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Bachar al-Assad, Président syrien, a considéré hier, lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue vénézuelien, Hugo Chavez, que "l’internationalisation des affaires arabes ne conduira qu’aux tragédies", estimant que "les solutions justes pour les problèmes de la région doivent émerger précisément de ses enfants". Bachar al-Assad a fait état de l’absence d’une vision de paix chez Israël. Il a laissé entendre que la Syrie s’attache encore à la paix, mais à condition que l’ensemble de ses droits lui soit restitué. "Les négociations qui se sont déroulées par une médiation turque ont prouvé, encore une fois, qu’Israël ne veut pas la paix, mais la Syrie y est attachée, ainsi qu’au rôle turc dans ce processus".
Al-Assad a rendu hommage à l’exemplarité des relations entre la Syrie et le Venezuela, notamment celles le liant à Chavez en personne, signalant la convergence des points de vue et louant les positions de ce dernier sur les affaires arabes, notamment la cause palestinienne.
Pour sa part, Hugo Chavez a souligné que "des Etats comme le Venezuela, la Syrie et la Libye doivent nouer une alliance stratégique, et élargir leur coopération afin qu’elle touche tous les domaines". Il a utilisé un langage violent contre Israël, le considérant comme "un Ogre voulant avaler la région".
Au sujet de l’internationalisation des problèmes arabes, Chavez a indiqué qu’"elle laisse transparaître, sans l’ombre d’un doute, dans la majorité des conflits une main de l’impérialisme américain dans un but de division et d’hégémonie".
Chavez a souligné, également, avoir discuté avec Assad de l’ouverture de nouveaux horizons de coopération, entre la Syrie et le Venezuela, évoquant une alliance stratégique entre les deux pays. Il a critiqué Israël avec virulence, le considérant comme "un Etat exterminateur des peuples ; ennemi de la paix, qui s’est transformé en un bras appliquant les politiques américaines et qui plus est, agresse les peuples d’Amérique Latine".
Assafir.com
Al-Assad a rendu hommage à l’exemplarité des relations entre la Syrie et le Venezuela, notamment celles le liant à Chavez en personne, signalant la convergence des points de vue et louant les positions de ce dernier sur les affaires arabes, notamment la cause palestinienne.
Pour sa part, Hugo Chavez a souligné que "des Etats comme le Venezuela, la Syrie et la Libye doivent nouer une alliance stratégique, et élargir leur coopération afin qu’elle touche tous les domaines". Il a utilisé un langage violent contre Israël, le considérant comme "un Ogre voulant avaler la région".
Au sujet de l’internationalisation des problèmes arabes, Chavez a indiqué qu’"elle laisse transparaître, sans l’ombre d’un doute, dans la majorité des conflits une main de l’impérialisme américain dans un but de division et d’hégémonie".
Chavez a souligné, également, avoir discuté avec Assad de l’ouverture de nouveaux horizons de coopération, entre la Syrie et le Venezuela, évoquant une alliance stratégique entre les deux pays. Il a critiqué Israël avec virulence, le considérant comme "un Etat exterminateur des peuples ; ennemi de la paix, qui s’est transformé en un bras appliquant les politiques américaines et qui plus est, agresse les peuples d’Amérique Latine".
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