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La France doit restituer l’argent volé du trésor du dey

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  • La France doit restituer l’argent volé du trésor du dey

    Par Mohammed Meslem/Zineb A. ECHOUROUK 27/7
    Le secrétaire général de l’organisation nationale des moudjahidine, Said Abadou, a révélé que le comité ad-hoc chargé d’étudier et d’évaluer la loi élaborée par le gouvernement français sur l’indemnisation des victimes des essais nucléaires dans le désert algérien, a conclu que cette loi, en vigueur depuis le 30 juin, n’était que de la poudre aux yeux.
    • Abadou a déclaré à Echorouk que la loi en question n’a pas concrétisé les attentes des victimes des radiations nucléaires en Algérie. Le secrétaire général de l’organisation révolutionnaire a ajouté que la démarche française est une tentative de jeter de la poudre aux yeux qui reflète le non sérieux de Paris à résoudre cet épineux dossier. D’ailleurs, la loi ne parle pas clairement de droits des victimes algériennes, argue-t-il, en soulignant que l’absence d’un représentant de la partie concernée (algérienne) lors de l’élaboration de la loi a fait que le projet soit au bénéfice des victimes françaises.
    • La loi ne fait pas allusion à l’Algérie, mais se contente de reprendre des termes tels que "Oasis" et "désert" comme s’ils se trouvaient ailleurs qu’en Algérie, tandis que le texte fait clairement référence à la Polynésie Française. L’indemnisation doit d’autre part inclure la décontamination des zones des essais, et pas seulement les victimes en tant que personnes, c'est-à-dire les conséquences des essais nucléaires sur l’environnement, ce qui impliquerait l’indemnisation de l’Etat, explique notre interlocuteur. Un autre point que néglige la loi...
    • La loi sert les intérêts des militaires français, sans les civils, étant donné que ce sont les militaires qui ont mené la campagne pour l’obtention d’indemnisations. L’élaboration de la loi s’est faite quatre décennies après le premier essai, ce qui démontre que des politiques français se défilent face à cette affaire, déclare Abadou.
    • Le secrétaire général de l’organisation nationale des moudjahidine relève par ailleurs que la résolution du conflit historique entre Alger et Paris n’est pas du ressort des historiens, mais qu’elle nécessite des décisions rigoureuses, caractérisées par la franchise et l’ouverture.

  • #2
    La vérité sur le coup d'éventail.

    En 1794, la France était attaquée de tous côtés. Non seulement son territoire était envahi sur plusieurs points, mais son peuple et son armée risquaient d'être affamés. Ne produisant pas assez pour subvenir à ses besoins, elle ne trouvait nulle part où acheter le complément de grains qui lui était nécessaire. Nulle part... Sauf en Algérie, dont le dey offrit à la Convention toutes facilités pour faire ses achats de blé.

    Deux ans plus tard, le Directoire a succédé à la Convention, mais la guerre n'en continue pas moins, et l'Angleterre continue à poursuivre son plan d'affamer les armées de la République ; en outre... le Trésor est vide, ou presque. Le dey d'Alger offre alors au gouvernement français de lui prêter un million, sans intérêts, pour les achats de blé que celui-ci aurait à effectuer en Algérie. Le gouvernement français accepte, et les achats sont effectués notamment par l'intermédiaire de la maison Bacri et Busnach, gros commerçants juifs, auxquels d'ailleurs la plus grosse partie du blé qu'ils livrent à la France est fournie par le dey lui-même.

    Les achats de blé ainsi effectués dépassent de beaucoup le million prêté ; la France ne les paie pourtant point. Qu'importe !

    La France est riche et est personne d'honneur. Quand la paix sera revenue, elle réglera ses dettes. Le dey continue donc de fournir du blé à Bacri, et Bacri de livrer à la France.

    1815 : la paix est revenue, c'est le moment de se faire payer. Bacri et le dey réclament leur dû.

    Mais chacun sait que la bourgeoisie française n'aime guère payer ses dettes de guerre. Elle estime qu'est suffisant l'honneur qu'elle a fait à ses créanciers en leur permettant de la sortir de l'embarras. Ils ont eu l'insigne honneur de l'aider à vaincre, que veulent-ils de plus ?

    Malgré la paix et l'« ordre » revenus, le gouvernement de la Restauration fit donc autant de difficultés que ses prédécesseurs pour payer ceux qui avaient fourni de quoi faire le pain du troupier français. On objectera que certaines cargaisons avaient été de mauvaise qualité. C'était bien possible, même très probable ;

    Il n'y a pas de raison pour que Bacri et Busnach aient fait exception dans l'honorable corporation des fournisseurs de guerre. En conséquence, le Commission française, réunie en 1819, fit subir de sérieuses réductions aux factures de Bacri, en suite desquelles ce qui reste dû est fixé définitivement, d'accord avec Bacri et le dey, à une somme globale de 7 millions. Il n'y a donc plus qu'à payer. Eh bien on ne paie pas. L'accord de 1819 stipulait que, sur les 7 millions, seraient retenues les sommes qui pourraient être dues par Bacri à ses créanciers. En conséquence, le Trésor français verse bien l'argent, mais il le verse à Paris, à la Caisses des dépôts et Consignations ; aussitôt une nuée d'oppositions, de la part de créanciers de Bacri, vrais ou prétendus, se produit, et, en 1827, soit huit ans après que l'accord réglant définitivement le montant des sommes dues a été conclu, les tribunaux français n'avaient pas encore statué sur la validité de ces oppositions ! En 1827, donc, le dey n'était pas encore remboursé du million qu'il avait prêté à la France, sans intérêts, trente et un ans auparavant ! Bien plus, du fait des dettes que Bacri avait eu soin de faire en France, le dey risquait fort de ne jamais toucher un sou. Ainsi, sous couleur de satisfaire ses réclamations, on avait « rendu légale sa spoliation » ( Esquer, La Prise d'Alger, p. 49)

    Le dey d'Alger était ainsi magnifiquement récompensé de l'ardeur qu'il avait mise à faciliter le ravitaillement de la France affamée par l'Angleterre.

    En cette année 1827, le dey d'Alger découvrit un fait bien plus grave encore, où la perfidie du gouvernement de la restauration dépassait vraiment toutes les bornes.

    A l'extrémité est de la Régence, à 500 kilomètres environ d'Alger, sur un point du littoral appelé Calle, la France avait la concession d'un entrepôt commercial. Le gouvernement français, par la voix de son représentant à Alger, Deval, avait promis au dey que l'entrepôt ne serait pas fortifié ( Esquer, La Prise d'Alger, p. 53.) ; c'était un emplacement pour faire du commerce, mais rien de plus ; ce ne devait point être transformé en une place forte. Or, la France avait fortifié la Calle, et le dey venait de l'apprendre.

    Supposez que la France se soit conduite avec les Etats-Unis, pour le règlement de ses dettes de guerre, comme elle s'est conduite avec le dey d'Alger, ne croyez-vous pas que, bien avant que trente ans ne soient passés, la flotte américaine ne se serait pas, pour le moins, emparée de la Guadeloupe et de la Martinique, et ne serait même venue faire un petit tour à Brest ? Ou bien, supposez que la représentation commerciale des Soviets à Paris convertisse ses bureaux en forteresse, la France serait-elle longue à renvoyer l'ambassadeur soviétique chez lui, et à réoccuper par la force les locaux de la Représentation commerciale ?

    Le dey d'Alger, lui, se contenta de demander des explications. Il les demanda par écrit au gouvernement français, et comme celui-ci ne répondait pas, il les demanda verbalement au consul de France. Que vouliez-vous que celui-ci réponde ? Pour l'affaire de la Calle en particulier, il savait fort bien que c'était lui-même, Deval, qui s'était engagé à ce que le territoire ne fût pas fortifié, et il savait aussi que, malgré cela, on l'avait fortifié. Dans ces conditions, quand on n'a pas d'explications valables à fournir, il n'est qu'une ressource : c'est le prendre de haut. C'est ce que fit Deval. Alors, furieux, le dey s'emporta, injuria, et finalement donna au « représentant de la France » un coup de son chasse-mouche.
    On tenait le prétexte !

    Le gouvernement français, convaincu de mauvaise foi, allait châtier le dey coupable d'avoir « injurié la France ». Car l'« honneur de la France » ne consistait pas à payer ses dettes le plus vite possible, l'« honneur de la France » ne consistait pas à respecter la parole donnée ; l'« honneur de la France » consistait à frapper celui qui lui reprochait ses actes déshonorants. « Je m'appelle lion » ; ma raison est la meilleure... parce que je suis le plus fort. Et je suis le plus fort, non seulement par les armes, mais par toute l'organisation de mensonges que, sous les noms divers d'enseignement, de littérature, de « culture », etc., j'ai créée pour me servir. En conséquence, du mensonge je ferais la vérité. Toute une armée d'« intellectuels » proclamera par le monde, comme la vérité, comme une Vérité évidente et universellement admise, que j'ai été outragé sans raison, et que mon bon droit à m'emparer d'Alger est incontestable. Il n'y a pas un Français, pas un élève de l'école primaire qui ne sache pas que le « coup de l'éventail » du dey Hussein est à l'origine de la conquête de l'Algérie ; combien y en a-t-il à qui vous avez appris, messieurs les Professeurs, l'histoire des fortifications de la Calle ? Il n'est pas un manuel d'histoire élémentaire qui ne contienne quelques illustrations du dey frappant le « représentant de la France », mais ce n'est que dans quelques rares livres, tirés à un petit nombre d'exemplaires, et enfouis dans les bibliothèques, qu'on peut trouver des renseignements sur les raisons pour lesquelles le dey était, ce jour-là, si fort en colère. Voilà l'« histoire » bourgeoise. L'emportement du dey est monté en épingle, mais les raisons de son emportement sont soigneusement cachées, car sinon, le lecteur pourrait s'apercevoir que si jamais « coup d'éventail » fut justifié, ce fut bien celui que reçut à Alger, le 30 avril 1827, le consul de France.

    Robert Louzon

    in Cent ans de capitalisme en Algérie éd. Acratie

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    • #3
      quelle connerie, et quel journalisme !! la france ne rendra ni l'argent du day ni ce lui de fatima, la france ne se repentira pas, la france ne s'exécusera pas, la france continue au contraire de soutenir les dictats, LA FRANCE CONTINUE A COLONISER L'ALGERIE AUTREMENT SANS ARMES NI MILITAIRES.

      De gaulle a dit en 62 " la france quittera l'algerie mais il reviendra dans 30 ans " et c vrai en 92 pendant le push militaire .

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      • #4
        LA FRANCE CONTINUE A COLONISER L'ALGERIE AUTREMENT SANS ARMES NI MILITAIRES.
        Je constate surtout que la France continue à coloniser les petits esprits qui nous citent De Gaule comme faire valoir à leurs inepties.
        Ce n'est pas possible , à chaque fois qu'on évoque un fait historique qui met en cause la France , il y a toujours un colonisé du bulbe rachidien qui a mal au derche , ça devient grave , il faut consulter , en tout cas plus ça vous dérange plus j'en fais !!!
        Dernière modification par DZone, 28 juillet 2009, 21h04.

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        • #5
          Envoyé par DZone
          il y'a toujours un colonisé du bulbe rachidien
          Je prends...

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          • #6
            Pierre Péan : "Derrière le coup d’éventail, le pillage du trésor d’Alger"

            Le journaliste-écrivain Pierre Péan réécrit l’histoire de la prise d’Alger. Le coup d’éventail reçu par le consul de France, qui a motivé l’occupation de l’Algérie, ressemble aux armes de destruction massive irakiennes : un subterfuge pour piller les trésors de la Régence.

            lundi 31 janvier 2005.

            Toute ressemblance entre Charles X et George Bush n’est pas fortuite. Pierre Péan en est convaincu. Un livre, Main basse sur Alger (éditions Plon) à lire au plus vite.

            Vous dites que la conquête d’Alger est avant tout le grand hold-up de l’histoire, avec un butin de 4 milliards d’euros ! Il faut donc revoir nos livres d’histoire...

            Effectivement, les livres d’histoire ne parlent que du soufflet donné par le dey d’Alger au consul de France, Pierre Deval, comme prétexte donné par Charles X pour partir à la conquête d’Alger. Ils ne mentionnent que peu ou pas la raison de ce soufflet. Un coup d’éventail en plumes de paon qui marquait l’exaspération du dey sur le comportement de la France et de son consul à propos du non-paiement par Paris d’une très vieille dette contractée lors des campagnes d’Italie et d’Egypte sur des livraisons de blé de la Mitidja. Un premier accord sur cette dette avait été trouvé avec Bonaparte, sans être exécuté, et un deuxième avait été passé en 1819, approuvé par les Chambres et toujours non appliqué en 1827. Le consul de France était de surcroît un affairiste qui avait gagné de l’argent dans cette opération. L’affaire du soufflet a caché une opération de politique intérieure. Charles X, qui était en grande difficulté face à des chambres où l’opposition libérale dominait, avait besoin d’importants fonds secrets pour acheter et corrompre les électeurs et les hommes politiques, et obtenir des chambres plus souples après leur dissolution. Charles X ne voulait plus de la Charte et avait l’intention de réinstaller une monarchie absolue. Or, tout le monde savait qu’il y avait beaucoup d’or et d’argent dans les caveaux de la Régence d’Alger.

            En lisant votre livre, on a l’impression que Charles X peut facilement être George Bush, et que ses conseillers sont les faucons actuels de Washington. Les défenseurs de l’axe du bien existaient donc à cette époque ?

            Vous avez parfaitement raison. Pendant toute mon enquête, j’ai pensé à Bush et à Rumsfeld, tant la guerre d’Irak ressemblait à l’opération sur Alger montée par Charles X et de Bourmont. Si les mots utilisés pour habiller la conquête n’étaient pas tout à fait les mêmes, ils recouvraient les mêmes idées. Charles X allait défendre la Chrétienté contre les méchants barbaresques qui attaquaient les bateaux chrétiens en Méditerranée au nom du Djihad , alors que Bush défend les valeurs de l’Occident contre Ben Laden et ses alliés qui, eux aussi, se réclament du Djihad. Le premier allait chercher de l’argent, le second allait chercher du pétrole et imposer la pax americana.

            Les plus grands bénéficiaires de cette conquête sont, selon vous, les familles Sellière et Schneider. Comment expliquez-vous cette richesse ?

            Charles X n’a pas eu le temps de récupérer l’argent d’Alger puisqu’il a été renversé quelques semaines après la conquête d’Alger. D’autres ont détourné cet argent. Une partie est allée au Trésor français pour payer la conquête. Le reste est allé dans des poches privées. Celle de Louis-Philippe, d’abord, qui en a pris probablement la plus grande partie. Des militaires ont pu, à leur retour, mener grand train et acheter des hôtels particuliers, des tableaux, des attelages. De Bourmont, l’homme qui a conçu le plan de la conquête et l’a réalisée, en a pris également une partie pour poursuivre son combat légitimiste et tenter d’installer le fils de la duchesse de Berry au pouvoir. Beaucoup de particuliers se sont également partagé cette manne et notamment la Maison Seillière qui avait été choisie pour assurer l’approvisionnement des 34 000 hommes et des 4000 chevaux pendant deux mois. Seillière a affrété 357 bateaux pour ce faire. Adolphe Schneider, le représentant de Seillière à Alger a permis l’évasion discrète de l’or détourné vers des ports non français et a racheté à bas prix les marchandises et objets volés par l’armée. La Maison Seillière a été ainsi un des grands bénéficiaires de l’opération. C’est d’ailleurs avec l’argent d’Alger qu’ont été financées les forges du Creusot.

            Croyez-vous que l’actuel patron du Medef, le baron Antoine Seillière, soit au courant de la provenance de l’argent qui a fait la fortune de sa famille ?

            J’ai rencontré le baron Seillière et je suis convaincu qu’il n’était pas au courant des conditions dans lesquelles a été mené le hold-up d’Alger et le rôle joué par ses ancêtres.

            La conquête de l’Algérie devait donc s’arrêter au pillage d’Alger, des trésors de la Régence. La colonisation n’était-elle pas au programme de Charles X et de ses successeurs ?

            Ne sachant pas comment allait réagir l’Angleterre, très opposée à la conquête, les buts assignés par Charles X à de Bourmont se limitaient à la prise d’Alger, au renversement du dey et à la saisie du trésor. La colonisation n’était pas encore à l’ordre du jour. La décision d’annexer l’ancienne Régence est prise seulement en juillet 1834.

            Par Rémi Yacine, El Watan

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            • #7
              @dzone baraka allahou fik
              j'ai lu ton poste attentivement et je te dit que sa ma fait un grand plaisir de le lire ,je te remercie une deuxième fois en te demandant d'inonder le topique avec des postes aussi consistent que le premier

              Commentaire


              • #8
                je vous signale juste que les Ottomans c'était aussi des colons
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Avec ou sans les intérêts?

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                  • #10
                    je vous signale juste que les Ottomans c'était aussi des colons
                    ... qu'on a appelé au secours pour expulser les Espagnols de nos cotes , je rappelle que ces mêmes Espagnols sont toujours présents chez nos voisins , en outre les Turcs sont musulmans qui ont construit des mosquées contrairement aux français qui ont en détruit !
                    Alger, sur 5000 maisons, 3000 confisquées, 900 démolies

                    Séquestration des biens habous

                    En 1960 : 90% des plaines d’Alger, d’Oran et de Annaba aux colons

                    132 mosquées à Alger avant 1830, 12 mosquées en 1865 et une seule mosquée à Oran

                    Profanation des cimetières, envoi des ossements à Marseille pour fabriquer du noir animal

                    1832 : 10.000.000 habitants – 1872 : 2 100 000 musulmans
                    Avant 1830 : + de 100 écoles primaires à Alger, 86 à Constantine, 50 à Tlemcen.

                    6/7 collèges secondaires à Alger et Constantine, 10 zaouia (universités) en Algérie, 1 école dans chaque village ou groupe de hameaux.

                    1840 : 2 ou 3 instituteurs pour toute la province d’Algérie

                    1860 : 13 écoles franco-arabes.

                    Et ainsi de suite.

                    Source: http://djazair.******.com/article-119091.html

                    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...26&postcount=2

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                    • #11
                      Dzone

                      Tout à fait, le roi d'Alger les a appelé pour l'aider à chasser les espagnols et résultat, ils l'ont chassé et ont pillé le Maghreb. il suffit d'aller dans les musées en Turquie pour s'en apercevoir. Ils avaient d'ailleurs proposé de rendre des copies mais les originaux restaient leur possession
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                      Commentaire


                      • #12
                        Et bien sur tu es allé en Turquie pour vérifier...

                        Dès qu'un thread touche à Tata France, Zwina est là pour soi la défendre soi détourner le topic s'il n'y a rien à défendre...

                        Commentaire


                        • #13
                          Tout à fait,
                          zwina , ne me dis pas que t'es d'accord avec moi pour dire que la France a détruit nos mosquées et autres medersas pour nous acculturer et nous évangiliser??? Dis moi , c'est ça ???
                          Et bien sur tu es allé en Turquie pour vérifier...
                          charaf , elle n'a pas besoin d'aller en Turquie pour vérifier , elle se contente de ce que dit l'Histoire officielle française , c'est la seule source en qui elle croit !
                          Dernière modification par DZone, 28 juillet 2009, 21h43.

                          Commentaire


                          • #14
                            Charaf

                            Tata France n'a pas besoin de moi, tu suffis pour cela...
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                            Commentaire


                            • #15
                              Dzone

                              zwina , ne me dis pas que t'es d'accord avec moi pour dire que la France a détruit nos mosquées et autres medersas pour nous acculturer et nous évangiliser??? Dis moi , c'est ça ???

                              La France a détruit et pillé tout comme l'avait d'autres colons dont les Ottomans. Tu demandes à un voleur de restituer à un autre voleur un trésor qui ne lui appartenait pas davantage...

                              Citation:
                              Et bien sur tu es allé en Turquie pour vérifier
                              ...

                              charaf , elle n'a pas besoin d'aller en Turquie pour vérifier , elle se contente de ce que dit l'Histoire officielle française , c'est la seule source en qui elle croit !
                              Chose sure c'est que tu devrais y faire un tour, ne serait ce que pour connaitre le sujet plutôt que d'être encore une fois ridicule.
                              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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