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La Pharmacie Centrale des Hôpitaux algériens compte sur le savoir-faire palestinien
La Pharmacie Centrale des Hôpitaux algériens compte sur le savoir-faire palestinien pour produire localement
La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) envisage de se lancer bientôt dans la production de médicaments. Annonce faite par le directeur général M. Mansouri Mohamed lors d’une conférence de presse.
La production de médicament se fera par le biais d’un partenariat signé entre la PCH et Jerusalem Pharmaceutical Company (Al-Quds), une société médicale palestinienne de renommée mondiale installée depuis 4 ans en Algérie.
Cette unité de production est en cours de finalisation et sera opérationnelle d'ici la fin de l'année de 2010. La production concernera d'abord des antibiotiques de troisième génération en forme sèche, qui figurent parmi les traitements les plus demandés et les plus chers, puis du gaz médical à usage hospitalier.
D’après le directeur général de la PCH, cette production locale devrait faire baisser considérablement (de 70 à 80%) le prix de revient des produits pharmaceutiques concernés.
Le but de cette opération est plus largement de contribuer à réduire les importations de médicaments qui sont passées de 500 millions de dollars en 2000 à 1,8 milliards de dollars en 2007.
Depuis octobre 2008, le gouvernement algérien interdit l'importation des médicaments pour lesquels on trouve des équivalents produits localement.
Source : [ANSAmed]
La Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) envisage de se lancer bientôt dans la production de médicaments. Annonce faite par le directeur général M. Mansouri Mohamed lors d’une conférence de presse.
La production de médicament se fera par le biais d’un partenariat signé entre la PCH et Jerusalem Pharmaceutical Company (Al-Quds), une société médicale palestinienne de renommée mondiale installée depuis 4 ans en Algérie.
Cette unité de production est en cours de finalisation et sera opérationnelle d'ici la fin de l'année de 2010. La production concernera d'abord des antibiotiques de troisième génération en forme sèche, qui figurent parmi les traitements les plus demandés et les plus chers, puis du gaz médical à usage hospitalier.
D’après le directeur général de la PCH, cette production locale devrait faire baisser considérablement (de 70 à 80%) le prix de revient des produits pharmaceutiques concernés.
Le but de cette opération est plus largement de contribuer à réduire les importations de médicaments qui sont passées de 500 millions de dollars en 2000 à 1,8 milliards de dollars en 2007.
Depuis octobre 2008, le gouvernement algérien interdit l'importation des médicaments pour lesquels on trouve des équivalents produits localement.
Source : [ANSAmed]
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