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Croque-mort comme job d'été, ça vous dit?
"T'as fait quoi cet été? Tu as travaillé au McDo? Tu as vendu des chichis 2 euros pièce 6 euros les 2 sur la plage?"
Croque-mort comme job d'été, ça vous dit?
"Ah non j'ai fait croque-mort."
C'est ce que peut raconter Stephane à ses amis à chaque rentrée. Car depuis trois ans, cet étudiant en histoire de l'art passe la saison estivale comme agent dans une société de pompes funèbres de Clermont-Ferrand, raconte La Montagne.
Tout a commmencé par une annonce, "recherche chauffeur porteur" à laquelle Stéphane répond, sans se douter qu'il s'agit d'une agence de pompes funèbres.
Son entourage est un peu réticent précise La Montagne. Mais croque-mort, c'est tout un art. Stéphane a commencé au bas de l'échelon: porteur, chauffeur, puis maintenant être proche des défunts. "Les chercher, les habiller, les mettre en bière, porter le cercueil et, enfin, le mettre en terre." précise La Montagne.
"Même si c'est fatiguant physiquement et moralement, on s'habitue petit à petit. Ce n'est pas un métier passion, mais plutôt un métier d'intérêt public. On se sent vraiment utile! " confie Stephane au quotidien...
yahoo news
Ah comme je suis fiére , cette histoire passionnante se passe chez moi
Croque-mort comme job d'été, ça vous dit?
"Ah non j'ai fait croque-mort."
C'est ce que peut raconter Stephane à ses amis à chaque rentrée. Car depuis trois ans, cet étudiant en histoire de l'art passe la saison estivale comme agent dans une société de pompes funèbres de Clermont-Ferrand, raconte La Montagne.
Tout a commmencé par une annonce, "recherche chauffeur porteur" à laquelle Stéphane répond, sans se douter qu'il s'agit d'une agence de pompes funèbres.
Son entourage est un peu réticent précise La Montagne. Mais croque-mort, c'est tout un art. Stéphane a commencé au bas de l'échelon: porteur, chauffeur, puis maintenant être proche des défunts. "Les chercher, les habiller, les mettre en bière, porter le cercueil et, enfin, le mettre en terre." précise La Montagne.
"Même si c'est fatiguant physiquement et moralement, on s'habitue petit à petit. Ce n'est pas un métier passion, mais plutôt un métier d'intérêt public. On se sent vraiment utile! " confie Stephane au quotidien...
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Ah comme je suis fiére , cette histoire passionnante se passe chez moi
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