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L’Algérie s’impose comme le principal importateur de denrées agroalimentaires du continent africain. C’est la conclusion à laquelle est arrivée l’agence française Ubifrance dans une analyse publiée dans la dernière édition de Focus export pays.
Cette situation s’explique, selon l’agence, par un très faible taux de couverture de la consommation par la production nationale : 20% pour les céréales et dérivés, 20% pour les légumes secs, 60% pour le lait, 5% pour les huiles brutes et pratiquement nul pour le sucre roux et le café. Le secteur agroalimentaire occupe une forte proportion dans la structure des importations algériennes (20%), puisqu’il représente un volume de 7,7 milliards de dollars pour l’année 2008. L’analyse met aussi l’accent sur la “vulnérabilité” de l’économie algérienne “dépendante de la manne pétrolière qui représente près de 98% des exportations, entre 70 et 80% des revenus fiscaux et environ 50% du PIB”. De fait, constate le document, le caractère mono-exportateur de sa structure commerciale l’expose fortement à un choc pesant sur les cours des matières premières énergétiques.
Liberté
Cette situation s’explique, selon l’agence, par un très faible taux de couverture de la consommation par la production nationale : 20% pour les céréales et dérivés, 20% pour les légumes secs, 60% pour le lait, 5% pour les huiles brutes et pratiquement nul pour le sucre roux et le café. Le secteur agroalimentaire occupe une forte proportion dans la structure des importations algériennes (20%), puisqu’il représente un volume de 7,7 milliards de dollars pour l’année 2008. L’analyse met aussi l’accent sur la “vulnérabilité” de l’économie algérienne “dépendante de la manne pétrolière qui représente près de 98% des exportations, entre 70 et 80% des revenus fiscaux et environ 50% du PIB”. De fait, constate le document, le caractère mono-exportateur de sa structure commerciale l’expose fortement à un choc pesant sur les cours des matières premières énergétiques.
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