Le gouvernement soumis aux pressions européennes
Le gouvernement vient de renoncer à exiger aux sociétés d’importations étrangères, de droit algérien, d’ouvrir 30% de leurs capitaux aux partenaires algériens, car ce décret n’est plus à effet rétroactif
En fait, cela s’oppose au décret exécutif du mois de juin, le ministère du commerce a affirmé, sur cette base, que toutes les sociétés d’importations, y sont soumises.
Cette décision s’additionne à la mesure prise par le premier ministre, Ahmed Ouyahia, d’offrir 51% des investissements étrangers en Algérie, pour un ou plusieurs partenaires nationaux. Elle va être appliquée sur les nouveaux accords de partenariat, à l’exception de ceux déjà conclus.
Ces mesures vont entrer en vigueur, à partir de la date de l’apparition de la loi des finances complémentaire, de 2009, qui été publié le 26 juillet 2009, selon le directeur de la législation fiscale, au ministère des finances, Mohamed Zikara, qui animé un conférence de presse, hier.
Cela veut dire que la décision d’ouvrir 30% des capitaux des sociétés d’importations étrangères va être appliquer sur les sociétés nouvellement créées, et non pas sur celles qui opèrent actuellement, dont le nombre dépasse 1800 sociétés. Elles sont spécialisées dans l’importation des matières premières et les marchandises.
Les pressions étrangères, et notamment celles pratiqués par les pays européens, sont venues forcer l’annulation de telles mesures, que le premier ministre a tellement revendiqué, sous prétextes de protéger l’économie nationale, et abaisser le flux de la devise à l’étranger. D’ailleurs, la facture de l’importation a dépassée le seuil de 19 milliards de dollars, durant le premier semestre de cette année. La commission européenne était la première à demander des explications au gouvernement algérien sur la mesure d’ouverture des capitaux des sociétés d’importation étrangères.
De sa part, Mohamed Zikara, a souligné que cette mesure ne va pas être appliquée rétroactivement, bien que le ministère du commerce ait avisé les sociétés d’importation étrangères, que le dernier délai de mettre leurs statuts en conformité, avec le décret exécutif, est le mois de décembre prochain. EL KHABAR 30/7
Le gouvernement vient de renoncer à exiger aux sociétés d’importations étrangères, de droit algérien, d’ouvrir 30% de leurs capitaux aux partenaires algériens, car ce décret n’est plus à effet rétroactif
En fait, cela s’oppose au décret exécutif du mois de juin, le ministère du commerce a affirmé, sur cette base, que toutes les sociétés d’importations, y sont soumises.
Cette décision s’additionne à la mesure prise par le premier ministre, Ahmed Ouyahia, d’offrir 51% des investissements étrangers en Algérie, pour un ou plusieurs partenaires nationaux. Elle va être appliquée sur les nouveaux accords de partenariat, à l’exception de ceux déjà conclus.
Ces mesures vont entrer en vigueur, à partir de la date de l’apparition de la loi des finances complémentaire, de 2009, qui été publié le 26 juillet 2009, selon le directeur de la législation fiscale, au ministère des finances, Mohamed Zikara, qui animé un conférence de presse, hier.
Cela veut dire que la décision d’ouvrir 30% des capitaux des sociétés d’importations étrangères va être appliquer sur les sociétés nouvellement créées, et non pas sur celles qui opèrent actuellement, dont le nombre dépasse 1800 sociétés. Elles sont spécialisées dans l’importation des matières premières et les marchandises.
Les pressions étrangères, et notamment celles pratiqués par les pays européens, sont venues forcer l’annulation de telles mesures, que le premier ministre a tellement revendiqué, sous prétextes de protéger l’économie nationale, et abaisser le flux de la devise à l’étranger. D’ailleurs, la facture de l’importation a dépassée le seuil de 19 milliards de dollars, durant le premier semestre de cette année. La commission européenne était la première à demander des explications au gouvernement algérien sur la mesure d’ouverture des capitaux des sociétés d’importation étrangères.
De sa part, Mohamed Zikara, a souligné que cette mesure ne va pas être appliquée rétroactivement, bien que le ministère du commerce ait avisé les sociétés d’importation étrangères, que le dernier délai de mettre leurs statuts en conformité, avec le décret exécutif, est le mois de décembre prochain. EL KHABAR 30/7
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