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Emoi et consternation avant-hier à Timezrit, 40 km à l’est de Boumerdès. Un jeune homme a attenté à la vie de deux personnes, une vieille femme et sa belle-fille. Le tueur a fait usage d’un sabre, a-t-on témoigné. Ce double crime ne fut en fait que la fin d’une série d’exactions dont s’était rendu coupable Mohamed Rahmane, âgé d’une trentaine d’années. Facilement, on le prendrait pour un déséquilibré mental dans cette contrée où l’on déplore entre autres l’insuffisance de la couverture sanitaire. Mais nous devons pour l’heure relater les faits qui se sont produits en cet après-midi d’avant-hier dimanche.
En milieu de journée, Mohamed Rahmane a poignardé un jeune de son âge, lors d’une dispute, au village avoisinant de Toursal. Grièvement blessée, la victime a été évacuée vers l’hôpital de Bordj Ménaiel, avant d’être transférée vers celui de Tizi-Ouzou, a-t-on indiqué. Vers 17h, le même agresseur s’en est pris aussi au conducteur d’un fourgon aménagé, qui se dirigeait vers les Issers. Blessé, le chauffeur du fourgon s’est arrêté, avant de prendre la fuite en empruntant un sentier qui jouxte une maisonnette au lieu-dit Djerrah.
L’agresseur fit irruption dans cette maisonnette, en croyant que sa victime était-là. A l’intérieur deux femmes furent sauvagement tuées, dans des circonstances non encore élucidées. Chose terrifiante, inadmissible : le tueur Mohamed Rahmane qui a récidivé trois fois, avant-hier, se promenait avec son sabre, sans que personne apparemment ait songé à donner l’alerte. Le tueur se serait rendu, dit-on, de son propre gré aux gendarmes.
source : La Dépêche de Kabylie
En milieu de journée, Mohamed Rahmane a poignardé un jeune de son âge, lors d’une dispute, au village avoisinant de Toursal. Grièvement blessée, la victime a été évacuée vers l’hôpital de Bordj Ménaiel, avant d’être transférée vers celui de Tizi-Ouzou, a-t-on indiqué. Vers 17h, le même agresseur s’en est pris aussi au conducteur d’un fourgon aménagé, qui se dirigeait vers les Issers. Blessé, le chauffeur du fourgon s’est arrêté, avant de prendre la fuite en empruntant un sentier qui jouxte une maisonnette au lieu-dit Djerrah.
L’agresseur fit irruption dans cette maisonnette, en croyant que sa victime était-là. A l’intérieur deux femmes furent sauvagement tuées, dans des circonstances non encore élucidées. Chose terrifiante, inadmissible : le tueur Mohamed Rahmane qui a récidivé trois fois, avant-hier, se promenait avec son sabre, sans que personne apparemment ait songé à donner l’alerte. Le tueur se serait rendu, dit-on, de son propre gré aux gendarmes.
source : La Dépêche de Kabylie
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