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Quels sont donc ces grands chantiers du Maroc ?

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  • Quels sont donc ces grands chantiers du Maroc ?

    Sur toutes les lèvres, court l’expression « les grands chantiers du Maroc ». Particulièrement à l’occasion du bilan d’étape que nationaux et étrangers dressent des 10 ans de règne de SM Mohammed VI. De quoi s’agit-il ?

    A force de chantiers ouverts, le Maroc tout entier n’est plus qu’un chantier ouvert. Chantiers économiques, chantiers sociaux, chantiers politiques… Plusieurs de ces chantiers étaient déjà considérés comme des priorités avant l’accession au Trône de SM Mohammed VI (santé, éducation…). Mais à nouveau règne, nouveau style !


    Et puis, surtout, le jeune Souverain n’a pas craint d’ouvrir tous les chantiers en même temps, engageant le Maroc dans une dynamique au long souffle, avec ses ambitieux objectifs, ses premiers loupés et premiers succès.


    Par ailleurs, le Roi Mohammed VI n’a pas fait que reprendre, pour les dynamiser, les chantiers classiques. Sa première décennie de règne aura été marquée par l’ouverture de chantiers que le Maroc n’avait jamais ouverts auparavant (celui des grands projets structurants comme Tanger Med, les marinas, le TGV Tanger-Casa…) et de certains qu’il n’aurait même jamais songé à ouvrir (l’Instance Equité et Réconciliation, l’Amazighité, la réforme du champ religieux largement investi par les femmes-mourchidates…).

    Les grands chantiers du Maroc, aujourd’hui, ne se comptent plus. Certains sont bien avancés, voire quasiment arrivés à terme. D’autres ne donneront de résultats que dans plusieurs années. D’autres enfin sont des sortes d’ouvrages qui devront être constamment remis sur le métier ! Qu’on en juge…

    Il y a les grands chantiers structurants (appelés encore mégaprojets), comme le complexe portuaire Tanger Med, la rocade méditerranéenne, le vaste projet Amwaj sur les rives du Bouregreg, le réaménagement de la baie d’Agadir, le projet de TGV, le développement accéléré des autoroutes du Maroc et le dernier-né des mégaprojets : l’immense complexe portuaire Nador West Med !


    Il y a aussi le chantier du tourisme avec ses ambitieux objectifs (10 millions de touriste à horizon 2010) et ses projets grandioses tels que ceux du plan Azur, lequel consiste en la construction de 6 sites balnéaires : Saïdia (près d'Oujda), Mazagan (près d'El Jadida), Mogador (près d'Essaouira), Lixus (près de Larache), Taghazout (près d'Agadir) et Plage Blanche (près de Guelmim).


    Il y a le chantier industriel et le lancement en 2005 de la stratégie industrielle «Plan Emergence » qui identifie les filières pouvant devenir des moteurs de croissance de l’économie nationale pour les dix années à venir (horizon 2015). Ces moteurs de croissance (les MMM, « Métiers Mondiaux du Maroc », sont : l’automobile, l’offshoring, l’électronique, l’aéronautique, mais aussi quelques uns des secteurs traditionnels : le textile-cuir, l’agro-alimentaire et la transformation des produits de la mer. Une stratégie qui devrait permettre de créer plus de 300.000 emplois, de réduire de 50% le déficit commercial et de relever la part du PIB industriel dans le PIB global de 16 à 23%.


    Autre chantier : l’ouverture économique via les zones de libre échange et multiples accords. Notamment, dans l’ordre chronologique : l’accord d’association avec les Etats-Unis signé en juin 2004, l’accord d’Agadir signé la même année avec la Tunisie, l’Egypte et la Jordanie, l’accord d’association avec l’Union européenne et, last but not least, le statut avancé accordé au Maroc (octobre 2008).


    Le chantier «mise à niveau de l’administration et modernisation des secteurs sociaux» a également été pris à bras le corps avec, entre autres, le programme national de simplification des procédures, la mise en ligne des marchés publics et de près de 200 services de l’administration, ou encore la dématérialisation des flux (déclaration douanières, système bancaire…).


    Un des principaux chantiers –qui, lui, constitue une continuité entre les activités du Prince Héritier Sidi Mohammed et celles du Prince devenu Roi- c’est celui du développement humain et de la lutte contre la précarité et l’exclusion sociale qui a été qualifié de «chantier de règne». Allusion à la volonté royale de l’inscrire dans le long terme. Notamment avec le lancement, le 18 mai 2005, de l’INDH (Initiative Nationale pour le Développement humain. Voir reste du dossier, page 29).


    Autre vaste chantier, celui du logement social avec, fin 2002, un déficit en logement qui atteignait 1,24 million d’unités. En 2003, une nouvelle politique de lutte contre l’habitat insalubre et de soutien au logement a été mise en œuvre. Elle s’est fixé pour objectif une production de 100.000 logements sociaux annuels et l’éradication des bidonvilles à l’horizon 2012. Cette politique se poursuit à vitesse grand «V» (voir reste du dossier, pages 24-25).


    On n’oubliera pas, côté politique, le grand chantier, ouvert dès le début du nouveau règne, de la réconciliation avec le passé : L’IER (instance équité et réconciliation) avec ses innovations, hier encore totalement inconcevables, comme les auditions publiques des victimes des violations de droits humains, les indemnités, réhabilitations et réparations de préjudice. (Ahmed Herzenni nous en fait le point, pages 30-31).


    Le chantier de l’amazighité n’est pas des moins sensibles. Le seul fait de l’ouvrir, de façon officielle, est un pas en avant, la question amazighe ayant été jusque-là volontairement occultée et le problème politiquement évacué avec la tradition qui voulait que la mère du Roi soit berbère. Lancé avec le discours royal d’Ajdir d’octobre 2001 et la mise en place de l’IRCAM (Institut Royal de la Culture Amazighe), le chantier se poursuit.


    Les droits de la femme ont constitué un des plus grands chantiers de cette décennie avec la réforme de la Moudouwana (code de la famille), en 2003, la possibilité pour la Marocaine de transmettre sa nationalité, la discrimination positive en matière d'élections avec le système des quotas et listes réservées aux femmes.


    Il y a aussi un chantier dont personne ne voit le bout, mais que le nouveau règne a eu le mérite d’ouvrir : la lutte contre la corruption. Le Maroc s’est engagé dans un long processus de lutte contre ce fléau en partenariat avec Transparency dont la contribution a été sollicitée, notamment en matière de législation sur la corruption.


    La liste des chantiers ouverts sous le règne du Roi Mohammed VI est encore longue. Il faut le reconnaître, le Maroc n’a jamais connu une telle effervescence. Pèle mêle, on citera les chantiers «Plan Maroc Vert», la réforme de la fiscalité (qui a permis de réduire le nombre des impôts de 34 à 5 seulement), la promotion de l’investissement (public et privé, national et étranger), le monde rural, la région… Mais aussi les chantiers qui se sont imposés au Maroc, comme celui de la lutte contre le terrorisme (particulièrement depuis les attentats de Casablanca de mai 2003), ou –prioritaire parmi les prioritaires et objet d’une mobilisation sans faille- celui de la défense de l’intégrité territoriale, notamment la défense du Sahara, partie intégrante du Maroc et terre de ses ancêtres.


    Le Reporter
    Dernière modification par alien, 30 août 2009, 21h52.

  • #2
    Plus de 40% des marocains ne peuvent pas lire ce qui écrit ici. Le système éducatif et les hôpitaux marocains sont en ruine. Demander aux marocains (en leur garantissant qu il y aura aucune représailles a leur encontre), a ceux qui n ont accès ni a internet, ni aux soins médicaux et ni a l éducation de s exprimer sur leur quotidien. Au diable le roi et ses diversions de fin stratège, M6 est un despote, un dictateur et un maffieux de premier rang. Le Maroc et le reste des pays arabes sont condamnes a ne jamais sortir de leur misère.j aurais aime que ces triste pays puisse s en inspirer et commencer de s occuper de ses citoyens a l image des grand pays democratiques

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    • #3
      Plus de 40% des marocains ne peuvent pas lire
      Ah bon, ce ne sont plus 80% ou 60%. C´est deja mieux, dans peu de temps vous apprendrez aussi de quoi ce chiffre et d´autres sont gonfles.

      Sinon un mot sur l´article, ou c´est la jalousie qui t´a constipé?

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      • #4
        desert_rose,

        transit ne répond pas de sa "tête", il ne nous fait que des copie-coller d'internet, qui des fois n'ont rien à voir avec le sujet.
        ( il prend généralement des réflexions des blogeurs marocains).

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        • #5
          alien citation
          des réflexions des blogueur marocains


          C'est dans de telles réflexions de gens qui vive la réalité que l'on peut
          connaitre l'etat réel loin des mensonges de la presse ces gros suppositoires
          destiné en endormir le peuple que tu poste

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          • #6
            Il n'est ni question d'endormir le peuple ou de quoique ce soit. Le peuple marocain est bien lucide et conscient pour croire que tout est rose dans son pays. Ce que je poste ne vise qu'à informer les gens, pour qu'ils soient au fait des changements.
            Puis après, les changements au Maroc tout le monde en parle (même en iles feroé)

            Le blog on est pour, et une bonne partie d'internautes marocains font des blogs, la blogomania marocaine est très active.
            Seulement voilà, il ne faut pas prendre l'avis d'un blogueur pour une parole divine...().
            Dernière modification par alien, 30 août 2009, 11h48.

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            • #7
              Il y a le chantier industriel et le lancement en 2005 de la stratégie industrielle «Plan Emergence » qui identifie les filières pouvant devenir des moteurs de croissance de l’économie nationale pour les dix années à venir (horizon 2015). Ces moteurs de croissance (les MMM, « Métiers Mondiaux du Maroc », sont : l’automobile, l’offshoring, l’électronique, l’aéronautique, mais aussi quelques uns des secteurs traditionnels : le textile-cuir, l’agro-alimentaire et la transformation des produits de la mer. Une stratégie qui devrait permettre de créer plus de 300.000 emplois, de réduire de 50% le déficit commercial et de relever la part du PIB industriel dans le PIB global de 16 à 23%.
              quand vous dites aeronautique, vous pensez à des ateliers de montage ou à une industrie novatrice et de conquête de marché ?

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              • #8
                Quand on dit Industrie aeronautique, on pense a Industrie aeronautique, que ce soit au Maroc ou en Tunisie, On laisse la conquete de l'espace aux autres...

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                • #9
                  Quand on dit Industrie aeronautique, on pense a Industrie aeronautique, que ce soit au Maroc ou en Tunisie, On laisse la conquete de l'espace aux autres...
                  Comme l'oiseau bleue?
                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #10
                    heureusement qu'andré azoulay fait vos plans et votre developpement, sans ce gouverneur vous seriez à l'ère du bronze...

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                    • #11
                      Tolkien,
                      Si ta demande était sérieuse.

                      Les marocains qui forment les mexicains lol



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                      • #12
                        ont parlé de projet lancé est fini, en cour moyen terme ou en long terme ...vous , vous parlé de Mohammed VI dictateur puis d'andré azoulay qui qu'un conseiller parmi d'autre le vrai conseiller du Roi qui a de l'influence c'est abdelaziz meziane belfkih mais personne ne le montre lui pourquoi ? ah je sais parce que il est marocain donc sa fait tombé a l'eau votre théorie du Maroc gouverné par les juives.

                        allah ichafikom parce que sa devient grave là...
                        Dernière modification par Tems, 30 août 2009, 12h29.

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                        • #13
                          tolkien
                          azoulay ne sert a rien il est mis au placard ont le fait sortir du placard que quand ont as besoin de sont carnet d'adresse qui très étauffé c'est votre amis j-p tuquoi qui le dit donc puisque vous le croyé sur certaine des ces connerie pour une fois qu'il dit quelque chose de juste vous le croyais pas ?

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                          • #14
                            belfikh c'est la première fois que je rencontre son nom, c'est vous qui en parlez pas, comment peut-on le connaître nous ? pour ce qui est de ma part j'ai aucun probleme avec les juifs, et si Jacques Atali voulait revenir pour être ministre Algerien moi je dis ce serai pour nous un trés bon plan, Jacques Atali serai pour nous un trés bon ministrable, mieux que tous ces algeriens sans vision ni ambitions pour leur pays !

                            ma question etait sincere avant qu'ayoub ne vienne jeter son poison habituel...

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                            • #15
                              je te crois l'ami.

                              je te confirme que si il y' a un conseiller du Roi qui est influent plus que le Premier Ministre en personne c'est Abdelazizi Meziane Belfkih .

                              voici sont portrait:

                              Abdelaziz Meziane Belfkih est né à Taourirt près d'Oujda, en 1944. Il est un des plus proches conseillers du roi Mohammed VI. Il est aussi le Président de la Commission Spéciale Education-Formation (COSEF) et Président Délégué du Conseil Supérieur de l'Enseignement.
                              DIPLOMES ET FORMATIONS :
                              - Ingénieur civil de l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (Paris). - Ingénieur de l’Institut National des Sciences Appliquées de Lyon. - D.E.A en mécanique des solides (Paris X). - D.E.S.S. en gestion des projets (Université de Lille).

                              CARRIERE PROFESSIONNELLE :
                              Après un premier poste d’ingénieur à la Direction de l’Hydraulique (Aménagements du Barrage Moulay Youssef sur la Tessaout), Monsieur Abdelaziz MEZIANE BELFKIH est nommé Chef de Division Technique à la Direction des Routes, puis Chef de l’Arrondissement des Travaux Publics et des Communications à Rabat.

                              Au lendemain de la marche verte, il est nommé en Décembre 1975 à Laâyoune comme Coordonnateur de l’ensemble des services du Ministère des Travaux Publics et des Communications dans les Provinces Sahariennes.
                              De retour à Rabat en 1978, il fut successivement : - Directeur de l’Inspection Générale au Ministère de l’Equipement et de la Promotion Nationale de 1978 à 1980. - Directeur des Routes et de la Circulation Routière de 1980 à 1983. - Secrétaire Général du Ministère des Travaux Publics, de la Formation Professionnelle et de la Formation des Cadres à partir de 1983 à 1992. - Ministre de l’Agriculture et de la Réforme Agraire du 17 Novembre 1992 au 27 Février 1995. - Ministre des Travaux Publics du 27 Février 1995 au 08 Août 1997. - Ministre de l’Agriculture, de l’Equipement et de l’environnement du 08 Août 1997 au 17 Mars 1998.

                              Le 24 Avril 1998, Monsieur Abdelaziz MEZIANE BELFKIH est nommé Conseiller de Sa Majesté Le Roi, poste qu’il a occupé auprès de Feu Sa Majesté Le Roi Hassan II et qu’il continue d’occuper auprès de Sa Majesté Le Roi Mohammed VI. En plus de la Fonction de Conseiller de Sa Majesté, Monsieur Abdelaziz MEZIANE BELFKIH s’est vu confier la responsabilité du pilotage ou du suivi de plusieurs dossiers et projets nationaux. Il a ainsi été chargé, depuis Mai 1998, de la direction du projet de la liaison fixe à travers le Détroit de Gibraltar, entre le Maroc et l’Espagne. Le 03 Mars 1999, Feu Sa Majesté Le Roi Hassan II le désigne Président de la Commission Spéciale Education-Formation (COSEF), qui a élaboré la Charte nationale de réforme du système éducatif, approuvée, en Octobre 1999, par Sa Majesté Le Roi Mohammed VI. La COSEF a été alors chargée du suivi, de l’évaluation et de l’enrichissement de la réforme, dans le cadre de la Décennie Nationale de l’Education-Formation (2001-2010). Le 26 Octobre 2001, Sa Majesté Le Roi Mohammed VI lui confie en plus, la Présidence de la Fondation Mohammed VI de Promotion des Œuvres Sociales de l’Education-Formation. Monsieur Abdelaziz MEZIANE BELFKIH est Président du Conseil de Surveillance de Tanger-Méditerranée (société en charge du projet Tanger-Med).

                              Il a également présidé, en 2002, le « Groupe Bouregreg) qui a élaboré un plan d’aménagement global de la Vallée de Bouregreg (Rabat-Salé), actuellement en cours d’exécution. En 2006, M. Abdelaziz MEZIANE BELFKIH est nommé par Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, Président Délégué du Conseil Supérieur de l’Enseignement.

                              DECORATIONS :
                              - Nationales : Commandeur de l’Ordre du Trône.
                              - Françaises : Commandeur de la Légion d’Honneur. Grand Officier de l’Ordre National du Mérite. - Italiennes : Cavalière di Gran Croce.
                              - Espagnoles : Gran Cruz De Isabel La Catolica.
                              Dernière modification par Tems, 30 août 2009, 12h42.

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