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    Classement des fréquentations de boîtes mails en ligne
    Yahoo! reste toujours en tête



    Exchange Server 2010, «release candidate», est téléchargeable
    La version RC pour «release candidate» du serveur de messagerie de Microsoft est disponible. Pour rappel, une version RC signifie une version de test «stabilisée» ; c’est l’avant-dernière étape avant la version finale, qui est programmée pour la fin de l’année 2009. Cette version 2010 a été particulièrement enrichie par des options facilitant le déploiement et d’autres renforçant la sécurité des données, avec une protection accrue contre les risques de pertes d’informations.
    La conformité avec les nouvelles contraintes réglementaires a également été étendue. Cette version RC d’Exchange Server 2010 peut coexister avec les versions 2003 et 2007, mais, attention, pour la version 2007, il faut attendre le «Service Pack 2» (SP2), lequel sera prochainement disponible, avant la fin du mois d’août. A noter qu’en 2010, Exchange Server célébrera ses 15 ans d’existence. Selon une étude de Ferris Research, citée par Microsoft, son serveur de messagerie occupe 65% du marché des messageries d’entreprise. Son déploiement continue : sur l’année fiscale 2008 (juillet 2008 à juin 2009), plus de 4,7 millions d’utilisateurs ont commencé à migrer vers Exchange et SharePoint.
    Il génère près de 2 milliards de chiffre d’affaires dans le monde. En service en ligne (ou «live»), au sein de l’offre Online Services de Microsoft, Exchange Online connaît également une forte progression ; il compterait déjà plus d’un million d’utilisateurs dans le monde. Dans le cadre du programme Live@Edu, ce sont plus de 10 millions d’utilisateurs qui en font le test en «live». Dans l’histoire de Microsoft, c’est la plus large diffusion d’une version serveur «bêta».

    Facebook accusé d’être «trop social»
    Facebook est une nouvelle fois en procès. Jugeant le site «trop social», cinq utilisateurs ont décidé d’attaquer le célèbre réseau social en justice. Une plainte a été déposée lundi 17 août en Californie, accusant la plate-forme de réseautage de diffuser des données personnelles, sans que les principaux intéressés puissent les contrôler. Facebook répond que cette plainte est infondée et n’hésitera pas à livrer une bataille juridique. Parmi les plaignants, une femme inscrite depuis les prémices du fameux réseau qui n’était alors qu’un trombinoscope d’anciens étudiants. Il permettait aux amis d’université de garder contact, mais depuis sa création en 2004, Facebook a attiré plus de 250 millions d’utilisateurs. Les autres plaignants sont un photographe et une actrice, mécontents de voir leurs photos diffusées sur leur page sans leur accord. Mais ceux qui interpellent le plus sont deux plaignants mineurs. L’un des jeunes garçons, âgé de 11 ans lors de son inscription, avait diffusé des photos d’enfants à moitié nus sur sa page. Facebook n’autorise, pourtant, les inscriptions qu’à l’âge de 13 ans, mais le site ne propose aucun moyen de confirmer l’âge des inscrits. Ancien étudiant de Harvard, le créateur de Facebook, Mark zuckerberg, n’avait certainement pas imaginé l’envergure qu’allait prendre son réseau social. Le site a eu une évolution très rapide et face aux possibles dérives, les termes d’utilisation ont été redéfinis à plusieurs reprises, afin de respecter au mieux la vie privée de ses utilisateurs. Avec 250 millions d’inscrits, Facebook est devenu une gigantesque toile de réseaux, dont le contrôle échappe visiblement à plus d’un.

    YouTube se met aux films et aux séries
    YouTube et Time Warner viennent de s’entendre sur un accord de partenariat visant la diffusion de contenus vidéo. Une avancée vers plus de contenu légal sur le site mais aussi une source de revenus pour Google (propriétaire de YouTube). L’AFP précise que l’accord ne devrait pas porter sur la diffusion des contenus du groupe de médias dans leur intégralité mais sur la mise en ligne «d’extraits de haute qualité et de format court». Une mise en bouche en forme de support publicitaire privilégié puisque l’accord prévoit déjà l’ajout d’annonces sur les extraits diffusés. Les revenus seront alors partagés entre les deux parties.
    Il faut savoir qu’en matière d’accords transversaux entre médias et site de vidéos, les concurrents de YouTube n’ont pas attendu Google pour proposer de nouvelles formes de contenu. Hulu.com, détenu par les groupes de médias NBC Universal (General Electric), Fox (News Corp) et Disney, diffuse déjà des contenus légaux et gratuits, financés par la publicité.
    De son côté, la filiale de Google a conclu des accords avec plusieurs studios (Vivendi Universal) et chaînes de télévision comme Sony Pictures, MGM ou encore Lionsgate pour diffuser des films et des programmes télévisés dans leur intégralité.
    Pour rappel, Google avait racheté YouTube, en 2006, au prix d’1,65 milliard de dollars. Une bagatelle dépensée dans l’espoir que le site allait rapporter beaucoup. Peine perdue pour YouTube qui, selon certaines informations, rapporte peu.
    Google cherche, donc, un modèle économique viable à YouTube. De son côté, Time Warner a expliqué que ce partenariat l’aiderait «à étendre son réseau de contenus promotionnels, déjà accessible en ligne. En travaillant avec YouTube, nous espérons améliorer notre capacité à monétiser ces contenus de format court».

    Les traqueurs de spam lancent une plainte contre les pirates
    Une plainte vient d’être lancée contre les «criminels d’Internet» sévissant dans certains pays de l’Europe de l’Est. Ces «gangs» spécialisés dans le piratage puis le vol de données, notamment bancaires, sont particulièrement visés. Le quotidien américain New york Times explique que le plaignant, «Unspam Technologies», qui enrôle des volontaires pour collecter des informations sur les hackers voleurs de coordonnées bancaires, a entamé une action judiciaire devant la Cour des États-Unis à Washington. Même si l’organisation concède que l’initiative n’aboutira pas à démasquer nombre de pirates, elle espère obtenir plus d’informations sur les méthodes de fraude, les noms des victimes et d’autres données pouvant aboutir à une meilleure sécurité des structures. La même méthode avait déjà été utilisée auprès d’AOL et Verizon afin d’identifier les expéditeurs de messages non sollicités aux clients des sociétés. Une technique similaire à celle des ayants droit de l’industrie musicale pour forcer les FAI à dévoiler ceux qui s’échangent illégalement de la musique.
    Toujours est-il que la procédure qui vient d’être lancée s’appuie sur le Can-Spam Act, la loi américaine censée protéger les internautes des e-mails non sollicités. Pour autant, la plupart des dispositions ne concernent pas les méthodes dites de phishing (hameçonnage) très utilisée par les pirates. Une fois un message envoyé demandant d’inscrire les coordonnées bancaires d’un client, l’internaute est renvoyé vers un site censé être celui de sa banque. Un site détenu par un ou plusieurs pirates récupère alors codes et coordonnées bancaires.
    Unspam Technologies espère, donc, rebondir sur le cas d’Albert Gonzales, ancien informateur des services de renseignement américain qui a tenté de pirater pas moins de 130 millions de cartes de crédit. Une «prouesse» qui, outre-Atlantique, n’a fait sourire personne.

    Office 2010 beaucoup plus sécurisé qu’Office 2007
    Microsoft va considérablement renforcer la sécurité dans sa prochaine suite bureautique Office 2010. Notamment en regard des tentatives d’attaques lancées à partir de fichiers vérolés. Un classique des méthodes de contamination des PC par les cybercriminels qui savent exploiter la crédulité ou l’inattention des utilisateurs prompts à ouvrir les yeux fermés la première pièce jointe qui tombe dans leur courriel. Office 2010 bénéficiera de la fonction «Protected View». Celle-ci vise à isoler les fichiers Word, Excel et Powerpoint en mode «lecture seule» uniquement. Une sorte de «bac-à-sable» (sandbox en anglais) qui protège, en théorie, le système de toute attaque propagée depuis un document bureautique.«Le fichier est ouvert dans une zone de bac à sable de l’application [...] et en cas de présence de code malveillant dans le fichier, l’objectif est d’empêcher ce code de manipuler vos documents, changer votre profil ou d’autres paramètres utilisateurs», explique schématiquement, sur son blog, Vikas Malhotra, membre de l’équipe de sécurité Office Trustworthy Computing chez Microsoft. Protected View est une évolution majeure de MOICE (Microsoft Office Isolated Converter Environment) qui tentait de protéger le système en convertissant les fichiers binaires au format XML, les analysait puis les reformatait en binaire avant d’autoriser (ou non) leur ouverture. Mais l’opération
    ralentissait trop l’accès au fichier sans offrir pour autant une garantie de sécurisation intégrale.

    Webmails : Gmail grignote Yahoo!
    Entre les géants de la messagerie en ligne, la guerre est ouverte. L’institut ComScore vient à ce titre d’annoncer de nouvelles estimations de fréquentation des différents services de boîtes mails en ligne. Selon ces estimations, Yahoo! reste toujours très loin en tête, notamment aux Etats-Unis avec 106 millions de visiteurs uniques le mois dernier. Microsoft et son service Hotmail restent toujours en deuxième position, avec 47 millions de visiteurs uniques. Le reste du classement est plus croustillant dans la mesure où le Gmail de Google s’arroge la troisième place en passant devant AOL Mail. Le succès de Gmail s’établit alors avec 37 millions de visiteurs uniques, contre 36,4 millions pour AOL. La situation est la conséquence d’un effet de vases communicants entre AOL et Google puisque AOL Mail a vu sa fréquentation chuter de 22% en un an, tandis que Gmail a crû de 25% durant la même période. Google grignote, donc, les positions de ses concurrents dans la mesure où, à ce rythme, Gmail pourrait bien surpasser Hotmail d’ici deux ans. Pour autant, Yahoo! continue de confirmer sa position en tête de liste avec une progression encore forte de 15 millions de visiteurs uniques en un an. Toujours est-il que Gmail envoie un message fort
    à la concurrence.
    La tribune
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…
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