Des instructions, destinées aux commandements des régions militaires, laissent apparaître une scène semblable à une « guerre ouverte », contre les organisations terroristes. Cette action est prise, dans le cadre d’une protection contre un retour éventuel, des « partisans de la Prédication Salafiste », au niveau de l’ouest algérien.
Après le massacre de17 gendarmes, à Mansourah, au niveau de la wilaya de Bordj Bou Arerridj, la liste des victimes de l’Armée nationale s’est alourdie, suite à l’attentat terroriste de la semaine précédente, à Damous, au niveau des montagnes de Tipaza. Par ailleurs, la liste des terroristes abattus s’est également rallongée, vu que quelques jours auparavant, 21 terroristes, affiliés aux organisations « El Qaida du Maghreb », et des « partisans de la Prédication Salafiste », ont été abattus, dans les montagnes de Médéa.
Après une visite sur le terrain, à Bouira et à Blida, le chef d'état-major de l'armée nationale populaire, le général Ahmed Gaïd Salah, a ordonné l’affectation de 7000 militaires supplémentaires, au niveau des régions de la Kabylie et 5000 militaires à Tipaza. Il a également ordonné le démarrage d’opérations militaires, qui pourront s’étendre sur plusieurs semaines.
Les sources d’El Khabar, ont démenti le fait que les organisations terroristes aient effectué des représailles, vu que cet attentat a été, préalablement, préparé. Néanmoins, Mekki Abdelkader, alias Abdelmeghni, est soupçonné d’avoir un lien avec cette attaque.
D’autre part, il est peu probable qu’une union puisse exister, entre « El Qaida » et « les partisans de la Prédication Salafiste », derrière l’attentat de Tipaza, vu la rivalité qui subsiste entre les deux organisations.
L’armée, de son coté, a commencé ses actions, à l’ouest d’Alger, à travers une exploitation immédiate des informations, sur le terrain, qui est effectuée par le biais d’un système d’information développé. Des témoins oculaires ont déclaré, à El Khabar, que des généraux et certains commandants sont personnellement en charge des opérations de ratissage.
El Khabar
Après le massacre de17 gendarmes, à Mansourah, au niveau de la wilaya de Bordj Bou Arerridj, la liste des victimes de l’Armée nationale s’est alourdie, suite à l’attentat terroriste de la semaine précédente, à Damous, au niveau des montagnes de Tipaza. Par ailleurs, la liste des terroristes abattus s’est également rallongée, vu que quelques jours auparavant, 21 terroristes, affiliés aux organisations « El Qaida du Maghreb », et des « partisans de la Prédication Salafiste », ont été abattus, dans les montagnes de Médéa.
Après une visite sur le terrain, à Bouira et à Blida, le chef d'état-major de l'armée nationale populaire, le général Ahmed Gaïd Salah, a ordonné l’affectation de 7000 militaires supplémentaires, au niveau des régions de la Kabylie et 5000 militaires à Tipaza. Il a également ordonné le démarrage d’opérations militaires, qui pourront s’étendre sur plusieurs semaines.
Les sources d’El Khabar, ont démenti le fait que les organisations terroristes aient effectué des représailles, vu que cet attentat a été, préalablement, préparé. Néanmoins, Mekki Abdelkader, alias Abdelmeghni, est soupçonné d’avoir un lien avec cette attaque.
D’autre part, il est peu probable qu’une union puisse exister, entre « El Qaida » et « les partisans de la Prédication Salafiste », derrière l’attentat de Tipaza, vu la rivalité qui subsiste entre les deux organisations.
L’armée, de son coté, a commencé ses actions, à l’ouest d’Alger, à travers une exploitation immédiate des informations, sur le terrain, qui est effectuée par le biais d’un système d’information développé. Des témoins oculaires ont déclaré, à El Khabar, que des généraux et certains commandants sont personnellement en charge des opérations de ratissage.
El Khabar
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