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Vives critiques norvégiennes de Ban Ki-moon à mi-mandat (presse)

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  • Vives critiques norvégiennes de Ban Ki-moon à mi-mandat (presse)

    Vives critiques norvégiennes de Ban Ki-moon à mi-mandat (presse)
    20.08.09 | 11h19

    Le numéro deux de la délégation norvégienne à l'ONU a décoché de vives critiques à l'encontre de son secrétaire général, Ban Ki-moon, rapporte mercredi le journal norvégien Aftenposten, des révélations potentiellement embarrassantes à deux semaines d'une visite du Coréen à Oslo.

    Dans une lettre confidentielle envoyée le mois dernier à son ministère et publiée sur le site internet du quotidien, Mona Juul décrit Ban Ki-moon, arrivé à mi-mandat, comme un secrétaire général "qui peine à montrer son leadership", "en manque de charisme", colérique et "passif".

    Contacté par l'AFP, le ministère norvégien des Affaires étrangères a refusé de commenter "une note interne" dont il reconnaît ainsi implicitement l'authenticité.

    "A une époque où l'ONU et les solutions multilatérales aux crises globales sont plus nécessaires que jamais, Ban et l'ONU brillent par leur absence", ajoute Mona Juul.

    Diplomate ayant elle-même joué un rôle central dans les accords d'Oslo entre Palestiniens et Israéliens au début des années 1990, Mme Juul estime par exemple que, dans le conflit au Sri Lanka, Ban Ki-moon a été un "observateur passif" dont "la voix morale et l'autorité ont été absentes".

    Elle critique aussi tour à tour la faiblesse du secrétaire général de l'ONU à l'occasion de la crise financière, sur les questions environnementales et climatiques, et dans les zones de crise telles que la Birmanie, le Darfour, le Zimbabwe et la République démocratique du Congo.

    "Plus surprenant, et donc plus décevant, Ban Ki-moon est quasiment totalement absent sur la question du désarmement et de la non-prolifération", écrit-elle.

    Selon elle, l'ambiance autour de Ban est marquée par la démotivation et les tensions.

    "En outre, il semble préférer être toujours au centre, sans concurrence de ses collaborateurs, et le fait savoir assez clairement en se réservant à lui seul la communication avec les médias", ajoute Mme Juul.

    "Ban a régulièrement des coups de sang que même ses collaborateurs doués de sang-froid et de beaucoup d'expérience peinent à gérer", précise-t-elle.

    Ces informations surviennent alors que Ban Ki-moon doit effectuer une visite en Norvège le 31 août.

    Interrogé par Aftenposten, le chef de la diplomatie norvégienne, Jonas Gahr Stoere, s'est refusé à "distribuer des notes", estimant seulement que Ban Ki-moon est "travailleur" et "à l'écoute".

  • #2
    La Norvege, finances publiques parmi les plus saines du monde ,..et 2° fond souverain du monde est un des pays qui contribuent le plus à l'aide au developpement et à l'apaisement des tensions internationales et l'edification de la Paix.
    Dernière modification par Sioux foughali, 20 août 2009, 19h05.

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    • #3
      Ils choisissent tout le temps des petits toutous du tiers-monde, il ne faut pas s'en s'étonner !
      La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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      • #4
        La corée du sud ce n'est pas le tiers monde.
        Et si à chaque fois qu'un pays râle il fallait destituer une personnalité on en arriverait où?
        La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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        • #5
          La corée du sud ce n'est pas le tiers monde
          Je suis d'accord mais dans la tête, ils le sont. Ils sont le complexe des colonisés tiers-mondites.
          Il ne s'opposera jamais aux US et européens même s'il a raison !
          La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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          • #6
            Euh tu connais pas les coréens du sud Plus grands râleurs il y a pas
            Et quand il est question de leur sécurité, ils savent le rappeler très fort, comme pendant l'épisode de la viande contaminée importée des USA.
            Ils avaient bloqué le pays
            http://www.aujourdhuilacoree.com/act...f-1071.asp?1=1

            Tu verras jamais ça chez nous.
            La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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            • #7
              Ils choisissent tout le temps des petits toutous du tiers-monde, il ne faut pas s'en s'étonner !
              Salut bond,on dirait que t'as jamais vu les grèves et les protestations interminables des coréens du sud...il fut un temps ou ca passait souvent aux infos.......je ne pense pas que ca soit une bonne idée de juger une personne sur sa nationalité.
              cordialement.

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              • #8
                Je sais qu'entre eux, ils sont forts pour raler, tout casser mais devant les USA et les européens, ils ne bronchent pas... tout comme les arabes et africains !
                Et je parle spécifiquement de Ki-moon en tant que toutou des USA à l'ONU, tout comme ses prédécesseurs.
                La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                • #9
                  Ils ont bloqué les importations des USA en entier Je pense pas que tu peux faire plus radical
                  La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                  • #10
                    Diplomate ayant elle-même joué un rôle central dans les accords d'Oslo entre Palestiniens et Israéliens au début des années 1990, Mme Juul estime par exemple que, dans le conflit au Sri Lanka, Ban Ki-moon a été un "observateur passif" dont "la voix morale et l'autorité ont été absentes".

                    Elle critique aussi tour à tour la faiblesse du secrétaire général de l'ONU à l'occasion de la crise financière, sur les questions environnementales et climatiques, et dans les zones de crise telles que la Birmanie, le Darfour, le Zimbabwe et la République démocratique du Congo.

                    ....................................

                    Et le problème du sahara ?

                    Insignifiant sauf pour la diplomatie algérienne et la presse aux ordres d'Al mouradia

                    Commentaire


                    • #11
                      En même temps ce n'est pas le sujet ici. Tout ne tourne pas autour du SO dans le monde.
                      La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

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                      • #12
                        La Norvège avait aussi demandé le retrait du prix nobel de la Paix à Shimon Pères

                        La NorvEge a demandé le retrait du prix Nobel de la Paix au président israélien Shimon Pères, en réaction aux raids et bombardements aussi criminels qu’inhumains effectués par l’armée israélienne, depuis maintenant près de deux semaines, contre la population de Ghaza. Le président israélien a rejeté, avant-hier, les efforts européens pour mettre un terme à l’offensive israélienne à Ghaza. «L’image d’Israël est fortement détériorée par son refus d’écouter les appels à un cessez-le-feu de la communauté internationale» , a lancé à Shimon Pères la commissaire européenne aux Relations extérieures, Benita Ferrero-Waldner, selon un communiqué de la présidence israélienne. L’agression israélienne contre la bande de Ghaza a fait au moins 660 morts et 3 070 blessés, bilan malheureusement provisoire. La moitié de ces victimes sont des enfants, ainsi que de très nombreuses femmes. Des familles entières ont été décimées et douze mosquées démolies à coups de missiles et de bombes.

                        M. A.

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                        • #13
                          Actions pour la Paix au Sri Lanka, en Afrique et ailleurs

                          Une diplomatie offensive , digne, nuancée


                          Société et politique
                          L'action de la Norvège en faveur de la paix et de la réconciliation dans les zones affectées par les conflits

                          Le travail de la communauté internationale en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité doit s'appuyer, partout dans le monde, sur les lois internationales existantes, sur la Charte des Nations unies et sur les résolutions du Conseil de sécurité. Si l'ONU est une instance-clef face aux menaces qui pèsent sur la paix et la sécurité, des acteurs de moindre envergure peuvent aussi avoir un rôle important à jouer dans ce contexte.

                          La majeure partie des conflits armés actuels sont des conflits internes - mais il est courant qu'ils "débordent", entraînant des effets qui dépassent largement les frontières des pays concernés. De plus, ils induisent souvent des souffrances sur une vaste échelle, des violations des droits de l'homme, des dommages économiques et la fuite massive de réfugiés et de personnes déplacées d'une région ou d'un pays à l'autre. Les conflits internes menacent aussi très fréquemment la stabilité de toute une région, et dans certains cas l'équilibre et le développement mondiaux.

                          Les conflits armés internes, lorsqu'ils sont de nature politique, appellent le recours à des moyens de pacification politiques. D'où l'importance de l'action norvégienne en faveur de la paix et de la réconciliation - une contribution de poids dans les zones affectées par ces conflits. La paix et la réconciliation au coeur de ces zones est aussi l'une des conditions essentielles de la stabilité internationale.

                          A plusieurs occasions, la Norvège, sollicitée pour faciliter les négociations de paix entre des parties en guerre, a relevé le défi et accepté cette tâche difficile. Dans l'actuel processus de paix qui se déroule au Sri Lanka, par exemple, les négociateurs norvégiens assistent le gouvernement et les Tigres libérateurs de l'Eelam Tamoul (LTTE) dans leur recherche d'un accord de paix complet.

                          Citons également l'exemple du Soudan du Sud, où la Norvège a soutenu activement les efforts de paix, sous les auspices de l'Autorité Intergouvernementale pour le Développement (AIGD),une organisation de coopération régionale. La Norvège s'est jointe à la Grande-Bretagne et aux Etats-Unis pour tenter de mobiliser un soutien international susceptible de renforcer le poids qui revient, dans ce processus, au camp de la paix.

                          Par le passé, la Norvège a également joué un rôle essentiel dans les processus de paix du Moyen-Orient et du Guatemala. Dans le premier cas, les négociations menées à Oslo ont débouché sur les accords de paix signés en 1993 par Israël et les Palestiniens. Aujourd'hui, la Norvège travaille activement à promouvoir l'application de la Feuille de route pour la paix, par exemple en présidant un groupe de pays donateurs connu sous le nom de Comité de Liaison Ad Hoc (CLAH). Au Guatemala, le processus s'est soldé par un accord de paix signé à Oslo en 1996, et le travail vital de mise en application de cet accord se poursuit.

                          Dans la plupart des cas, la Norvège s'en tient au rôle discret qui consiste à soutenir les efforts fournis par d'autres acteurs en faveur de la paix et de la réconciliation. Il peut s'agir des Nations Unies, d'organisations régionales, d'autres pays, ou d'ONG. Plusieurs raisons justifient cette attitude : il est important que la communauté internationale s'exprime d'une seule voix, autrement dit, il convient de coordonner les efforts des différents pays engagés. Dans la plupart des cas, seul un acteur majeur sur la scène internationale est apte à assurer un tel rôle - l'ONU par exemple. Par ailleurs, les acteurs représentant la région du monde concernée doivent prendre leurs responsabilités dans le cadre des processus de paix locaux, et pour ce faire, il est nécessaire qu'ils en détiennent les clefs. Cependant, dans bien des cas, ces acteurs régionaux sont totalement dépendants d'un soutien extérieur, y compris du point de vue financier.

                          Chaque conflit est unique en son genre, et tous les processus de paix et de réconciliation soulèvent des défis multiples. Le rôle de négociateur doit donc être taillé sur mesure, en fonction d'une situation précise, sur la base d'un dialogue étroit entre les parties engagées dans le conflit. Toutefois, un certain nombre d'éléments sont communs à toutes les actions en faveur de la paix auxquelles la Norvège participe.

                          * En tant que petit pays, la Norvège ne peut contraindre les parties à accepter une quelconque solution. Le rôle de négociateur impartial qu'elle revêt signifie que son action dépend totalement de l'acceptation de sa position par les parties, et de leur réelle volonté de parvenir à une solution pacifique.
                          * La Norvège - ici encore, en tant que petit pays - est apte à jouer ce rôle parce qu'elle n'a pas d'intérêts en jeu dans les conflits en question. Notre seul but est de contribuer à une solution pacifique.
                          * L'action de la Norvège dans le cadre des processus de paix et de réconciliation puise souvent ses racines dans le travail des ONG implantées dans la zone du conflit. Les réseaux d'inspiration religieuse, les organisations humanitaires, les organismes de recherche et les syndicats ont souvent une connaissance approfondie des différentes situations locales, et disposent de nombreux contacts sur place. Les autorités norvégiennes peuvent ainsi asseoir leur travail sur des bases solides. Les ONG norvégiennes ont joué un rôle particulièrement important dans les situations où il était préalablement nécessaire de rétablir la confiance entre les parties, en préparant le terrain des négociations.
                          * En raison de son engagement intensif dans les actions d'aide au développement et d'autres formes de coopération internationale, la Norvège est fréquemment confrontée avec des conflits dans différentes parties du monde. Aussi s'est-elle trouvée à maintes reprises dans une position qui lui permettait de soutenir activement les processus de paix et de réconciliation. Elle est généralement considérée comme un acteur neutre et efficace, capable d'apporter une contribution positive aux négociations.
                          * Toute intervention constructive dans le but de résoudre un conflit suppose une connaissance approfondie et une analyse systématique des éléments en présence. Nouer de bonnes relations avec les deux parties, s'armer de patience et d'une perspective axée sur le long terme : telles sont les conditions essentielles de la réussite. La continuité des efforts menés et leur coordination sont en outre indispensables pour parvenir à une solution pacifique..

                          La contribution de la Norvège aux processus de paix se répartit ordinairement en trois volets principaux : 1) l'aide aux négociations entre les belligérants, 2) une assistance à la mise en place de mécanismes de contrôle, en vue de vérifier l'application des engagements 3) une aide en vue de mesures de reconstruction immédiates, qui puissent rapidement bénéficier aux populations des zones dévastées par la guerre.

                          Ces éléments d'action constituent une part significative du travail actuel de la Norvège en faveur de la paix, par exemple au Sri Lanka et au Soudan. S'il est important de soutenir les efforts des deux parties dans leur recherche de solutions politiques, il est plus essentiel encore de veiller à ce que les résultats obtenus autour de la table des négociations se traduisent immédiatement dans la pratique. L'expérience montre que les mécanismes de contrôle sont, à cet égard, d'une grande utilité. La Norvège contribue à l'heure actuelle activement à la mission de contrôle mise en place au Sri Lanka, liée au cessez-le-feu signé en mars 2002. Elle a également pris l'initiative de coordonner les efforts des pays donateurs qui soutiennent le processus de paix au Sri Lanka. Cette action favorise la mobilisation de la communauté internationale, empêche une forme d'aide au développement propre à alimenter la compétition et le conflit entre les parties, et permet avant tout de démontrer aux victimes de la guerre que la paix est la seule solution viable. Il est important de consolider les accords obtenus par une amélioration de la sécurité et de l'accès aux services sociaux, par l'activité et le développement économiques, pour réduire le risque que des forces négatives ne tirent profit du chaos qu'entraîne l'absence de gouvernance. Les conflits du Soudan et du Sri Lanka perdurent l'un et l'autre depuis 20 ans, mais les processus de paix en cours, auxquels la Norvège participe activement, permettent d'espérer une paix durable. Certes, il reste des défis à relever, mais ces deux exemples montrent que même dans les pires des conflits, des solutions peuvent être trouvées, si les belligérants et la communauté internationale joignent leurs efforts à cet effet..

                          Le travail en faveur de la paix et de la sécurité relève de la responsabilité de tous les pays. Aucun ne saurait se contenter de s'en remettre aux Nations Unies pour résoudre les conflits armés qu'il estime ne pas le concerner. Nous devons tous assumer notre part de ce travail, en particulier dans les cas où les Nations Unies et le Conseil de sécurité ne sont pas en mesure de résoudre à eux seuls le problème. Il est également important de comprendre que les conflits qui se déroulent dans des régions du monde éloignées de la nôtre ont néanmoins une incidence directe sur la sécurité intérieure de nos pays, notamment sous la forme d'une augmentation des flots de réfugiés, d'une progression du crime organisé et du terrorisme.

                          Texte rédigé par le Ministère norvégien des Affaires étrangères

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                          • #14
                            En même temps ce n'est pas le sujet ici. Tout ne tourne pas autour du SO dans le monde.

                            Geass

                            Tu cherches des fleurs ???

                            Bank I Moon est malmené sur les problèmes du monde qu'il ne resoud pas ; celui du sahara n'est pas mis en avant , je le fais remarquer ; de quoi tu te mêles ?

                            Commentaire

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