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Les méfaits de rabbins et autres élus juifs

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  • Les méfaits de rabbins et autres élus juifs

    31-07-2009

    Le démantèlement de criminels en col blanc aux USA Les méfaits de rabbins et autres élus juifs

    L'affaire a fait grand scandale la semaine dernière aux Etats-Unis, plus précisément dans l'Etat corrompu et mafieux du New Jersey, lorsque le FBI a réussi après 10 ans d'enquête à mettre hors d'état de nuire une quarantaine d'élus locaux et cinq «respectables» rabbins pour corruption, extorsion de fonds, blanchiment d'argent et… trafic d'organes.

    Les médias internationaux n'ont pas commenté cette scabreuse affaire criminelle de grande envergure. Ils se sont juste contentés de reproduire une dépêche de l'AFP, donnant quelques détails sur ce qui a été considéré comme un fait divers, car l'affaire implique des hauts dignitaires religieux issus du «peuple élu de Dieu».

    Pour les lecteurs du temps d'Algérie, il faut rappeler que jeudi dernier, la police fédérale américaine a appréhendé à l'aube, (pour ne pas être vue du commun des gens) ces individus dans la banlieue de New York lors du démantèlement d'un réseau de corruption ayant des ramifications jusqu'en Israël et en Suisse, selon le FBI.

    Parmi les mis en cause, les maires des villes d'Hoboken, Secaucus et Ridgefield, dans l'Etat du New Jersey.
    Cet Etat est connu pour abriter une forte communauté juive versée dans les grandes affaires notamment politiques, et les élus locaux sont pour la plupart issus de cette communauté qui contrôle le monde financier international et, partant, le monde politique aux Etats-Unis : le lobby juif.

    Cet état a servi de cadre à la série télévisée «Les Sopranos», qui raconte des péripéties criminelles mafieuses. Les limiers du FBI ont réalisé avec ce démantèlement un coup de filet miraculeux en parvenant à pénétrer après des années de patience un club de criminels de haut vol, aussi ésotérique que la camorra italienne, grâce à l'infiltration d'un gros bonnet d'origine juive, lui-même fils d'un rabbin.

    Ce «témoin coopératif» a aidé le FBI en piégeant les élus et les responsables du New Jersey qui «ne demandaient pas mieux que de recevoir des pots-de-vin pour faire avancer leurs dossiers», selon les autorités. Le fils du rabbin se faisait passer pour un promoteur immobilier auprès des membres du club.
    Le procureur fédéral a refusé de dire le nom de ce témoin coopératif.

    Seulement, des médias laissent entendre qu'il s'agit de Solomon Dwek, fils d'un rabbin qui dirige la synagogue de Deal, dans le New Jersey. «Agé de 36 ans, il est lui-même à la tête d'une école religieuse» et fait face depuis 2006 à des accusations de fraude bancaire pour avoir tenté d'encaisser un faux chèque de 25 millions de dollars».

    Ces personnages doivent donc répondre devant la justice américaine de «corruption, extorsion de fonds, blanchiment d'argent et trafic d'organes».

    Ce jeudi-là, les images diffusées par les télévisions montraient des individus haut placés dans la hiérarchie sociale et surtout des rabbins avec leur tenue religieuse, menottes aux poignets, chargés à bord d'un autocar. Les limiers du FBI ont aussi perquisitionné des synagogues sans rien trouver de compromettant.

    Façade de respectabilité
    C'est que les rabbins trafiquants ont pris toutes les dispositions pour ne pas être pris facilement. Selon le procureur Ralph Marra, «ces personnalités politiques se sont vendues».

    Quant aux religieux juifs, ils ont «dissimulé leurs vastes activités criminelles derrière une façade de respectabilité», a-t-il déploré. Imaginons un seul instant si à la place de ces rabbins, c'étaient des imams qui auraient été impliqués dans ce bourbier. Il faudrait alors s'attendre à des fermetures de mosquées et les médias en auraient fait des gorges chaudes durant des mois.

    Ceci dit, la justice locale a expliqué que «les élus faisaient passer leurs pots-de-vin pour des contributions électorales». Mais le plus scandaleux, c'est le cas du rabbin Levy Izhak Rosenbaum, qui faisait dans le trafic d'organes. Il persuadait ainsi des «donneurs» d'organes de lui vendre «pour 10 000 dollars des reins qu'il revendait seize fois plus cher».

    Selon la police, «un homme de Brooklyn négociait la vente clandestine de reins achetés 10 000 dollars (7000 euros) à des personnes vulnérables en Israël qui étaient revendus jusqu'à 160 000 dollars (112 000 euros) à des patients américains».

    On ignore si ces personnes vulnérables étaient des arabes israéliens ou des juifs falashas, qui vivotent dans l'Etat hébreu du fait de la couleur de leur peau.

    Le rabbin Levy Izhak Rosenbaum a été arrêté dix jours après avoir rencontré un agent du FBI qui s'était fait passer pour un client en quête d'un rein pour un oncle malade, dit-on. L'agent en question a enregistré sa conversation avec le trafiquant. «Je suis ce que l'on peut appeler un entremetteur», expliquait Rosenbaum, révélant avoir déjà négocié la vente, de «beaucoup» d'organes et «le dernier en date seulement deux semaines plus tôt».

    Il a été ainsi fait comme un débutant. Selon la version officielle, le trafic était simple : «Les donneurs israéliens se rendaient aux Etats-Unis, où ils subissaient une opération chirurgicale visant à leur retirer un rein».
    Selon le enquêteurs, le rabbin de 58 ans, qui est un membre de la communauté juive orthodoxe d'un quartier de Brooklyn à New York, «semblait connaître toutes les ficelles du don de rein, montre l'enquête, y compris la manière de duper un hôpital pour lui faire croire qu'un donneur agissait uniquement par compassion pour un être cher».

    Quant à l'argent récolté de la vente des reins, il allait, selon le rabbin aux «médecins israéliens, faussaires en visas et personnes qui s'occupent des donneurs aux Etats-Unis».

    Dans l'enregistrement, il a expliqué que l'une «des raisons pour lesquelles c'est si cher est qu'il faut payer d'autres gens tout le temps. Jusqu'à présent, je n'ai jamais connu un échec. Je fais cela depuis longtemps», a-t-il assuré à son faux client.

    Ce religieux se chargeait de recueillir des échantillons de sang de ses futurs clients, de les expédier en Israël pour que les médecins israéliens vérifient leur conformité avec les donneurs potentiels. Le rabbin de Brooklyn est également accusé, selon le procureur, de «complot» et «courtier de la vente d'une greffe de rein d'un homme dans la précarité».

    Lui-même a reconnu avoir avait été dans «le courtage pour la vente de reins d'enfants de 10 ans». Pour le magistrat, «son entreprise faisait carrément un juteux commerce pour inciter les personnes vulnérables à vendre leur rein».

    Le rein, un organe très recherché
    Parmi les organes les plus courus par les trafiquants, le rein est très demandé par les clients. Evoquant ce trafic après le coup de filet du New Jersey, un professeur à l'université américaine de Harvard, membre de la Fondation nationale américaine du rein, affirme que «des trafics similaires existent ailleurs dans le monde», estimant que «10% des greffes de rein, soit 5000 à 6000 par an, sont réalisées dans l'illégalité».

    Selon lui, ces pratiques existeraient couramment au Pakistan, aux Philippines et en Chine, «où des organes seraient prélevés sur des prisonniers exécutés».

    Pour un autre expert, spécialiste de l'éthique médicale à l'université de Pennsylvanie, il faut s'attendre à ce que «le groupe de travail de l'ONU sur le trafic international d'organes émette des recommandations en octobre» à ce sujet. «Il y a un marché noir presque exclusivement pour le rein’, affirme-t-il de son côté.

    Un autre professeur d'anthropologie à l'université de Californie, spécialiste du trafic d'organes, raconte avoir «découvert au travers de ses recherches des centaines de cas de transplantations d'organes illégales négociées par et pour des Israéliens en Israël, Afrique du Sud et Turquie notamment. Le tout avec des donneurs recrutés parmi les populations pauvres de Moldavie, du Brésil ou d'ailleurs», dit-il.

    Les spécialistes assurent que «la demande de reins aux Etats-Unis est supérieure au nombre d'organes disponibles».

    Ainsi, l'an dernier, «4540 patients américains sont morts alors qu'ils étaient dans l'attente d'un rein», selon le réseau uni pour le don d'organes. Face à cette pénurie, des chirurgiens «sont favorables à un changement de la loi pour autoriser un système régulé de rétribution des donneurs de rein afin d'augmenter leur nombre», rapporte-t-on.

    Omerta dans l'information
    Si une omerta organisée est observée sur les informations concernant cette affaire aussi bien par les membres de la communauté juive que par les médias modernes comme Internet, c'est que le lobby juif contrôle tous ces moyens. Tous les forums sur Internet qui ont déclenché des discussions au lendemain de cette affaire ont été fermés.

    Il n'y a presque aucun commentaire sur la toile et les quelques blogs ouverts qui en parlaient ont été supprimés. Selon un journaliste occidental, «ces arrestations ont jeté un éclairage inattendu sur la communauté juive syrienne, qui a toujours vécu en isolement du reste de la société.

    D'ailleurs, aucun des juifs syriens que nous avons approché n'a souhaité répondre à nos questions», a-t-il écrit. «Ce ne sont que des allégations.

    Ces personnes sont innocentes jusqu'à preuve du contraire», a ainsi protesté devant ce journaliste un rabbin et écrivain, «qui, bien que juif non syrien, travaille avec la communauté depuis une dizaine d'années». Pour ceux qui ne les connaissent pas , «les juifs syriens vivent sous l'autorité toute-puissante de leurs rabbins, lesquels punissent le mariage extracommunautaire (y compris avec des convertis ou des juifs issus d'autres dénominations) par l'excommunication», précise ce journaliste. «Tout est fait en sorte de préserver le sang», selon un professeur d'histoire à l'université Brandeis.

    Les autorités restent circonspectes face à ces arrestations pour ne pas heurter le puissant lobby juif. La police refuse de donner un «motif politique» à ces arrestations, «qui touchent plus largement des responsables démocrates que républicains».

    Selon un responsable au FBI, «il ne s'agit pas de politique ni de religion. Il s'agit de criminels qui se servent de la politique et de la religion». Ainsi, après la découverte de centaine de rabbins pédophiles en Israël et aux USA, après les rabbins criminels de guerre à Ghaza, voilà une autre catégorie de rabbins versée dans le trafic d'organes. Et ils ses disent des élus de Dieu…
    A.M.
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