Zak (sud du Maroc), 29/08/2009 (SPS) Deux mineurs sahraouis ont trouvé la mort vendredi après midi, après avoir eut sauté sur une mine dans la localité de Oum Rjeim dans la région de Zak située au sud du Maroc, a rapporté le ministère des territoires occupés et de la communauté sahraouie à l étranger.
L’explosion a fait la mort des jeunes sahraouis, Salami Brahim et Abdul Haq Salami tous âgés de "10 ans" alors qu’ils suivaient les troupeaux de leur aux familles, a précisé la même source.
L’une des victimes est morte immédiatement après l'explosion de la mine, tandis que l'autre est décédée à l'hôpital régional, en raison du retard de ambulance qui devait le secourir, selon une source judiciaire cité par la même source.
Des citoyens sahraouis sautent chaque année sur des mines que le Maroc a enterrées par millions autour de remparts militaires construits autour de la zone occupées du Sahara Occidental et au sud du Maroc.
Le Front Polisario avait détruit son stock des mines anti-personnelles, appelant ainsi la communauté internationale à exercer des pressions sur le Maroc pour l'amener à détruire ses mines, qui "ne font pas la différence entre le pas d'un enfant et celui d'un soldat".
Cette initiative, rappelle-t-on intervient en réponse à l'Appel de Genève lancé en 2000 par des membres de la Campagne Internationale contre les mines antipersonnel, oeuvrant pour engager dans la lutte contre les mines antipersonnel les acteurs qui ne sont pas en mesure de signer la Convention d'Ottawa.
Rabat qui n'est pas signataire du Traité d'Ottawa de 1997 interdisant les mines antipersonnel, a installé des millions de ces mines dans la région, disposées le long d'un mur de sable de plus de 2.000 kilomètres, fortifié d'armes lourdes, de tranchées, de barbelés et de soldats, partageant le pays et le peuple du Sahara Occidental du nord au sud, rappelle-t-on encore. (SPS)
020/090/TRD 292330 AOUT 09 SPS
L’explosion a fait la mort des jeunes sahraouis, Salami Brahim et Abdul Haq Salami tous âgés de "10 ans" alors qu’ils suivaient les troupeaux de leur aux familles, a précisé la même source.
L’une des victimes est morte immédiatement après l'explosion de la mine, tandis que l'autre est décédée à l'hôpital régional, en raison du retard de ambulance qui devait le secourir, selon une source judiciaire cité par la même source.
Des citoyens sahraouis sautent chaque année sur des mines que le Maroc a enterrées par millions autour de remparts militaires construits autour de la zone occupées du Sahara Occidental et au sud du Maroc.
Le Front Polisario avait détruit son stock des mines anti-personnelles, appelant ainsi la communauté internationale à exercer des pressions sur le Maroc pour l'amener à détruire ses mines, qui "ne font pas la différence entre le pas d'un enfant et celui d'un soldat".
Cette initiative, rappelle-t-on intervient en réponse à l'Appel de Genève lancé en 2000 par des membres de la Campagne Internationale contre les mines antipersonnel, oeuvrant pour engager dans la lutte contre les mines antipersonnel les acteurs qui ne sont pas en mesure de signer la Convention d'Ottawa.
Rabat qui n'est pas signataire du Traité d'Ottawa de 1997 interdisant les mines antipersonnel, a installé des millions de ces mines dans la région, disposées le long d'un mur de sable de plus de 2.000 kilomètres, fortifié d'armes lourdes, de tranchées, de barbelés et de soldats, partageant le pays et le peuple du Sahara Occidental du nord au sud, rappelle-t-on encore. (SPS)
020/090/TRD 292330 AOUT 09 SPS
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