J'aimerais dire...
J'aimerais pouvoir dire je t'aime
Offrir en pleine nuit, des chrysanthèmes
Me lover secretement dans la laine
Épuré ma peau de cette haine
Le dire sans tout ces mots
Qui n'ont de sens sans le feu
Attisant les brises aux bateaux
S'amarrant aux larmes de tes yeux
Crier autant que possible
Poussant les os au paroxysme
Passer ma solitude au crible
L'envisager sous un autre prisme
Avouer a mon ombre qu'elle m'ennuie
Qu'elle est froide, idiote et objective
De mettre fin a la torture de la nuit
Et aux symphonies maudite des grives
Vivre sans exister, tel est mon calvaire
Mon chemin de croix, a travers l'hiver
Dédale incompressible et odieux
J'implore les mains tendues vers Dieu
Balbutiant mes poèmes, le front en sueur
Je ne sort que sous la pluie
Elle seul partage, tel une sœur
Et nettoie mon corps plein de suie
Accapare ma peau, joues encore
Frappes mon dos tel une bête de somme
Toi misérable scorie qui rie sur mon sort
Tu demeurera l'unique, déchet de l'homme
Chaarar,
J'aimerais pouvoir dire je t'aime
Offrir en pleine nuit, des chrysanthèmes
Me lover secretement dans la laine
Épuré ma peau de cette haine
Le dire sans tout ces mots
Qui n'ont de sens sans le feu
Attisant les brises aux bateaux
S'amarrant aux larmes de tes yeux
Crier autant que possible
Poussant les os au paroxysme
Passer ma solitude au crible
L'envisager sous un autre prisme
Avouer a mon ombre qu'elle m'ennuie
Qu'elle est froide, idiote et objective
De mettre fin a la torture de la nuit
Et aux symphonies maudite des grives
Vivre sans exister, tel est mon calvaire
Mon chemin de croix, a travers l'hiver
Dédale incompressible et odieux
J'implore les mains tendues vers Dieu
Balbutiant mes poèmes, le front en sueur
Je ne sort que sous la pluie
Elle seul partage, tel une sœur
Et nettoie mon corps plein de suie
Accapare ma peau, joues encore
Frappes mon dos tel une bête de somme
Toi misérable scorie qui rie sur mon sort
Tu demeurera l'unique, déchet de l'homme
Chaarar,
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