Toi l’étoile, point brillant cours cette fois..
Tu me diras ce qui se passe en son cœur
Ses gestes, ses ennuis et tous ses dires ….
Allons faucon, fils de noble origine
Va, si tu peux traverser les plaines et
Les montagnes vers la chère amie, lui dire..
Que depuis le jour de son absence,
Que, quoique ma vie soit des plus agitées d'elle,
La belle, j'en conserve toujours le souvenir…
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien,
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature, heureux avec une femme.
Le soleil, le foyer de tendresse et de vie,
Verse l’amour brûlant à la terre ravie,
Et, quand on est couché sur la vallée, on sent
Que la terre est pubère et déborde de sang ;
Où les arbres muets, berçant l’oiseau qui chante,
La terre berçant l’homme, et tout l’Océan bleu
Sur les feuilles blanches la plume déchire les mots
En encre sépia qui s’abîme à la lumière…
La lumière de cette étoile lointaine
Qui jette ses rayons en sarisse
Sur le chemin des années de chandelle
En comptant les jours en espérant
Que l’heure est bientôt proche….
Maintenant, je vois qu’il est sage de songer à l’avenir
Car la vie est instable, changeante
Elle n’est durable et fidèle à personne…
Que celui qui peut raffermir sa volonté, le fasse
Qu’il ait sentiment exact de sa valeur personnelle
En cette époque-ci, à quelque chose le malheur est bon…..
C’est la fin du mois je parviens sur la lune,
La nuit est prête a sombrer mes jours…
A Quelle l’heure le soleil se couche ??
O ma belle combien je voudrais te parler
Tu verrais ce que j’enduire de souffrances
Sans doute, ton cœur s’attendrirait………..
Tu me diras ce qui se passe en son cœur
Ses gestes, ses ennuis et tous ses dires ….
Allons faucon, fils de noble origine
Va, si tu peux traverser les plaines et
Les montagnes vers la chère amie, lui dire..
Que depuis le jour de son absence,
Que, quoique ma vie soit des plus agitées d'elle,
La belle, j'en conserve toujours le souvenir…
Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien,
Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature, heureux avec une femme.
Le soleil, le foyer de tendresse et de vie,
Verse l’amour brûlant à la terre ravie,
Et, quand on est couché sur la vallée, on sent
Que la terre est pubère et déborde de sang ;
Où les arbres muets, berçant l’oiseau qui chante,
La terre berçant l’homme, et tout l’Océan bleu
Sur les feuilles blanches la plume déchire les mots
En encre sépia qui s’abîme à la lumière…
La lumière de cette étoile lointaine
Qui jette ses rayons en sarisse
Sur le chemin des années de chandelle
En comptant les jours en espérant
Que l’heure est bientôt proche….
Maintenant, je vois qu’il est sage de songer à l’avenir
Car la vie est instable, changeante
Elle n’est durable et fidèle à personne…
Que celui qui peut raffermir sa volonté, le fasse
Qu’il ait sentiment exact de sa valeur personnelle
En cette époque-ci, à quelque chose le malheur est bon…..
C’est la fin du mois je parviens sur la lune,
La nuit est prête a sombrer mes jours…
A Quelle l’heure le soleil se couche ??
O ma belle combien je voudrais te parler
Tu verrais ce que j’enduire de souffrances
Sans doute, ton cœur s’attendrirait………..
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