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31-07-2009
Vaste opération de ratissage dans le Dahra après l'attentat de Damous des marocains dans le groupe d'El Afghani
Les forces de l'ANP soutenues par les bombardements de l'aviation et du mortier mènent depuis ce mercredi après midi une vaste opération de ratissage dans le Dahra à la recherche des criminels qui ont lâchement assassiné une vingtaine de militaires dans un guet-apens dressé en milieu de journée au niveau de Bou Yamene
dans la commune de Beni Mellik daïra de Damous, une région limitrophe aux communes de Tacheta Zougagha et Ain Bouyahia dans la wilaya de Ain Defla. Harcelés par les feux de forêts et les services de sécurité d'une part et manquant d'armes et de munitions d'autre part, les terroristes ont, dans un acte suicidaire, tendu cette embuscade afin de se frayer une issue dans l'étau qui se resserrait davantage.
Les criminels ne sont pas sortis indemnes de l'accrochage qui a suivi à l'embuscade. Des armes ainsi que des corps déchiquetés ont été retrouvés dans les maquis proches du lieu du crime, apprend-on auprès des patriotes qui n'ont pas attendu des consignes pour bloquer les issues vers Souk
Lethnine ou Brira dans la wilaya de Chlef, rendant impossible toute retraite en direction de la forêt de Frina. Selon des sources dignes de foi, ce groupe de sanguinaires du sinistrement célèbre El afghani, un inconnu des bergers et des citoyens qui ont été interceptés puis relâchés par ses éléments.
" Il a l'accent algérois et ne dépasse pas la quarantaine ", affirme un citoyen en indiquant que ce groupe dont le quartier général se trouvait à Frina, une forêt surplombant la commune Tacheta, avait rejoint son deuxième lieu de retraite dans la forêt de Bou Yamene, une région à cheval sur les trois communes suscitées. Notre source précise également que le nombre de ces criminels avoisine les 150 éléments dont des individus à l'accent marocain.
D'autres sources affirment que les services de sécurité ont appréhendé à plusieurs reprises et ce depuis l'année 2005 des ressortissants marocains qui déclarent passer illégalement en Algérie pour rejoindre les résistances palestiniennes et irakiennes. " Un volontaire qui veut se rendre en Palestine ou en Irak ne doit pas errer à Ain Defla ", dit un patriote. Par ailleurs, ce groupe de criminels n'adhère à aucune organisation terroriste internationale particulièrement à El Qaida du Maghreb islamique que dirige actuellement " Tayeb El Liby " puisque cette organisation active dans le Sahel.
Un autre groupe terroriste complètement indépendant partage les monts du Dahra avec celui d'El afghani en l'occurrence celui de " Abou Abdellah ". Ce dernier groupe composé d'une trentaine d'éléments sème la terreur au niveau des zones rurales des communes de Sidi Semiane, Sidi Ghiles et Menaceur dans la wilaya de Tipaza ainsi qu'à Mekhatria, Ben Allel, Hamam Righa et Ain Torki dans la wilaya de Ain Defla. Ce groupe maintiendrait des contacts avec le groupe de Matmata qui, après la mort du sinistre Abdelkader Souane alias Ettaleb, est dirigé par un autre ancien du GIA Abou Soumeya.
Ce dernier s'attaque aux pauvres populations rurales des piémonts de l'Ouarsenis en leur volant provisions et bétail. Cette situation qui perdure inquiète les patriotes formés par le député Hadj Zitoufi qui se disent capables et volontaires pour nettoyer tous les maquis de la horde terroriste. " Que l'on nous sollicite ", dit un patriote de Djemaa Ouled Cheikh. Il est à noter que les éléments de l'ANP ont redoublé de vigilance pour assurer la sécurité des usagers de la RN11.
Abdou K.
Vaste opération de ratissage dans le Dahra après l'attentat de Damous des marocains dans le groupe d'El Afghani
Les forces de l'ANP soutenues par les bombardements de l'aviation et du mortier mènent depuis ce mercredi après midi une vaste opération de ratissage dans le Dahra à la recherche des criminels qui ont lâchement assassiné une vingtaine de militaires dans un guet-apens dressé en milieu de journée au niveau de Bou Yamene
dans la commune de Beni Mellik daïra de Damous, une région limitrophe aux communes de Tacheta Zougagha et Ain Bouyahia dans la wilaya de Ain Defla. Harcelés par les feux de forêts et les services de sécurité d'une part et manquant d'armes et de munitions d'autre part, les terroristes ont, dans un acte suicidaire, tendu cette embuscade afin de se frayer une issue dans l'étau qui se resserrait davantage.
Les criminels ne sont pas sortis indemnes de l'accrochage qui a suivi à l'embuscade. Des armes ainsi que des corps déchiquetés ont été retrouvés dans les maquis proches du lieu du crime, apprend-on auprès des patriotes qui n'ont pas attendu des consignes pour bloquer les issues vers Souk
Lethnine ou Brira dans la wilaya de Chlef, rendant impossible toute retraite en direction de la forêt de Frina. Selon des sources dignes de foi, ce groupe de sanguinaires du sinistrement célèbre El afghani, un inconnu des bergers et des citoyens qui ont été interceptés puis relâchés par ses éléments.
" Il a l'accent algérois et ne dépasse pas la quarantaine ", affirme un citoyen en indiquant que ce groupe dont le quartier général se trouvait à Frina, une forêt surplombant la commune Tacheta, avait rejoint son deuxième lieu de retraite dans la forêt de Bou Yamene, une région à cheval sur les trois communes suscitées. Notre source précise également que le nombre de ces criminels avoisine les 150 éléments dont des individus à l'accent marocain.
D'autres sources affirment que les services de sécurité ont appréhendé à plusieurs reprises et ce depuis l'année 2005 des ressortissants marocains qui déclarent passer illégalement en Algérie pour rejoindre les résistances palestiniennes et irakiennes. " Un volontaire qui veut se rendre en Palestine ou en Irak ne doit pas errer à Ain Defla ", dit un patriote. Par ailleurs, ce groupe de criminels n'adhère à aucune organisation terroriste internationale particulièrement à El Qaida du Maghreb islamique que dirige actuellement " Tayeb El Liby " puisque cette organisation active dans le Sahel.
Un autre groupe terroriste complètement indépendant partage les monts du Dahra avec celui d'El afghani en l'occurrence celui de " Abou Abdellah ". Ce dernier groupe composé d'une trentaine d'éléments sème la terreur au niveau des zones rurales des communes de Sidi Semiane, Sidi Ghiles et Menaceur dans la wilaya de Tipaza ainsi qu'à Mekhatria, Ben Allel, Hamam Righa et Ain Torki dans la wilaya de Ain Defla. Ce groupe maintiendrait des contacts avec le groupe de Matmata qui, après la mort du sinistre Abdelkader Souane alias Ettaleb, est dirigé par un autre ancien du GIA Abou Soumeya.
Ce dernier s'attaque aux pauvres populations rurales des piémonts de l'Ouarsenis en leur volant provisions et bétail. Cette situation qui perdure inquiète les patriotes formés par le député Hadj Zitoufi qui se disent capables et volontaires pour nettoyer tous les maquis de la horde terroriste. " Que l'on nous sollicite ", dit un patriote de Djemaa Ouled Cheikh. Il est à noter que les éléments de l'ANP ont redoublé de vigilance pour assurer la sécurité des usagers de la RN11.
Abdou K.
la main étrangère quoi! 
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