S'asseoir pour un peu prendre du bonheur.
S'assoupir sur sa paresse...
Passer son temps à ne rien faire...
Et gouter au délice de la langueur qui s'installe.
Place Guidon,
en terrasse tu m'es apparue.
En cet endroit particulier,
le regard ne peut que rencontrer,
le ciel et la mer qui se marient.
La pureté de l'azur de l'eau,
au ciel s'est confondu.
Plaisir de se laisser embrasser,
par le spectacle majestueux,
de ta chaine montagneuse.
Comme un navire,
elle s'allonge autour de ta ville en escalier...
La saisir elle voudrait.
Babord est son nom !
Elle se dresse avec fierté.
Celle ci se réveille,
chaque jour,
sur la délicatesse de ses courbes.
Le soleil en a fait un joyau.
Mais la brume et le brouillard,
la profondeur d'un bateau en marche,
elle lui donne.
A craquer ce mur,
ressemblant à une voillure,
il a décidé !
Les paupières à peine levées,
la lourdeur du moment qui passe,
ainsi me suis je trouvée.
La marque des rayons,
une route de diamants,
sur l'eau a tracé.
Pour le regard captiver.
Le bonheur de s'impregner,
de Bejaia la magnifique !
Ville lumineuse,
d'un seul mouvement,
par ta beauté pétillante,
le regard du flaneur
tu viens de captiver.
Et si un jour Bougie on l'a nommée,
c'est qu'on a oublié,
de la mieux observer.
Dans son écrin lumineux,
cette ville magique,
ne peut etre une simple bougie.
Bejaia la belle !
Bejaia la troublante !
Tes paysages tu nous offres...
Et avec générosité,
la douceur de vivre.
C'est ici que le voyageur,
pour un temps indéfini,
se poser il voudrait.
La magie du moment qui passe,
la retenir on aimerait.
Comment ne pas y songer,
lorsque générosité,
est aussi ton nom...
Bejaia... ta beauté m'étreint,
et à jamais retenir mon esprit.
Encore un peu gouter à ta splendeur,
pour qu'ainsi,
ton souvenir,
avec moi emporter...
Sonia
S'assoupir sur sa paresse...
Passer son temps à ne rien faire...
Et gouter au délice de la langueur qui s'installe.
Place Guidon,
en terrasse tu m'es apparue.
En cet endroit particulier,
le regard ne peut que rencontrer,
le ciel et la mer qui se marient.
La pureté de l'azur de l'eau,
au ciel s'est confondu.
Plaisir de se laisser embrasser,
par le spectacle majestueux,
de ta chaine montagneuse.
Comme un navire,
elle s'allonge autour de ta ville en escalier...
La saisir elle voudrait.
Babord est son nom !
Elle se dresse avec fierté.
Celle ci se réveille,
chaque jour,
sur la délicatesse de ses courbes.
Le soleil en a fait un joyau.
Mais la brume et le brouillard,
la profondeur d'un bateau en marche,
elle lui donne.
A craquer ce mur,
ressemblant à une voillure,
il a décidé !
Les paupières à peine levées,
la lourdeur du moment qui passe,
ainsi me suis je trouvée.
La marque des rayons,
une route de diamants,
sur l'eau a tracé.
Pour le regard captiver.
Le bonheur de s'impregner,
de Bejaia la magnifique !
Ville lumineuse,
d'un seul mouvement,
par ta beauté pétillante,
le regard du flaneur
tu viens de captiver.
Et si un jour Bougie on l'a nommée,
c'est qu'on a oublié,
de la mieux observer.
Dans son écrin lumineux,
cette ville magique,
ne peut etre une simple bougie.
Bejaia la belle !
Bejaia la troublante !
Tes paysages tu nous offres...
Et avec générosité,
la douceur de vivre.
C'est ici que le voyageur,
pour un temps indéfini,
se poser il voudrait.
La magie du moment qui passe,
la retenir on aimerait.
Comment ne pas y songer,
lorsque générosité,
est aussi ton nom...
Bejaia... ta beauté m'étreint,
et à jamais retenir mon esprit.
Encore un peu gouter à ta splendeur,
pour qu'ainsi,
ton souvenir,
avec moi emporter...
Sonia
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