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Les hydrocarbures continueront encore pour longtemps à être les pourvoyeurs presque exclusifs de la fiscalité.
C’est un constat qui ne néglige pas pour autant, l’effort entamé aujourd’hui en matière d’énergies renouvelables sur lequel le Président de la République et le ministre de l’Energie et des Mines, mettent très souvent l’accent.
L’Algérie accorde un intérêt très fort en effet au développement de ce programme qui nécessite on le sait d’importants investissements mais les opportunités sont immenses dans notre pays.
Lors de la réunion consacrée au secteur de l’Energie et des Mines, par le Chef de l’Etat une telle situation n’a pas été perdue de vue.
S’agissant du secteur des hydrocarbures lui-même, il continue à présenter un secteur hautement stratégique dont l’évolution a été présentée par le ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, cela se traduit sur le terrain par une poursuite de l’effort d’exploration, mais aussi par les activités de transformation, raffinage, liquéfaction de gaz et la pétrochimie.
Le premier responsable du secteur a fait état en la matière d’importants projets en cours de réalisation ou de lancement.
Le quinquennat qui s’ouvre devrait être mis à profit pour répondre à l’invitation faite par le Président de la République de valoriser au maximum les revenus tirés de cette ressource.
Le Chef de l’Etat a beaucoup insisté aussi sur l’effort à porter pour que les grands projets inscrits sur la feuille de route du secteur soient menés à conclusion dans les délais, citant notamment ceux intéressant le raffinage ou encore d’industrie pétrochimique.
Le souci rappelé par le Chef de l’Etat est de veiller aussi à prolonger le plus longtemps possible la durée de vie des gisements pétroliers et gaziers du pays.
L’exploration de nouveaux gisements et leur mise en exploitation s’inscrivent donc comme la voie naturelle à emprunter.
Pour autant, le Chef de l’Etat s’est montré soucieux de voir les citoyens adopter de nouveaux comportements en rappelant combien il était vital de se lancer et de persévérer dans un effort d’économie d’énergie. Les technologies nouvelles peuvent être d’un grand apport en la matière, notamment en la consommation domestique.
Le prolongement, le Président de la République le voit dans ce dont il a été question au début, soit le développement des énergies renouvelables.
M. Abdelaziz Bouteflika a affirmé avoir chargé le gouvernement de veiller à la mise sur pied d’un fonds pour le développement des énergies renouvelables, ce qui renforce la conviction que le pays a pris une sérieuse option en la matière.
Ce fonds serait alimenté par la fiscalité pétrolière.
Sur une appréciation plus globale du développement du secteur l’énergie, constat a été fait d’une évolution appréciable des capacités de production en électricité afin de répondre de façon plus soutenue aux besoins des populations en croissance rapide.
Cet effort se double d’une volonté d’expansion des réseaux nationaux de distribution et de transport, un effort particulier aussi en matière d’électrification rurale et de distribution publique de gaz naturel.
Ces efforts doivent se poursuivre, a relevé le Premier magistrat du pays, qui a mis un accent particulier à dénoncer les entraves bureaucratiques qui sont la cause de gêne et de désagréments importants pour le citoyen, notamment en matière de distribution de courant électrique.
Le pays, selon le point de vue du Président de la République, engage des fonds importants en la matière qui permettent d’éviter de telles situations préjudiciables.
TAHAR Mohamed Al Anouar
C’est un constat qui ne néglige pas pour autant, l’effort entamé aujourd’hui en matière d’énergies renouvelables sur lequel le Président de la République et le ministre de l’Energie et des Mines, mettent très souvent l’accent.
L’Algérie accorde un intérêt très fort en effet au développement de ce programme qui nécessite on le sait d’importants investissements mais les opportunités sont immenses dans notre pays.
Lors de la réunion consacrée au secteur de l’Energie et des Mines, par le Chef de l’Etat une telle situation n’a pas été perdue de vue.
S’agissant du secteur des hydrocarbures lui-même, il continue à présenter un secteur hautement stratégique dont l’évolution a été présentée par le ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, cela se traduit sur le terrain par une poursuite de l’effort d’exploration, mais aussi par les activités de transformation, raffinage, liquéfaction de gaz et la pétrochimie.
Le premier responsable du secteur a fait état en la matière d’importants projets en cours de réalisation ou de lancement.
Le quinquennat qui s’ouvre devrait être mis à profit pour répondre à l’invitation faite par le Président de la République de valoriser au maximum les revenus tirés de cette ressource.
Le Chef de l’Etat a beaucoup insisté aussi sur l’effort à porter pour que les grands projets inscrits sur la feuille de route du secteur soient menés à conclusion dans les délais, citant notamment ceux intéressant le raffinage ou encore d’industrie pétrochimique.
Le souci rappelé par le Chef de l’Etat est de veiller aussi à prolonger le plus longtemps possible la durée de vie des gisements pétroliers et gaziers du pays.
L’exploration de nouveaux gisements et leur mise en exploitation s’inscrivent donc comme la voie naturelle à emprunter.
Pour autant, le Chef de l’Etat s’est montré soucieux de voir les citoyens adopter de nouveaux comportements en rappelant combien il était vital de se lancer et de persévérer dans un effort d’économie d’énergie. Les technologies nouvelles peuvent être d’un grand apport en la matière, notamment en la consommation domestique.
Le prolongement, le Président de la République le voit dans ce dont il a été question au début, soit le développement des énergies renouvelables.
M. Abdelaziz Bouteflika a affirmé avoir chargé le gouvernement de veiller à la mise sur pied d’un fonds pour le développement des énergies renouvelables, ce qui renforce la conviction que le pays a pris une sérieuse option en la matière.
Ce fonds serait alimenté par la fiscalité pétrolière.
Sur une appréciation plus globale du développement du secteur l’énergie, constat a été fait d’une évolution appréciable des capacités de production en électricité afin de répondre de façon plus soutenue aux besoins des populations en croissance rapide.
Cet effort se double d’une volonté d’expansion des réseaux nationaux de distribution et de transport, un effort particulier aussi en matière d’électrification rurale et de distribution publique de gaz naturel.
Ces efforts doivent se poursuivre, a relevé le Premier magistrat du pays, qui a mis un accent particulier à dénoncer les entraves bureaucratiques qui sont la cause de gêne et de désagréments importants pour le citoyen, notamment en matière de distribution de courant électrique.
Le pays, selon le point de vue du Président de la République, engage des fonds importants en la matière qui permettent d’éviter de telles situations préjudiciables.
TAHAR Mohamed Al Anouar