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Records de froid en Amérique du Nord

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  • Records de froid en Amérique du Nord

    Partout aux États-Unis, les gens posent la même question : « Qu'est-il arrivé à l'été ? »

    Toute vérification sur Twitter montrera que les gens ont un thème récurrent en Nouvelle-Angleterre [nord-est des USA, ndt]. Par exemple, « C'est si déprimant, c'est le milieu de juillet, nuageux, et à peine 70 degrés (21°C). » Un autre indique, « J’ai dû revêtir mon manteau d'hiver, il faisait 48°F (8,9°C) ce matin... en juillet ! »

    Marc Morano, de ClimateDepot.com, signale que, partout en Amérique, les records de basses températures ont été battues tout le temps cet été. Il attribue cela à la récente tendance froide généralisée, qui s’est installée depuis plus de sept ans.

    Il note, « La raison pour laquelle Climat Depot couvre cela, c’est que chaque vague de chaleur, chaque grande tempête, tout ce que les médias tentent de promouvoir quand c’est dans l'autre sens, chaque cyclone, sécheresses, inondations... sont toujours mis sur le compte du réchauffement de la planète. Donc, tout ce que nous faisons, c’est simplement de souligner quelques-uns des très importants records de basses températures, si importants que certains météorologues ont appelé 2009 l'année sans été. »

    Nashville, la ville natale du fanatique du réchauffement de la planète, Al Gore, a battu un record au mois de juillet, une basse température qui avait été établie en 1877. Morano affirme qu'il n'y a pas lieu de s’alarmer à ce propos, et que les cycles froids et chauds font partie des flux naturels de la Terre.

    Morano remarque une pointe d'ironie dans cette récente vague de froid qui survient au moment où le Congrès discute du « cap and trade*, » dans une tentative pour modérer le réchauffement de la planète.


    * Ndt : Cap and trade program : C’est l’usine à gaz qui fixera les quotas d’émissions de gaz à effet de serre pour les entreprises, tout en leur offrant la possibilité de vendre à d'autres entreprises ou d'accumuler leurs droits d'émission en surnombre, dans le cas où elles produiraient moins de gaz que ne le prévoient leurs quotas.
    Si ce programme était adopté, il nécessiterait la mise en place d'une bourse où seraient négociés les droits d’émission de dioxyde de carbone (c’est-à-dire, l’instrument de la prochaine bulle financière, nécessaire à la continuation du pillage de l’épargne mondiale, pour que les Anglo-saxons puissent financer leurs guerres de mondialisation).

    Pete Chagnon, OneNewsNow
    tchek tchek tchek
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