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Des peines d’emprisonnement, variant d’une durée de 20 ans, à la perpétuité, ont été infligées, hier, au niveau du tribunal de Sala, au Maroc ; ces peines concernent le leader du réseau terroriste activant au Maroc, Abdelkader Belâaridj et d’autres leaders de partis politiques, tel que le Parti du Changement pour la Civilisation et le Parti de la Nation.
Le tribunal de Sala à décidé l’emprisonnement à perpétuité du leader Abdelkader Belâaridj, l’emprisonnement pour 25 ans, pour Mohammed El Môtassem, Elamine Redjala, les leaders du parti du Changement pour la Civilisation, et Mohammed Elmarouani, le secrétaire général du Parti de la Nation. 20 ans d’emprisonnement ont été infligés à Ma Aynine Al Adada, membre du Conseil National du parti de la Justice et du Développement, et à un correspondant de la chaîne El Manar.
Les autres sentences varient de une à 10 années d’emprisonnement, relatives aux délits d’atteinte à la sécurité de l’Etat, et la constitution d’une bande criminelle, en vue d’organiser et de commettre des actes terroristes. Les investigations illustrent une ancienne relation entre Abdelkader Belâaridj, et les islamistes algériens, qui s’avère même être personnelle. Il se serait même rendu en Algérie, plusieurs fois, au début des années 90.
Abdelkader Belâaridj avait affirmé, lors de ces aveux, que la destination des armes réquisitionnées était l’Algérie. Par ailleurs, des contrôleurs algériens pensent que ce n’est qu’une tentative visant à contourner la justice.
El Khabar.
Le tribunal de Sala à décidé l’emprisonnement à perpétuité du leader Abdelkader Belâaridj, l’emprisonnement pour 25 ans, pour Mohammed El Môtassem, Elamine Redjala, les leaders du parti du Changement pour la Civilisation, et Mohammed Elmarouani, le secrétaire général du Parti de la Nation. 20 ans d’emprisonnement ont été infligés à Ma Aynine Al Adada, membre du Conseil National du parti de la Justice et du Développement, et à un correspondant de la chaîne El Manar.
Les autres sentences varient de une à 10 années d’emprisonnement, relatives aux délits d’atteinte à la sécurité de l’Etat, et la constitution d’une bande criminelle, en vue d’organiser et de commettre des actes terroristes. Les investigations illustrent une ancienne relation entre Abdelkader Belâaridj, et les islamistes algériens, qui s’avère même être personnelle. Il se serait même rendu en Algérie, plusieurs fois, au début des années 90.
Abdelkader Belâaridj avait affirmé, lors de ces aveux, que la destination des armes réquisitionnées était l’Algérie. Par ailleurs, des contrôleurs algériens pensent que ce n’est qu’une tentative visant à contourner la justice.
El Khabar.