Tweet
Le meurtrier présumé de 25 ans aurait agi vendredi soir, après que sa petite amie a avoué lui avoir transmis le virus du sida.
C'est une macabre découverte qu'ont fait les policiers de Saint-Etienne dimanche soir, après avoir entendu un jeune homme leur indiquer un peu plus tôt avoir découpé en morceaux sa petite amie.
Les faits remontent à vendredi soir. L'homme fête ses 25 ans à son domicile du quartier de La Rivière, au cours d'une soirée bien arrosée à laquelle assiste sa nouvelle compagne, âgée de 36 ans. La jeune femme, toxicomane, refuse alors ses avances sexuelles, et avoue lui avoir transmis le virus du sida lors d'une précédente relation.
Selon le procureur de la République de Saint-Etienne, l'homme, furieux, perd la raison et se montre violent avec sa compagne. Alors que celle-ci tente de se défendre en saisissant un couteau, il la frappe violemment puis l'étrangle. Pris de panique, il découpe ensuite son corps avec une scie à métaux dans la baignoire, puis répartit les morceaux enveloppés dans des sacs plastiques dans des poubelles de son quartier.
Quelques heures plus tard, l'homme confie son geste de folie à un ami ainsi qu'à son beau-père, qui alertent les services de police. Interpellé dimanche soir, le meurtrier présumé était toujours en garde à vue lundi après-midi au commissariat central de Saint-Etienne. Selon le parquet, les enquêteurs ont d'ores et déjà pu reconstituer l'intégralité du corps de la victime, dont l'autopsie aura lieu mardi. L'arme du crime n'a pas encore été retrouvée. L'homme, sans antécédent, sera présenté mardi au parquet de Saint-Etienne, qui devrait ouvrir une information judiciaire pour homicide volontaire.
L'an dernier, le corps découpé en morceaux d'une institutrice de 60 ans avait été retrouvé dans deux valises abandonnées, près de Nantes. Un homme d'une cinquantaine d'années avec qui elle entretenait une relation depuis plusieurs semaines avait alors été confondu par son ADN. AFP
C'est une macabre découverte qu'ont fait les policiers de Saint-Etienne dimanche soir, après avoir entendu un jeune homme leur indiquer un peu plus tôt avoir découpé en morceaux sa petite amie. Les faits remontent à vendredi soir. L'homme fête ses 25 ans à son domicile du quartier de La Rivière, au cours d'une soirée bien arrosée à laquelle assiste sa nouvelle compagne, âgée de 36 ans. La jeune femme, toxicomane, refuse alors ses avances sexuelles, et avoue lui avoir transmis le virus du sida lors d'une précédente relation.
Selon le procureur de la République de Saint-Etienne, l'homme, furieux, perd la raison et se montre violent avec sa compagne. Alors que celle-ci tente de se défendre en saisissant un couteau, il la frappe violemment puis l'étrangle. Pris de panique, il découpe ensuite son corps avec une scie à métaux dans la baignoire, puis répartit les morceaux enveloppés dans des sacs plastiques dans des poubelles de son quartier.
Quelques heures plus tard, l'homme confie son geste de folie à un ami ainsi qu'à son beau-père, qui alertent les services de police. Interpellé dimanche soir, le meurtrier présumé était toujours en garde à vue lundi après-midi au commissariat central de Saint-Etienne. Selon le parquet, les enquêteurs ont d'ores et déjà pu reconstituer l'intégralité du corps de la victime, dont l'autopsie aura lieu mardi. L'arme du crime n'a pas encore été retrouvée. L'homme, sans antécédent, sera présenté mardi au parquet de Saint-Etienne, qui devrait ouvrir une information judiciaire pour homicide volontaire.
L'an dernier, le corps découpé en morceaux d'une institutrice de 60 ans avait été retrouvé dans deux valises abandonnées, près de Nantes. Un homme d'une cinquantaine d'années avec qui elle entretenait une relation depuis plusieurs semaines avait alors été confondu par son ADN. AFP
Commentaire