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Fabrication d'automobiles : Les concessionnaires algériens s’y mettent

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  • Fabrication d'automobiles : Les concessionnaires algériens s’y mettent

    L 'Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A) envisage de soumettre prochainement aux pouvoirs publics une étude sur les perspectives d'implantation en Algérie d'une industrie de fabrication de véhicules touristiques, a indiqué le président de cette association, Mohamed Bairi.

    Cette étude, à laquelle sont également associés l'Union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM) ainsi que le Forum des chefs d'entreprises (FCE) et dont le contenu a été aussi transmis aux maisons mères des différentes marques présentes sur le marché, s'est, notamment, penchée sur les différentes conditions nécessaires pour l'avènement d'une telle industrie en Algérie, a précisé mardi à l'APS M. Bairi. Le président de l'AC2A a, dans ce sens, affirmé que le marché national d'automobile, qui représente un chiffre d'affaires annuel de près de 4 milliards de dollars, pourrait être réorienté vers la production locale à la faveur de plusieurs facteurs, particulièrement une demande soutenue par la croissance économique du pays et les besoins en parc roulant et matériels de travaux publics. Cette réorientation n'a pu, jusque là, être réalisée «en raison, entre autres, de l'absence d'un tissu industriel de sous-traitance dans les domaines de la fabrication des différentes composantes et pièces de rechange», a estimé M. Bairi. «Dans certains pays voisins ce sont ces activités opérées par des PME qui soutiennent l'industrie automobile locale», a-t-il fait valoir. Le développement de l'activité de sous-traitance automobile en Algérie permettra, en outre, de mettre en place un cycle formel de fabrication de pièces de rechange qui contribuera à limiter davantage la contrefaçon dans ce domaine, a-t-il ajouté. Pour le président de l'AC2A, les pouvoirs publics devraient soutenir cette industrie à travers un régime incitatif préférentiel pour les constructeurs qui veulent fabriquer en Algérie, suggérant, entre autres, de lever la taxe sur les véhicules neufs fabriqués localement, et de faciliter l'accès au foncier au profit de ces constructeurs.

    Le Financier

  • #2
    Les chinois ont une multitudes de marques différentes de véhicules de tourisme, les indiens ont tata, les malaisiens ont proton, les iraniens ont iran khodro, les marocains ont laraki, et nous, nous avons la snvi. Alors pourquoi ne pas lancer une" snvt" pour les véhicules legers, car j'estime que si l'on sait faire des autobus, fabriquer une citadine de devrait pas être insurmontable.

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