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Bonjour
Les salariés français de l'équipementier automobile en liquidation judiciaire New Fabris, qui avaient menacé de faire sauter leur usine le 31 juillet s'ils n'obtenaient pas 30 000 euros d'indemnités chacun, ont voté vendredi la fin de leur mouvement.
Cette décision a été prise en assemblée générale par 204 voix pour et 24 contre, lors d'un vote à bulletins secrets a constaté l'AFP.
Les salariés devaient se prononcer pour ou contre un protocole de fin de conflit octroyant une prime de départ de 12 000 euros en plus des indemnités légales pour les 366 salariés de New Fabris.
A la mi-juillet, les salariés de ce sous-traitant des constructeurs Renault et PSA avaient menacé de faire sauter leur usine, avec des bonbonnes de gaz, s'ils n'obtenaient pas une prime de 30 000 euros en plus des indemnités légales de licenciement, avec comme date limite de négociation le 31 juillet.
Vendredi matin, le ministère de l'Industrie a fait une ultime proposition à 12 000 euros net, au lieu des 11 000 euros brut promis la semaine dernière, et s'ajoutant à l'indemnisation légale de licenciement comprise, selon le ministère, entre 17 500 et 19 000 euros.
Dans ce protocole d'accord, les salariés doivent s'engager «à cesser toute forme d'occupation de l'entreprise», et à en rendre «la totale jouissance» au liquidateur judiciaire, «sans y causer de dégradations».
Au mois de juillet, trois entreprises en difficulté en France - dont New Fabris - ont été l'objet de chantages à l'explosion ou à la destruction de matériel.
(afp)
Les salariés français de l'équipementier automobile en liquidation judiciaire New Fabris, qui avaient menacé de faire sauter leur usine le 31 juillet s'ils n'obtenaient pas 30 000 euros d'indemnités chacun, ont voté vendredi la fin de leur mouvement.
Cette décision a été prise en assemblée générale par 204 voix pour et 24 contre, lors d'un vote à bulletins secrets a constaté l'AFP.
Les salariés devaient se prononcer pour ou contre un protocole de fin de conflit octroyant une prime de départ de 12 000 euros en plus des indemnités légales pour les 366 salariés de New Fabris.
A la mi-juillet, les salariés de ce sous-traitant des constructeurs Renault et PSA avaient menacé de faire sauter leur usine, avec des bonbonnes de gaz, s'ils n'obtenaient pas une prime de 30 000 euros en plus des indemnités légales de licenciement, avec comme date limite de négociation le 31 juillet.
Vendredi matin, le ministère de l'Industrie a fait une ultime proposition à 12 000 euros net, au lieu des 11 000 euros brut promis la semaine dernière, et s'ajoutant à l'indemnisation légale de licenciement comprise, selon le ministère, entre 17 500 et 19 000 euros.
Dans ce protocole d'accord, les salariés doivent s'engager «à cesser toute forme d'occupation de l'entreprise», et à en rendre «la totale jouissance» au liquidateur judiciaire, «sans y causer de dégradations».
Au mois de juillet, trois entreprises en difficulté en France - dont New Fabris - ont été l'objet de chantages à l'explosion ou à la destruction de matériel.
(afp)