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En Algérie, le 1er Forum international sur la franchise aura lieu en février 2006. Les commerçants ont des accords de distributions permettant ainsi de présenter des marques étrangères mais ne peuvent exister en tant que franchisé pour pallier à cela ce Forum espère la faire exister en Algérie. C'est une très bonne initiative car c'est un créneau qui permettra la création d'emplois dans de nombreux domaines.
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Le premier Forum international sur la franchise, organisé par la société le Cercle, se tiendra à Alger, du 3 au 5 février 2006. Dans une conférence de presse qu’ils ont organisé samedi 17 décembre, à l’hôtel Sheraton au Club des Pins, les responsables du Cercle en ont présenté le contenu. Le premier forum dont il est question réunira toutes les institutions concernées par le commerce franchisé, des opérateurs économiques, nationaux et étrangers, des banquiers, des représentants de la fédération internationale de la franchise, entre autres. Il permettrait de discuter d’un sujet peu connu en Algérie, de l’enrichir. Et il devrait s’achever par une série de recommandations et un rapport final à remettre aux institutions de l’Etat.
Ce faisant, le Cercle, d’après ses responsables, veut se poser en intermédiaire entre ceux intéressés par le commerce franchisé et les institutions responsables de la législation et de la réglementation se rapportant à la franchise. Or, aujourd’hui, la franchise n’est pas réglementée en Algérie.
Les marques étrangères, que ce soit dans le domaine du cosmétique ou de l’habillement, par exemple, présentes sur le marché national, le sont dans un cadre de contrat de distribution et non pas de franchise.
La franchise se définit comme étant une sphère commerciale, dans un pays donné, dans laquelle une marque étrangère reconnue, dans différents secteurs, est transposée contre des royalties ou des commissions. Le Cercle estime que ceux, en Algérie, ayant l’exclusivité de commercialiser des produits sous certains labels, sous des contrats de distribution, ont le mérite de travailler, parce que le code du commerce ne prévoit rien au sujet de la franchise.
Le Cercle souhaite s’inspirer de ce qui se fait en la matière en Tunisie et au Maroc, deux pays où la franchise est pratiquée à grande échelle, comme elle l’est dans d’autres pays également. Donner une assise juridique au commerce franchisé, c’est contribuer à lutter contre l’informel, à structurer le marché intérieur, notent les responsables du Cercle.
A leurs yeux, encadrer ce commerce, c’est se mettre en adéquation avec les règles commerciales, au sens large du terme, découlant de l’accord d’association, liant l’Algérie à l’Europe des Vingt Cinq, et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). C’est aussi s’inscrire plus vite dans des normes commerciales internationales, s’y adapter, soulignent-ils.
Le Cercle projette d’animer un deuxième forum sur le même thème en septembre 2006 pour permettre un suivi continuel des conclusions issues du premier forum.
Source: La tribune
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Le premier Forum international sur la franchise, organisé par la société le Cercle, se tiendra à Alger, du 3 au 5 février 2006. Dans une conférence de presse qu’ils ont organisé samedi 17 décembre, à l’hôtel Sheraton au Club des Pins, les responsables du Cercle en ont présenté le contenu. Le premier forum dont il est question réunira toutes les institutions concernées par le commerce franchisé, des opérateurs économiques, nationaux et étrangers, des banquiers, des représentants de la fédération internationale de la franchise, entre autres. Il permettrait de discuter d’un sujet peu connu en Algérie, de l’enrichir. Et il devrait s’achever par une série de recommandations et un rapport final à remettre aux institutions de l’Etat.
Ce faisant, le Cercle, d’après ses responsables, veut se poser en intermédiaire entre ceux intéressés par le commerce franchisé et les institutions responsables de la législation et de la réglementation se rapportant à la franchise. Or, aujourd’hui, la franchise n’est pas réglementée en Algérie.
Les marques étrangères, que ce soit dans le domaine du cosmétique ou de l’habillement, par exemple, présentes sur le marché national, le sont dans un cadre de contrat de distribution et non pas de franchise.
La franchise se définit comme étant une sphère commerciale, dans un pays donné, dans laquelle une marque étrangère reconnue, dans différents secteurs, est transposée contre des royalties ou des commissions. Le Cercle estime que ceux, en Algérie, ayant l’exclusivité de commercialiser des produits sous certains labels, sous des contrats de distribution, ont le mérite de travailler, parce que le code du commerce ne prévoit rien au sujet de la franchise.
Le Cercle souhaite s’inspirer de ce qui se fait en la matière en Tunisie et au Maroc, deux pays où la franchise est pratiquée à grande échelle, comme elle l’est dans d’autres pays également. Donner une assise juridique au commerce franchisé, c’est contribuer à lutter contre l’informel, à structurer le marché intérieur, notent les responsables du Cercle.
A leurs yeux, encadrer ce commerce, c’est se mettre en adéquation avec les règles commerciales, au sens large du terme, découlant de l’accord d’association, liant l’Algérie à l’Europe des Vingt Cinq, et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). C’est aussi s’inscrire plus vite dans des normes commerciales internationales, s’y adapter, soulignent-ils.
Le Cercle projette d’animer un deuxième forum sur le même thème en septembre 2006 pour permettre un suivi continuel des conclusions issues du premier forum.
Source: La tribune
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