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Un garçonnet de 10 ans habitant la localité de Ouenza (Tébessa, à l’est du pays) s’est «improvisé» dompteur de serpents, maniant magistralement ces reptiles sous le regard ahuri des badauds. Le jeune Hamma Rezaïguia s’est familiarisé depuis presque une année avec ces espèces dangereuses, raconte son père, Bachir, lui-même ancien «charmeur» de serpents.
Sans crainte aucune, Hamma laisse se faufiler entre ses membres une nuée de serpents qu’il porte parfois autour du cou en exhibant, s’amuse-t-il à dire, «des colliers vivants». Autant lui que son géniteur se défendent de faire de ce «hobby» un moyen d’engranger de l’argent. «Nous ne donnons aucun spectacle ni ne cherchons à tirer un quelconque avantage matériel de ce don», a tenu à souligner Bachir.
Un don qu’il compte plutôt mettre à profit pour «déloger» ces animaux à la morsure mortelle de lieux où ils constitueraient un danger. Philanthrope, il a confié qu’il s’apprête à se rendre à Khenchela à la demande de citoyens pour y débarrasser un douar d’un serpent menaçant. Si ce jeune garçon dompte les serpents à l’âge de dix ans, que fera-t-il alors des hommes quand il aura 20 ans?
Par L'Expression
Sans crainte aucune, Hamma laisse se faufiler entre ses membres une nuée de serpents qu’il porte parfois autour du cou en exhibant, s’amuse-t-il à dire, «des colliers vivants». Autant lui que son géniteur se défendent de faire de ce «hobby» un moyen d’engranger de l’argent. «Nous ne donnons aucun spectacle ni ne cherchons à tirer un quelconque avantage matériel de ce don», a tenu à souligner Bachir.
Un don qu’il compte plutôt mettre à profit pour «déloger» ces animaux à la morsure mortelle de lieux où ils constitueraient un danger. Philanthrope, il a confié qu’il s’apprête à se rendre à Khenchela à la demande de citoyens pour y débarrasser un douar d’un serpent menaçant. Si ce jeune garçon dompte les serpents à l’âge de dix ans, que fera-t-il alors des hommes quand il aura 20 ans?
Par L'Expression