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Des pickpockets algériens raquetté par la police de Bruxelles

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  • Des pickpockets algériens raquetté par la police de Bruxelles

    Un inconnu a posé des copies de témoignages d'un Algérien qui prétend avoir été tabassé


    IXELLES Étrange... Quelle peut bien être la motivation de celui ou de ceux qui ont déposé des tracts anti-police sur les pare-brise de voitures en stationnement à Ixelles ? Il n'y a aucune revendication particulière sur ce papier qui mesure une quinzaine de centimètres et qui est intitulé : Bruxelles : Tortures et rackets policiers gare du Midi.
    Sophie a trouvé ce document hier matin sur son pare-brise. "Ma voiture était garée à Ixelles, rue Emile Banning", explique-t-elle. "Tous les véhicules, soit une cinquantaine, avaient ce même document." Si au départ, Sophie fut soulagée de constater qu'il ne s'agissait pas d'un P.-V., elle n'a pas compris la démarche.

    Le tract résume de manière erronée des incidents narrés par un Algérien sans-papier qui prétend avoir été tabassé par la police. Les premières phrases sont sans appel pour la police : "Neuf policiers fédéraux en service au commissariat de la gare du Midi laissaient des pickpockets algériens sans-papier commettre un maximum de vols à la tire et récupéraient brutalement en soirée ce qui avait été volé la journée."

    Ces propos sont totalement faux, mais celui qui les lit l'ignore. Le tract se poursuit par le témoignage d'un sans-papier multirécidiviste qui parle de brutalités policières. D'où la question : pourquoi ces propos et pourquoi les déposer sur les voitures ?

    Nous avons posé la question à la police de Bruxelles-Capitale Ixelles. "Nous n'avions pas connaissance de ces tracts", explique le porte-parole. "Une équipe vient de se rendre sur place, mais nous n'en avons plus trouvé."
    Les responsables (qui espèrent peut-être un vent de révolte ?) ne peuvent donc pas être identifiés. Quoique... Quelques recherches sur Internet nous ont permis de connaître les auteurs de ce message. Il s'agit du Secours Rouge, une organisation d'extrême gauche. En date du 22 juin, il avait rédigé mot pour mot ce texte sur son site Internet.



    Emmanuelle Praet
    © La Dernière Heure 2009

  • #2
    Si ils se font raquetté tout les soir pourquoi continué à voler ???

    lah y Hedihom o salam

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    • #3
      Si ils se font raquetté tout les soir pourquoi continué à voler ???

      Occupe toi plutot de tes femmes mules .

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      • #4
        @Occupe toi plutot de tes femmes mules .
        difficile de trouver plus con comme replique.

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        • #5
          Une réplique d'un gamin qui manque cruellement de maturité
          Puisque la haine ne cessera jamais avec la haine, la haine cessera avec l'amour.

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          • #6
            je prefere de loin un homme pickpocket qu un autre qui envoie sa femme faire la prosititue sur les trotoires.
            If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
            You have to have a dream so you can get up in the morning....

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            • #7
              pourquoi algériens

              n'y a t il pas des pickpockets marocains , tunisiens , Turques , belges ....??
              " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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              • #8
                Le tract résume de manière erronée des incidents narrés par un Algérien sans-papier qui prétend avoir été tabassé par la police. Les premières phrases sont sans appel pour la police : "Neuf policiers fédéraux en service au commissariat de la gare du Midi laissaient des pickpockets algériens sans-papier commettre un maximum de vols à la tire et récupéraient brutalement en soirée ce qui avait été volé la journée."
                le tract dit vrai : les ripoux la racaille Belge , des policiers pourris , bien des belges qui utilisent la délinquance , c est rés grave .

                pour le prolétaire !

                Algériens torturés au Midi


                Des récits qui jettent l'effroi et l'opprobre sur une partie de la police

                BRUXELLES Un racket était organisé à la gare du Midi par des policiers fédéraux. Ce racket, qui s'est accompagné de violences graves, visait spécifiquement des Algériens en séjour illégal. La pratique consistait à laisser les pickpockets algériens commettre un maximum de vols à la tire et, pour les policiers ripoux, à récupérer en soirée ce qui avait été volé en journée aux usagers, dans la gare et aux abords immédiats de celle-ci.
                Votre quotidien La Dernière Heure-Les Sports a pu se procurer le récit d'une ratonnade d'un Algérien que des policiers fédéraux avaient réussi à isoler en pleine nuit dans leur garage de la rue Couverte, 1, sous les voies de la gare du Midi. Ce qui est décrit porte un nom : ce sont des tortures. Selon ce récit, il est invraisemblable que l'officier de garde n'ait pas entendu les cris. Cet officier, lui, n'a pas été inquiété.
                De nouvelles révélations (les premières dans La DH/Les Sports du 5 juin) sur ce dossier à l'instruction chez la juge, Mme Geneviève Tassin. Selon le 1er substitut Colpin, du parquet de Bruxelles, l'affaire implique 9 policiers fédéraux dont deux femmes, mais pas de gradés.
                "Ils avaient attendu que notre chef, la commissaire S., soit rentrée chez elle. Cette fois-là, il était minuit et demi. C'était encore un Algérien sans papiers qu'ils avaient ramassé dans la gare. Environ 30 ans, bien connu pour vol à la tire.
                "Après lui avoir tout confisqué et s'être partagé entre eux ce qu'il avait volé dans la journée, GSM, portefeuilles, etc, ils l'ont emmené dans le garage. Il fait sombre et sale. L'endroit est complètement isolé. Le gars savait qu'il ne pouvait compter sur personne. Il était menotté dans le dos et les policiers étaient à 4 dont Frédéric D. et Philippe M. qui avait été infirmier avant d'entrer à la police. Ils ont fait courir l'Algérien dans le garage, lui disant d'aller plus vite et l'insultant. "T'es qu'une *****. T'es même pas un chien."
                "L'Algérien recevait des coups. C'étaient des coups qui font mal. Des coups de bottines, de combat shoes, qui visaient la colonne vertébrale, au milieu, plus haut que les poignets menottés.
                "L'Algérien hurlait. Pas des cris : des hurlements. C'était terrible. L'officier de garde, le commissaire K., se trouvait au Rapid 100 (dispatching de garde situé juste au bout du couloir venant du garage). Il ne pouvait pas ne pas entendre. Je suis formel. Il n'est pas intervenu. L'Algérien avait le visage en sang. Du sang coulait du nez et de l'arcade sourcilière."
                "C'étaient des coups à casser la colonne, à briser des vertèbres. Et c'était chacun à tour de rôle. Ils l'ont plaqué au mur et frappé dans le ventre à coups de poing. C'était un jeu pour eux. [...] L'Algérien était toujours menotté.
                "Ils l'ont fait tomber à terre. Et ça a continué. Ils le traitaient d'"animal", de "fils de p.", rien de raciste par contre. L'Algérien était sur le ventre. Il y en a un qui a sauté à pieds joints sur la colonne. L'Algérien a perdu connaissance. Alors ils l'ont démenotté.
                "Pour le ranimer, ils l'ont pris par les pieds et l'ont suspendu tête en bas. Ils rigolaient. En fait depuis le début ils rigolaient et se moquaient. L'Algérien a rouvert les yeux. Ils lui ont dit de déguerpir. Ils l'ont sorti par l'entrée des véhicules. Je sais qu'on lui avait aussi cassé les dents. Il n'y a aucune trace (dans les P.-V.). On se sentait mal dans la peau de travailler avec des collègues comme ça. On a voulu dénoncer.
                Ceux qui l'ont fait à l'Inspection générale ont pris des risques. Ils ont été menacés en interne : il ne fallait pas que ça sorte. Deux véhicules (de policiers dénonciateurs) ont été cassés. On n'a rien jamais pu prouver."
                L'instruction du parquet porte aussi sur 8 autres faits.

                Gilbert Dupont
                les salauds .
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  Ce racket, qui s'est accompagné de violences graves, visait spécifiquement des Algériens en séjour illégal


                  Voilà ce qu'il faut montrer aux apprentis harragas.

                  Je ne comprends pas tu quittes ton pays pour aller vivre en SDF sans papier dans un autre pays et te faire mépriser toute ta vie, ou est le bénéfice là dedans? Alors que s'ils étaient resté au bled et avaient fait l'effort d'étudier ou de faire des formations ils auraient eu une bien meilleure vie

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