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En Irak, six bombes ont explosé vendredi à quelques minutes d'intervalle près de mosquées chiites à Bagdad, faisant au moins 26 morts et 67 blessés, rapportent la police et des témoins.
Ces attentats ont été commis alors que les fidèles assistaient à la grande prière du vendredi.
L'attaque la plus sanglante, l'explosion d'une voiture piégée, a fait 21 morts et 35 blessés parmi les fidèles devant une mosquée du quartier de Chaab, dans le nord de la capitale.
"Le gouvernement et les services de sécurité à Bagdad sont responsables de cette situation", a dit Raad Souar, un homme politique proche du mouvement de l'imam radical chiite Moktada al Sadr.
Le 21 juillet, deux bombes avaient frappé le quartier chiite de Sadr City, dans l'est de la capitale irakienne, faisant plusieurs morts.
Les forces américaines se sont retirées le 30 juin des centres urbains irakiens, abandonnant de nombreux postes, notamment à Sadr City. Ce quartier populaire de l'est de la capitale fut un temps le repaire des miliciens chiites fidèles à Moktada al Sadr.
Les lieux de rassemblement chiites ont souvent été la cible d'attentats meurtriers perpétrés par des activistes sunnites, notamment ceux d'Al Qaïda.
Par Reuters
Ces attentats ont été commis alors que les fidèles assistaient à la grande prière du vendredi.
L'attaque la plus sanglante, l'explosion d'une voiture piégée, a fait 21 morts et 35 blessés parmi les fidèles devant une mosquée du quartier de Chaab, dans le nord de la capitale.
"Le gouvernement et les services de sécurité à Bagdad sont responsables de cette situation", a dit Raad Souar, un homme politique proche du mouvement de l'imam radical chiite Moktada al Sadr.
Le 21 juillet, deux bombes avaient frappé le quartier chiite de Sadr City, dans l'est de la capitale irakienne, faisant plusieurs morts.
Les forces américaines se sont retirées le 30 juin des centres urbains irakiens, abandonnant de nombreux postes, notamment à Sadr City. Ce quartier populaire de l'est de la capitale fut un temps le repaire des miliciens chiites fidèles à Moktada al Sadr.
Les lieux de rassemblement chiites ont souvent été la cible d'attentats meurtriers perpétrés par des activistes sunnites, notamment ceux d'Al Qaïda.
Par Reuters