O mon cœur patiente et supporte le froid
Puisque ainsi tu désires
Entraîne par la partie de plaisir réjouis-toi avec elle..
Le virtuel sur le réel mais est plausible..
De retour vers toi ma plume
J’ai que toi qui m’accompagnerais dans ces nuits sombres
Ma lune a pris l’écart sa lumière m’arrive noir
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Pus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots
Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Autre fois la mer ma promis de me patronner
Dans ces bras me veillerai de ces vagues violentes
Je pris le train du matin sans crainte
Mon cœur était tout joyeux
J’allais revoir celle que j’aime..
Tu es la cause de toute ma joie
De tout son être s’exhale un parfum de rose
Se chair est de couleur carminée rouge violace
C’est de toi que mon âme est affolée
Malheureuse âme qui se plait encore dans les folies
Je te prie chérie endors-moi dans tes bras..
Ton passage s’annonce par le cliquetis de tes bijoux
Ta chevelures tombe jusqu’aux hanches
Tu sais à la fois sourire et rire avec grâce
Le virtuel sur le réel mais est plausible..
Je suis pareil à un prisonnier
Mon cœur souffre
Ses blessures et lésions sont tout internes
Maintenant que la monnaie se trouve être changée
Et que le sou a pris de la valeur
Dans la casba il ne faut pas songer à s’y arrêter….
L’amour est un rêve qui se réalise dans le réel
Mais pas au virtuel d’après les dires de mon coeur
Puisque ainsi tu désires
Entraîne par la partie de plaisir réjouis-toi avec elle..
Le virtuel sur le réel mais est plausible..
De retour vers toi ma plume
J’ai que toi qui m’accompagnerais dans ces nuits sombres
Ma lune a pris l’écart sa lumière m’arrive noir
La tempête a béni mes éveils maritimes.
Pus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots
Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Autre fois la mer ma promis de me patronner
Dans ces bras me veillerai de ces vagues violentes
Je pris le train du matin sans crainte
Mon cœur était tout joyeux
J’allais revoir celle que j’aime..
Tu es la cause de toute ma joie
De tout son être s’exhale un parfum de rose
Se chair est de couleur carminée rouge violace
C’est de toi que mon âme est affolée
Malheureuse âme qui se plait encore dans les folies
Je te prie chérie endors-moi dans tes bras..
Ton passage s’annonce par le cliquetis de tes bijoux
Ta chevelures tombe jusqu’aux hanches
Tu sais à la fois sourire et rire avec grâce
Le virtuel sur le réel mais est plausible..
Je suis pareil à un prisonnier
Mon cœur souffre
Ses blessures et lésions sont tout internes
Maintenant que la monnaie se trouve être changée
Et que le sou a pris de la valeur
Dans la casba il ne faut pas songer à s’y arrêter….
L’amour est un rêve qui se réalise dans le réel
Mais pas au virtuel d’après les dires de mon coeur
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