité du site.
Quant au niveau du port d’Alger, la Sûreté nationale a déployé près de 800 policiers. Le directeur général de la Sûreté nationale a indiqué qu’une «évaluation positive a été faite concernant le respect des dispositifs sécuritaires mis en place tant au niveau du port d’Alger qu’au niveau de l’aéroport international Houari-Boumediene». «Nous sommes satisfait des résultats enregistrés mais cela ne doit à aucun moment nous empêcher de veiller à renforcer la sécurité au niveau de ces importants sites, pour déjouer toute tentative d’action criminelle», a souligné M. Tounsi, qui ajouté que «le gouvernement a décidé de renforcer les mesures de sécurité en dotant les différents sites concernés de moyens de surveillance sophistiqués et modernes».
En effet, en plus du confort qu’offre la nouvelle aérogare internationale Houari-Boumediène d’Alger, inaugurée le 5 juillet 2006 par le président de la République, l’aspect sécuritaire a été sérieusement pris en compte. Les différents responsables en charge de la sécurité nous ont confirmé, hier, que les bagages sont aujourd’hui contrôlés à 100 %, ajoutant que l’entrée dans l’aérogare de toute personne est soumise à un contrôle systématique, y compris le personnel. Et il en est de même pour toute livraison de produits ou matériaux.
L’enjeu est de se conformer aux recommandations de l’Organisation internationale de l’aviation civile (OACI) et de gagner ainsi la confiance des voyagistes. En plus des 220 caméras de télésurveillance, installées aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’aéroport, une armada de policiers sillonne la nouvelle aérogare à longueur de journée.
Mais les services de l’aéroport d’Alger ne comptent pas seulement sur les policiers en tenue règlementaire. Le travail se fait également, discrètement, par des policiers en tenue civile.
Par Le Soir
Cette nouvelle sortie sur le terrain du premier responsable de l’institution policière a pour principal objectif, selon un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale, de «s’informer et s’enquérir du dispositif mis en place par les services de police des frontières au niveau des port et aéroport d’Alger»
. La même source ajoute que «cette visite entre dans le cadre des mesures prises par les services de la Police aux frontières en matière d’accueil, de prise en charge et de facilitations accordées aux passagers empruntant les voies maritimes et aériennes, notamment en cette période estivale, et les dispositions prises dans ce sens».
A ce titre, la première escale de la tournée de M. Ali Tounis était le port d’Alger. D’ailleurs, le déplacement du patron de la police nationale dans l’enceinte portuaire coïncidait avec l’arrivée du careferry El-Djazair 2 assurant la liaison maritime Alger-Alicante.
L’autre importante étape de cette seconde tournée algéroise était la visite effectuée au niveau de l’aéroport international d’Alger. Sur place, le directeur général de la Sûreté nationale a eu droit à des explications sur le dispositif sécuritaire mis en place, notamment durant la période estivale. A ce propos, il est important de noter qu’au niveau de l’aéroport international d’Alger, 1 250 policiers assurent la sécurité du site.
Quant au niveau du port d’Alger, la Sûreté nationale a déployé près de 800 policiers. Le directeur général de la Sûreté nationale a indiqué qu’une «évaluation positive a été faite concernant le respect des dispositifs sécuritaires mis en place tant au niveau du port d’Alger qu’au niveau de l’aéroport international Houari-Boumediene». «Nous sommes satisfait des résultats enregistrés mais cela ne doit à aucun moment nous empêcher de veiller à renforcer la sécurité au niveau de ces importants sites, pour déjouer toute tentative d’action criminelle», a souligné M. Tounsi, qui ajouté que «le gouvernement a décidé de renforcer les mesures de sécurité en dotant les différents sites concernés de moyens de surveillance sophistiqués et modernes».
En effet, en plus du confort qu’offre la nouvelle aérogare internationale Houari-Boumediène d’Alger, inaugurée le 5 juillet 2006 par le président de la République, l’aspect sécuritaire a été sérieusement pris en compte. Les différents responsables en charge de la sécurité nous ont confirmé, hier, que les bagages sont aujourd’hui contrôlés à 100 %, ajoutant que l’entrée dans l’aérogare de toute personne est soumise à un contrôle systématique, y compris le personnel. Et il en est de même pour toute livraison de produits ou matériaux.
L’enjeu est de se conformer aux recommandations de l’Organisation internationale de l’aviation civile (OACI) et de gagner ainsi la confiance des voyagistes. En plus des 220 caméras de télésurveillance, installées aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’aéroport, une armada de policiers sillonne la nouvelle aérogare à longueur de journée.
Mais les services de l’aéroport d’Alger ne comptent pas seulement sur les policiers en tenue règlementaire. Le travail se fait également, discrètement, par des policiers en tenue civile.
Par Le Soir