Un Canadien accepte de partager le gros lot avec son ex-femme. Mais avait-il vraiment le choix ?
Un Canadien accusé d'avoir caché à son ex-épouse un gain au loto de 30 millions de dollars canadiens (21 millions d'euros) a accepté de lui verser une partie de cette manne, rapporte la chaîne d'informations CBC.
Nynna Ionson, une ancienne danseuse exotique, élevant actuellement seule ses quatre enfants avec des allocations sociales, affirme avoir encore une liaison avec son ex-mari, Ray Sobeski, à qui elle demande la moitié de la somme, le plus gros gain individuel au loto canadien.
Sobeski, qui a attendu presque un an pour réclamer son dû au loto Super 7, a affirmé dans des documents juridiques qu'il s'était séparé de Nynna Ionson, sa troisième femme, bien avant l'achat du ticket gagnant, en avril 2003.
Ionson affirme au contraire que le jour où Sobeski a touché ses gains ils ont fait l'amour dans un motel. Elle déclare n'avoir découvert la bonne fortune de son ex-mari que le lendemain dans le journal.
Les avocats de Sobeski et Ionson gardent le secret sur les termes de l'accord à l'amiable, rapporte CBC.
Source Toronto - Reuters
Un Canadien accusé d'avoir caché à son ex-épouse un gain au loto de 30 millions de dollars canadiens (21 millions d'euros) a accepté de lui verser une partie de cette manne, rapporte la chaîne d'informations CBC.
Nynna Ionson, une ancienne danseuse exotique, élevant actuellement seule ses quatre enfants avec des allocations sociales, affirme avoir encore une liaison avec son ex-mari, Ray Sobeski, à qui elle demande la moitié de la somme, le plus gros gain individuel au loto canadien.
Sobeski, qui a attendu presque un an pour réclamer son dû au loto Super 7, a affirmé dans des documents juridiques qu'il s'était séparé de Nynna Ionson, sa troisième femme, bien avant l'achat du ticket gagnant, en avril 2003.
Ionson affirme au contraire que le jour où Sobeski a touché ses gains ils ont fait l'amour dans un motel. Elle déclare n'avoir découvert la bonne fortune de son ex-mari que le lendemain dans le journal.
Les avocats de Sobeski et Ionson gardent le secret sur les termes de l'accord à l'amiable, rapporte CBC.
Source Toronto - Reuters
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