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L’or des femmes d’immigrés

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  • L’or des femmes d’immigrés

    Presque toutes les femmes d’immigrés de la première génération se ressemblent. Parties jeunes durant les années soixante, elles sont comme leur maris qu’elles ne connaissaient pas avant : analphabètes, peu scolarisées et souvent de milieux ruraux. En règle générale, c’était la première fois qu’elles voyaient leur futur mari, c’était la première fois qu’elles prenaient la mer ou l’avion, c’était la première fois qu’elles sortaient du douar vers Paris ou Toulouse et c’était la première fois qu’elles pouvaient voir des femmes dehors sans maris, des cuisinières et des mixeurs ou des douches à la maison. Comme leurs maris, leur vie fut dure. Elles connaîtront le sens des droits mais aussi le racisme doublé du mépris, la violence des maris eux-mêmes victimes des violences xénophobes, la coupure brutale avec l’univers d’origine et la terrible nostalgie. Par la suite, si l’argent commençait à venir, les enfants des cités HLM commençaient à partir. Et c’est là le second drame des femmes immigrées : après le départ, le retour impossible. Et c’est ainsi qu’elles ont continué leur vie : entre proches parents qui décèdent, d’autres qui leur reprochent la richesse et le faux confort de l’Europe, et les derniers qui ne savent même plus comment elles s’appellent. Pour finir, sans mari devenu un fantôme, sans enfants emportés par le déracinement dans les HLM, il ne leur restait alors que les bijoux. Les femmes d’immigrés en ont d’énormes quantités qu’elles exhibent chaque été dans les mariages et lors des visites familiales. C’est leur thérapie douce, leur salaire et leur complexe. Les bijoux pour cacher la tristesse et l’or pour compenser la vie. Chaque saison d’été.

    M.M

  • #2
    Ton M.M a des problèmes avec les femmes algérienne , il faudra qu'il se soigne

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    • #3
      Les femmes d’immigrés en ont d’énormes quantités qu’elles exhibent chaque été dans les mariages et lors des visites familiales
      Pourquoi dis-tu ça Pro-dz ? il ne fait que décrire un phénomène social et culturel tout ce qu'il y a de plus vrai !

      Il oublie juste de rajouter que beaucoup de ces bijoux fièrement exhibés au bled sont en fait loués par ces femmes, question d'épater la galerie sur place !
      Kindness is the only language that the deaf can hear and the blind can see - Mark Twain

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      • #4
        Il oublie juste de rajouter que beaucoup de ces bijoux fièrement exhibés au bled sont en fait loués par ces femmes, question d'épater la galerie sur place !
        Mais c'est quoi ca? un complexe? c'est vraiment absurde de penser ainsi,

        Ce M/M n'est qu'un imbecile,

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        • #5
          Pour finir, sans mari devenu un fantôme, sans enfants emportés par le déracinement dans les HLM, il ne leur restait alors que les bijoux. Les femmes d’immigrés en ont d’énormes quantités qu’elles exhibent chaque été dans les mariages et lors des visites familiales. C’est leur thérapie douce, leur salaire et leur complexe. Les bijoux pour cacher la tristesse et l’or pour compenser la vie. Chaque saison d’été.
          Tres efficace comme therapie celle de se faire plaisir malgré la perte, solitude et mepris.

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          • #6
            Ce n'est malheureusement pas l'apanage que des femmes immigrées. Celles restées dans le pays y ont aussi recours. A défaut de montrer autre chose: une réussite sociale, richesse spirituelle et autre signes plus maquants, on exhibe ce qu'elles ont pu économiser toute leur vie.
            Pauvre maman, quand je pense qu tu en fait partie.

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            • #7
              Pourquoi ne pas plutôt s'intéresser à la douleur, la solitude et les angoisses des ces femmes. Elles vivent un déchirement dans l'incompréhension.

              Ce qu'elles vivent est difficile, dur et frustrant. Elles essayent tant bien que mal de s'en sortir malgré toutes les difficultés et souvent accompagné du mépris et du manque de considération du mari.

              Pour ma part je leur souhaite bon courage et leur rend hommage. Je leur souhaite beaucoup de bonheur.

              C'est des femmes courageuses qui s'occupent de la maison, des enfants et du travaille.

              Elles sont éreintées, fatiguées par les efforts physiques qu'elles fournissent mais aussi et surtout par la souffrance morales.

              Aucun égards de la part de leurs enfants et de leur mari. Malgré leur servitude elles cultivent la colère de tous les membres de la famille.

              L'émigration est une tragédie (je pèse mes mots) où la femme est la première victime.
              Rebbi yerrahmek ya djamel.
              "Tu es, donc je suis"
              Satish Kumar; "Tout est lié, c'est le don qui est le lien naturel entre tout".

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              • #8
                Article VIDE ! en plus d'être truffé d'erreurs "communes"

                Presque toutes les femmes d’immigrés de la première génération se ressemblent. Parties jeunes durant les années soixante,
                Juste une rectification !


                La première "génération" des femmes "d'immigrés" (immigrées elles mêmes) ne date pas des années 60, mais juste après 45!




                ../..
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                • #9
                  C'est du khorti tout ça .... un article sans fondement ... basé sur sa propre imagination ...

                  A oublier rapidement

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