La télévision algérienne est la dernière a informer et la première à manifester.
L'hospitalisation du Ministre de l'Intérieur, suivie de celle du Président Bouteflika, a générée les rumeurs les plus folles dans le pays. Des rumeurs invraissemblables au sujet du premier responsable du pays. La presse marocaine et française ont en fait leurs choux gras. Cette presse relayée par les éternels mécontents ont ravivé le "Radio-Trottoir" qui nous a rappelé les années staliniennes de l'Algérie.
Cette situation incombe à la télévision de l'Etat qui n'a pas su dans ces moments d'inquiétude rassurer les algériens. Ce n'est surement pas la lecture d'un communiqué qui fera appaiser la tension, bien au contraire. Peut-être qu'une table ronde de professeurs en médecine expliquant cette maladie gastrique, aurait atténuée toutes ces folles rumeurs.
La télévision algérienne a subi sans broncher une humiliation qui ne fait que l'enfoncer encore plus dans la médiocrité. Elle aussi a besoin d'un bilan approfondi avant de la passer au bistouri.
L'hospitalisation du Ministre de l'Intérieur, suivie de celle du Président Bouteflika, a générée les rumeurs les plus folles dans le pays. Des rumeurs invraissemblables au sujet du premier responsable du pays. La presse marocaine et française ont en fait leurs choux gras. Cette presse relayée par les éternels mécontents ont ravivé le "Radio-Trottoir" qui nous a rappelé les années staliniennes de l'Algérie.
Cette situation incombe à la télévision de l'Etat qui n'a pas su dans ces moments d'inquiétude rassurer les algériens. Ce n'est surement pas la lecture d'un communiqué qui fera appaiser la tension, bien au contraire. Peut-être qu'une table ronde de professeurs en médecine expliquant cette maladie gastrique, aurait atténuée toutes ces folles rumeurs.
La télévision algérienne a subi sans broncher une humiliation qui ne fait que l'enfoncer encore plus dans la médiocrité. Elle aussi a besoin d'un bilan approfondi avant de la passer au bistouri.
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