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Des inconnus ont pris mercredi le contrôle d'un avion de la compagnie Aeromexico entre Cancun (est) et Mexico, mais après une heure d'angoisse les 104 passagers ont été évacués, selon le gouvernement.
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Des inconnus ont pris mercredi le contrôle d'un avion de la compagnie Aeromexico entre Cancun (est) et Mexico, mais après une heure d'angoisse les 104 passagers ont été évacués, selon le gouvernement.
"Tous les passagers ont été libérés" et "la situation est sous contrôle", a déclaré le ministre mexicain des Communications et des Transports, Juan Molinar Horcasitas.
Les télévisions ont diffusé les images des autorités mexicaines faisant descendre au moins six personnes menottées de l'avion, un Boeing 737.
M. Molinar Horcasitas a refusé de confirmer le nombre et de préciser la nationalité des peronnes arrêtées, "pour des raisons de sécurité".
"Tous les passagers ont été évacués sains et saufs, il n'y a pas de bombe dans l'avion", a annoncé le ministre mexicain à la chaîne de télévision Televisa. "Le gouvernement de la République déclare que la situation est sous contrôle".
Les pirates "n'ont jamais pu entrer dans la cabine de pilotage ou compromettre la sécurité de l'appareil", a-t-il ajouté.
L'avion de la compagnie mexicaine Aeromexico assurant la liaison entre la station balnéaire de Cancun, dans l'est du Mexique, et la capitale, avait été détourné à la mi-journée après son décollage et avait atterri à Mexico, où il avait été isolé sur le tarmac de l'aéroport.
Il s'agissait d'un vol direct et non d'une escale à Cancun, a-t-on précisé à l'aéroport local.
Tous les passagers sont descendus ensuite de l'avion à Mexico, selon des témoins, et, peu après, les six personnes menottées avaient été descendues de l'avion.
Les pirates présumés avaient demandé à "parler au président mexicain Felipe Calderon", selon les médias. Le président Calderon a annulé des rendez-vous prévus dans l'après-midi et était en route pour l'aéroport, a-t-on indiqué à la présidence à 15h30 locales (20h30 GMT).
Daniel Fernández, un des passagers libérés, a dit dans une interview téléphonique à une télévision Televisa qu'une des personnes arrêtées "avait une bible à la main".
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Des inconnus ont pris mercredi le contrôle d'un avion de la compagnie Aeromexico entre Cancun (est) et Mexico, mais après une heure d'angoisse les 104 passagers ont été évacués, selon le gouvernement.
"Tous les passagers ont été libérés" et "la situation est sous contrôle", a déclaré le ministre mexicain des Communications et des Transports, Juan Molinar Horcasitas.
Les télévisions ont diffusé les images des autorités mexicaines faisant descendre au moins six personnes menottées de l'avion, un Boeing 737.
M. Molinar Horcasitas a refusé de confirmer le nombre et de préciser la nationalité des peronnes arrêtées, "pour des raisons de sécurité".
"Tous les passagers ont été évacués sains et saufs, il n'y a pas de bombe dans l'avion", a annoncé le ministre mexicain à la chaîne de télévision Televisa. "Le gouvernement de la République déclare que la situation est sous contrôle".
Les pirates "n'ont jamais pu entrer dans la cabine de pilotage ou compromettre la sécurité de l'appareil", a-t-il ajouté.
L'avion de la compagnie mexicaine Aeromexico assurant la liaison entre la station balnéaire de Cancun, dans l'est du Mexique, et la capitale, avait été détourné à la mi-journée après son décollage et avait atterri à Mexico, où il avait été isolé sur le tarmac de l'aéroport.
Il s'agissait d'un vol direct et non d'une escale à Cancun, a-t-on précisé à l'aéroport local.
Tous les passagers sont descendus ensuite de l'avion à Mexico, selon des témoins, et, peu après, les six personnes menottées avaient été descendues de l'avion.
Les pirates présumés avaient demandé à "parler au président mexicain Felipe Calderon", selon les médias. Le président Calderon a annulé des rendez-vous prévus dans l'après-midi et était en route pour l'aéroport, a-t-on indiqué à la présidence à 15h30 locales (20h30 GMT).
Daniel Fernández, un des passagers libérés, a dit dans une interview téléphonique à une télévision Televisa qu'une des personnes arrêtées "avait une bible à la main".