Les autorités libyennes ont décidé d’imposer une somme de 1000 euros pour tout citoyen algérien désireux d’enter sur le sol libyen. Les services de douane et de police ont commencé l’application de cette nouvelle disposition au niveau du poste frontalier de Ghadamès.
Les citoyens algériens ont rouspété quant à cette nouvelle disposition "non judicieuse", à leurs yeux, prise d’une manière unilatérale par la Libye. Ce qui a privé des dizaines de familles algériennes d’aller voir leurs proches à Ghadamès. Suite à cette nouvelle mesure, la circulation des personnes et des marchandises a enregistré un net recul au niveau du poste frontalier sus-cité.
Cette disposition intervient moins de deux mois après l’instauration par la Libye d’une taxe de 150 DT pour toute personne voulant regagner en voiture son territoire. Les autorités libyennes ont également décidé d’interdire aux Algériens souhaitant se rendre en Libye de transiter par le poste frontalier Taaret, 170 km, étant "non officiel", selon la Libye.
Selon les observateurs, les dernières décisions libyennes visent à mettre fin au grand exode des Algériens vers ses terres, qui occupent la deuxième position après les Egyptiens présents sur le territoire libyen. D’autres sources estiment que cette décision vise "à fermer les accès devant les infiltrations sur le sol libyen notamment de la part de groupes terroristes en vue de préserver la stabilité et la sécurité de la Jamahiriya libyenne".
Parallèlement, la ville de Ghadamès, à 670 km à l’ouest de La Libye, connaît une activité exceptionnelle, étant donné qu’elle va accueillir plus de 50 chefs d’Etat invités pour participer aux festivités du 40ème anniversaire de la révolution libyenne, date de l’accès de Mouammar Kadhafi au pouvoir, le 1er septembre 1969.
el-khabar
Les citoyens algériens ont rouspété quant à cette nouvelle disposition "non judicieuse", à leurs yeux, prise d’une manière unilatérale par la Libye. Ce qui a privé des dizaines de familles algériennes d’aller voir leurs proches à Ghadamès. Suite à cette nouvelle mesure, la circulation des personnes et des marchandises a enregistré un net recul au niveau du poste frontalier sus-cité.
Cette disposition intervient moins de deux mois après l’instauration par la Libye d’une taxe de 150 DT pour toute personne voulant regagner en voiture son territoire. Les autorités libyennes ont également décidé d’interdire aux Algériens souhaitant se rendre en Libye de transiter par le poste frontalier Taaret, 170 km, étant "non officiel", selon la Libye.
Selon les observateurs, les dernières décisions libyennes visent à mettre fin au grand exode des Algériens vers ses terres, qui occupent la deuxième position après les Egyptiens présents sur le territoire libyen. D’autres sources estiment que cette décision vise "à fermer les accès devant les infiltrations sur le sol libyen notamment de la part de groupes terroristes en vue de préserver la stabilité et la sécurité de la Jamahiriya libyenne".
Parallèlement, la ville de Ghadamès, à 670 km à l’ouest de La Libye, connaît une activité exceptionnelle, étant donné qu’elle va accueillir plus de 50 chefs d’Etat invités pour participer aux festivités du 40ème anniversaire de la révolution libyenne, date de l’accès de Mouammar Kadhafi au pouvoir, le 1er septembre 1969.
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